La Curée La Serre

La Curée Auteur :Emile Zola Genre : Roman naturaliste Paru en 1872, deuxième volet de la série Les Rougon-Macquart. La Curée  signifie : 1. (au sens propre) La partie de la bête que l’on donne aux chiens après la chasse. 2. (au sens figuré) Avidité, ruée âpre pour un butin pour le partage d’un profit, d’une place vacante. L’histoire se déroule à Paris sous le second Empire sous Napoléon III dans la seconde moitié du 19ème siècle (1852- 1870)… Personnages : .Aristide Rougon, ou Saccard:

développée en une vingtaine de lignes et s’appuiera précisément sur les extraits . Le corpus quenous allons étudier est composé de trois extraits de romans : l’un des Misérables de Victor Hugo paru en 1862, le second tiré de l’œuvre de Zola, La curée datant de 1872, et enfin un dernier extrait deL’enfant, roman d’inspiration autobiographique de Jules Vallès écrit en 1879. Nous pouvons constater des dysfonctionnements de la société dans ces différents passages grâce à leurs personnagesrespectifs

des relations sociales et familiales entre individus. Cette identité sociale se traduit par sa désignation: un prénom et un nom. Certains auteurs donnent ainsi un « indice » sur le caractère ou la condition sociale du personnage. Par exemple dans La Curée de Zola, Aristide Rougon a changé son nom à Aristide Saccard, car ce nom sonne avec l’argent. Ainsi cet exemple montre bien à quel point un nom a son importance car il permet aux lecteurs de valoriser les personnages différemment. L’identité sociale

Fiche Cours Nº : 91017 FRANÇAIS Toutes séries Résumé d’œuvre : La Curée de Zola Chapitre 1 : Renée ou les fastes du monde Le roman s’ouvre dans les années 1860 sur une promenade en calèche de Renée Saccard et de son beau-fils, Maxime, qui est l’occasion de médisances et de potins mondains. De retour au fastueux hôtel Saccard, la jeune femme se prépare à recevoir les influents amis de son mari : conversations politiques, considérations sur les grands travaux qui redessinent Paris et

romancier naturaliste vise donc l’objectivité et s’interdit l’à priori moral. Il renonce à jouer les narrateurs omniscients et présente les choses qui environnent les personnages comme un monde de signes qui nous renseignent sur leur personnalité. Dans La Curée, on reconnaît le parvenu à son hôtel particulier, qui mêle « tous les styles », où l’or ruisselle sur les murs, affichant une réussite insolente ; on reconnaît l’insouciance de Mme de Marelle, dans Bel-Ami, aux quatre tableaux qu’elle laisse pendre

naturaliste vise donc l’objectivité et s’interdit les a priori moraux. Il renonce à jouer les narrateurs omniscients et présente les choses qui environnent les personnages comme un monde de signes qui nous renseignent sur leur personnalité. Dans La Curée, on reconnaît le parvenu à son hôtel particulier, qui mêle « tous les styles », où l’or ruisselle sur les murs, affichant une réussite insolente ; on reconnaît l’insouciance de Mme de Marelle, dans Bel-Ami, aux quatre tableaux qu’elle laisse pendre

Germinal, en racontant la vie d’un mineur. De plus, du courant réaliste s’en suit le courant naturaliste, qui amène les auteurs à effectuer plus de recherches scientifiques sur leur sujet, comme le fait encore une fois Zola dans La Curée, où l’écrivain décrit la serre d’Aristide Saccard avec ne nombreuses précisions, comme le nom savant des plantes par exemple. Avec l’arrivée de ce courant réaliste, le lecteur peut s’imaginer en tant que protagoniste du livre. D’abord, le lecteur lira plus facilement

développée en une vingtaine de lignes et s’appuiera précisément sur les extraits . Le corpus que nous allons étudier est composé de trois extraits de romans : l’un des Misérables de Victor Hugo paru en 1862, le second tiré de l’œuvre de Zola, La curée datant de 1872, et enfin un dernier extrait de L’enfant, roman d’inspiration autobiographique de Jules Vallès écrit en 1879. Nous pouvons constater des dysfonctionnements de la société dans ces différents passages grâce à leurs personnages respectifs

d'instruire les filles hors des couvents ou de la « serre » du gynécée maternel, et de le faire sans censure, différant par là-même des positions plus timorées de Michelet. L'émancipation de la femme doit passer selon lui par une solide formation culturelle et scientifique qui la délivrera de l'influence pernicieuse des romans sentimentaux qui font des jeunes femmes les victimes désignées de la sensiblerie et de l'hystérie, comme Renée dans La Curée, Marie Pichon dans Pot-bouille, Hélène Grandjean dans

naturaliste vise donc l’objectivité et s’interdit les a priori moraux. Il renonce à jouer les narrateurs omniscients et présente les choses qui environnent les personnages comme un monde de signes qui nous renseignent sur leur personnalité. Dans La Curée, on reconnaît le parvenu à son hôtel particulier, qui mêle « tous les styles », où l’or ruisselle sur les murs, affichant une réussite insolente ; on reconnaît l’insouciance de Mme de Marelle, dans Bel-Ami, aux quatre tableaux qu’elle laisse pendre