La Critique Dans Tartuffe

affrontement entre différents personnages, l’auteur débute même parfois son œuvre par une scène de conflit. On peut le voir par exemple dans Tartuffe, pièce de Molière, dès l’acte I, scène 1. La pièce commence par un affrontement entre Mme Pernelle et les autres membres de la famille d’Orgon. Toute la pièce tournera autour d’un conflit dont le sujet est Tartuffe, un faux dévot, qui trompe Orgon, pour tout lui voler. Toute la famille d’Orgon fera donc tout ce qui est en son possible pour ouvrir les yeux

Tartuffe, de Molière Molière (Jean-Baptiste Poquelin) est baptisé le 15 janvier 1622 à Paris (église Saint-Eustache). Fils d’un tapissier, Molière fait ses études chez les jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans .Avec Madeleine Béjart, il crée l’Illustre-Théâtre qui est un échec en raison de dettes (en août 1645, Molière est même emprisonné). Cette même année, il quitte Paris pour la province. Il y restera treize ans. En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux

scène B) Le comique du dialogue 2) Le message de l'auteur A) La critique de l'église B) La violance Le Tartuffe est une pièce écrite par Molière en 1664, c'est une comédie du 17e siècle. Le Tartuffe critique la religion en s'en moquant, le but étant de faire rire le spéctateur. Dans cette scène Elmire tente de montré à son marie que Tartuffe est un faux dévo et qu'il veut la poucé à l'adultaire, pour cela Elmire tend un piège à Tartuffe. - La scène regroupe différents types de comique comme le comique

faire rire les gens .Dans cet esprit, Tartuffe s’impose comme la figure centrale de la piece que nous etudions , il en est le moteur de l’action. Tartuffe est un comique de caractères ( un personnage monomaniaque, ici un faux dévôt); comique de situation et de langage,... cela ressemblait donc a un humour au premier degre . d’apres Pierre Clarac << ce qui faisait pouffer de rire il y a trois siecles nous semble d’un raffinement subtil et pervers . Tartuffe n’est plus un gros maladroit mais un

MOLIERE SEDUCTEUR : TARTUFFE ET DOM JUAN VUS PAR LA CRITIQUE. François Rémond (Université Paris III – Sorbonne Nouvelle). En premier lieu, il paraît important de définir précisément le concept de séduction : Dans la langue courante contemporaine, le terme possède une axiologie majoritairement positive (1) : Le Sens propre distingue un sens « littéraire ou plaisant » : « En Parlant d’un homme, amener (une femme) à lui accorder ses faveurs hors mariage » et une extension de sens moderne précisément

d’abord que, certes, la comédie apparait comme un pur divertissement proposée aux spectateurs ou aux lecteurs, mais nous nous demanderons ensuite si, malgré tout, la comédie n’est pas aussi une critique sérieuse et pertinente de la société et des conduites humaines, puis nous finirons par voir si en plus de critiquer et faire rire la comédie n’est pas aussi une stratégie qui ramène l’Homme à ses propres questions existentielles. Bien sûr, la comédie apparaît d’emblée comme un pur divertissement pour

Tartuffe est une comédie écrite en cinq actes et en alexandrins par Molière. Cette comédie illustre parfaitement la société du dix-septième siècle : Les personnes de religion voulant s‘enrichir avec la foi. La première représentation de Tartuffe ou l’imposteur est à Versailles les 12 mai 1664. La pièce sera interdite cinq jours après, à cette date la pièce ne comportait que 3 actes .Le 5 août 1667, de nouveau Molière obtient le droit de présenter sa pièce à Paris. La comédie, écrit désormais en

Le Tartuffe une pièce qui s’inscrit dans le mouvement classique, comme toutes les autres pièces de Molière, une œuvre qui a été sujette à beaucoup de critiques. On reproche d’abord à Molière de n’avoir pas respecté la règle de bienséance qui interdit toute action indécente, puis la pièce sera censuré et accusé de mettre à mal la religion ; elle sera autorisée à la représentation 5 ans après sa première censure. La pièce a pour enjeu principal la critique de la crédulité d’Orgon et la

festival Molière ». La troupe de Molière contribue beaucoup aux réjouissances. Molière donne le 8 mai « une comédie galante, mêlée de musique et d’entrées de ballet », La Princesse d'Élide, et le 12 mai une première représentation du Tartuffe (13e pièce de Molière qui joue Tartuffe). Molière choisit de représenter un homme d’Église en « petit collet », un directeur de conscience sans scrupules, qui s’introduit dans une famille sous couleur de la religion pour en mettre le chef sous tutelle, en courtiser

Il en découle de se poser la question: « En quoi « Tartuffe » est une pièce théâtrale dénonçant les abus de l'Église et montrant une satire de la religion par l'hypocrisie de la fausse dévotion? » 1/ Une image caricaturale des vrais dévots -Qu'est ce qu'un dévot? En quoi Tartuffe n'en est-il pas un? Un dévot est une personne pieuse, pratiquant la religion avec ferveur. Hors, Tartuffe et tout sauf un dévot et, en cachant son jeu derrière un visage machiavélique, il essaie de parvenir