La Culture Rend Elle Libre

sont rationnelles, cohérentes et doivent s’appliquer à tous les humains sans exception. C’est une théorie qui peut expliquer toute action, état ou tendance de l’être humain peu importe dans quel pays ou dans quelle époque il vit, à quelle société ou culture il appartient. La recherche d’une conception idéale de l’être humain a commencé il y très longtemps, probablement à l’antiquité, quand les premiers philosophes entreprennent une réflexion sur l’existence humaine et tentent l’interpréter d’une façon

remédier ? Est-ce essentiel et inchangeable ? Ou bien vient-ce au contraire de ses acquis, de sa culture. L’homme provoque-t-il le mal à cause des savoirs et des savoir-faire qui se transmettent de génération en génération ? L’homme est-il nuisible à son prochain, à lui-même et à son environnement, parce qu’il est condamné à l’être de par sa nature ? Sont-ce au contraire, la sociabilité et la culture de l’homme qui le rendent dangereux ? Ne s’est-il pas fait, au contraire, lui-même dangereux ? S’il

considération de la question, on peut comprendre le refus de l’inconscient comme son refoulement, nécessité par une vie en société, comme un refus de l’inconscient autrement dit des pulsions, voulu par l’existence d’une société. En effet, l’individu libre, soumis à aucune volonté autre que la sienne, est avant tout un Homme responsable, d’où le besoin pour la société de lui donner un maîtrise de ses pulsions, qui compromettrait son équilibre en étant assouvies. Il nous faut cette fois considérer comme

l’apparition est provoquée par les événements dans la société totalitaire. Dans son œuvre, l’auteur (il faut dire le nom) reprend le thème de la dictature politique et de ses impacts sur le développement de la société. Ce type de pouvoir transforme la culture des masses afin de tenir la population dans la soumission. En bref, le roman Fahrenheit 451 démontre le fonctionnement des mécanismes politiques et des facteurs culturels qui favorisent l’emprise du régime totalitaire sur la population. Premièrement

« faut-il » de l’énoncé n’étant pas une fin, comme l’est la nécessité mais bien une valeur, elle ne peut s’imposer qu’a un être libre de choisir d’admettre ou de ne pas admettre les opinions qu’il recueille. Nous envisagerons d’abord l’homme dans sa condition d’animal homme et dans celle d’animal politique puis dans celle de sujet pensant obligé et enfin dans celle d’animal libre doué de raison. L’homme n’ayant pas d’instinct, il doit se fier à ses représentations du réel sans questionner la véracité

est un individu qui, pour apprendre à communiquer, raisonner et créer, a besoin de l’interaction entre deux concepts : la biologie et la culture. Pour obtenir cette capacité élevée d’innovation, le cerveau humain se base sur une interdépendance de l’inné (biologique) et de l’acquis (culturel). Pour arriver à acquérir une « conscience réfléchie » et donc une « culture humaine », les tous premiers humains ont dû, au fil du temps, réunir les conditions biologiques nécessaires à son développement. La station

repère lui-même mouvant. («Plaisante justice qu'une rivière borne. Vérité en-deçà des Pyrénées, erreur au-delà!» dira Pascal) Ce point de repère peut être une société, une culture, un lieu. On parlera de relativisme social ou culturel selon que le point de repère sera une société ou l'ensemble d'une culture. En fait, le relativisme rend la recherche philosophique caduque puisqu’il n’existe pas de vérité à proprement parler. Il existe aussi un relativisme temporel qui considère l'opinion la plus récente

LA LIBERTE : definition etre libre n'est pas a prendre au sens quotidien du terme comme "etre libre c'est faire ce que je veux ", il ne faut pas voir la liberté comme une possibilité d'assouvissement des désirs mais plutot dans son terme philosophique comme l'autonomie du choix..La liberté est alors non pas tant un fait qu'une exigence dont l'homme a à se montrer digne. Le terme liberté se revele ambigu. LE DETERMINISME: quant au determinisme son principe affirme que tous les phénomènes sont liés

Le désir est une tendance, un appétit, vers un objet que l’on n’a pas et qu'on se représente. A la différence du besoin naturel, qui est défini par la nature, le désir est conçu par l'esprit. C'est pourquoi le désir est toujours renouvelé, ce qui le rend potentiellement illimité, nous pouvons toujours désirer quelque chose d'autre. Alors, si la nature ne limite pas les désirs, n'est-il pas nécessaire et sage de limiter volontairement nos désirs ? Cependant, la sagesse ne consiste-t-elle pas à mesurer

propose un analyse socio sur la construction sociale des gouts . Les pratiques culturelles et les jugements émis par les agents sont des produits sociaux qui s’inscrive dans une hiérarchie allant du plus légitime au moins légitime , la notion de culture est prise dans une double acceptation : au œuvres culturelles au sens restreint et au sens anthropologique cela renvoie au manière de faire propre a une collectivité humaine. Dans le domaine des jugements esthétique le sens commun oppose le gout