La Culture Cellulaire

2 Dystrophie musculaire canine o 2.5.3 Dystrophie musculaire féline • 2.6 Les thérapies o 2.6.1 La thérapie par médication o 2.6.2 La thérapie génique o 2.6.3 La thérapie cellulaire 2.1 Historique La dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) a été caractérisée en 1861 par Duchenne de Boulogne (ou Guillaume Benjamin Amand Duchenne, 1806-1875) (Duchenne, G. B. 1861). Cette maladie porte son nom même si William John Little (1810-1894)

ineptus (dodo, depuis 1681), pinguinus impennis (grand pingouin, depuis 1844), thylacinus cynocephalus (thylacine ou Tigre de Tasmanie, depuis 1936). * Pourquoi une monoculture peut se révéler plus fragile qu’une culture diversifiée ? * La faible diversité dans une culture présente un inconvénient : la résistance à des maladies, à des mauvaises conditions climatiques est beaucoup plus faible que dans le cas d’espèces variées. Préserver des espèces sauvages voisines est donc une nécessité

par division cellulaire. Deux ou trois jours après le jour de la fécondation, un ou plusieurs embryons sont réimplantés dans l'utérus de la femme. Environ 100 000 spermatozoïdes sont mis en contact avec chaque ovule recueilli. La fécondation a lieu en une douzaine d'heures. Il est courant d'obtenir 5 à 6 embryons en moyenne bien que ce nombre peut aller jusqu'à une trentaine. Les embryons sont mis en culture de 48 heures à 6 jours. Ils sont classés en fonction de leur qualité cellulaire ( nb de cellules

administrées par une voie non-naturelle ou dans des conditions spéciales permettant d'immuniser plutôt que de produire une maladie. Les autres vaccins vivants sont préparés à partir d'isolats virulents atténués par passage sur animal de laboratoire, culture cellulaire ou œufs embryonnés afin de sélectionner un variant de virulence réduite. Le développement des techniques de l'ADN recombiné (ADNrec) ont apporté des solutions originales à la production de vaccins. Des vaccins vivants modifiés peuvent maintenant

unicellulaires procaryotes, c’est-à-dire qu’ils sont caractérisés par une absence de noyau vrai (matériel génétique libre dans la cytoplasme). Les bactéries possèdent une paroi cellulaire glucidique appelée peptidoglycane. Figure [ 2 ] : Bactéries en bacilles (a) ou en coques (b) Une bactérie est composée d’une paroi cellulaire (enveloppe rigide), d’une capsule (substance visqueuse entourant la paroi, qui permet à la bactérie d'adhérer plus facilement aux autres êtres vivants tout en la protégeant

d'ADN circulaire qui permet à la fois d'introduire la séquence d'ADN à étudier dans le microorganisme récepteur mais aussi d'assurer le maintien de ce fragment d'ADN d'intérêt dans la cellule hôte de génération en génération au cours des divisions cellulaires. Cette étape d'insertion d'un fragment d'ADN dans un vecteur repose sur l'utilisation d'outils et de techniques de biologie moléculaire permettant la recombinaison d'ADN in vitro, c'est à dire la production d'une molécule d'ADN dite recombinante

modèle de membrane présenté dans le document 3 a été choisi pour sa représentativité d’un échantillon de la matière vivante. Depuis le Collège, les élèves savent que tous les êtres vivants sont constitués de cellules et l’existence de la membrane cellulaire est connue : il peut donc être intéressant d’étudier à la matière qui constitue cette membrane. Ici, deux cents chaînes lipidiques sont juxtaposées, entourées de milliers de molécules d’eau. L’objectif est de déterminer quels atomes constituent

Certaines ont été étudiées de longue date, comme les toxines diphtérique et tétanique. Leur classification la plus évidente repose sur leur mode d'action : certaines d'entre elles agissent à l'extérieur de la cellule en se liant avec des récepteurs cellulaires ou en réalisant des pores dans la membrane. D'autres sont capables d'induire la translocation d'un fragment catalytique dans le cytoplasme de la cellule. | Mots-clés : toxines, pathogenèse bactérienne, petites protéines G, cytosquelette, vésicules

E8) codant pour des protéines intervenant dans la réplication virale (E1, E2), le maintient du génome sous forme épisomale (E2), l’encapsidation du génome (E4), et intervenant dans le processus de transformation (E5, E6, E7) et d’immortalisation cellulaire (E6, E7). Le cadre tardif de lecture représente environ 40% du génome et est composé de deux ORF (L1, L2) codant pour les protéines de structure de la capside. La région non codante (NCR) comprenant 400 à 1 000 nucléotides, elle contient un site

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 Activité 1.5 : Respiration cellulaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 Activité 1.6 : Tâche d’évaluation sommative - Métabolisme cellulaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .