La Democratie Est Elle Meilleure Forme De Gouvernement

en elles-mêmes, soit dans la tradition. S'il déclare, par exemple, très souvent que les anciens empereurs romains n'étaient pas souverains, mais tyrans, si, malgré son admiration pour Aristote, il l'accuse tout bonnement d'avoir confondu État et gouvernement (ce qui d'ailleurs est exact du point de vue de la souveraineté moderne), c'est toujours parce qu'il reproche à ceux qui les prennent comme guides de l'action ou de la pensée de ne pas s'occuper de la définition des choses, mais seulement de leur

JULLIA Nathan – Groupe 5 (Monsieur Vergnon) Dissertation : La question de l'exécutif en France 1789-1889 Le pouvoir exécutif est l'un des trois pouvoirs nécessaires pour assurer la gestion d'un État aux côtés du législatif et du judiciaire. Dans une démocratie, l'exécutif a pour but de gérer la politique courante et de faire exécuter les lois produites par le législatif. En cent ans, de la Révolution à la crise du Boulangisme, la France connaît de nombreux systèmes politiques : monarchie constitutionnelle

est possible de vivre sous différents types de constitutions. Dès lors, la forme du pouvoir est à définir en fonction de nos choix. Nous nous demandons quelles institutions sont les meilleures. Aristote soutient ainsi que le but de la politique n'est pas le simple fait de vivre en communauté – ce que certains animaux savent faire –, mais de bien vivre ensemble. Vaut-il mieux une monarchie, une aristocratie, une démocratie ? Pour cela, il importe que les citoyens puissent délibérer sans contrainte

pour la réforme des collectivités locales présidé par l’ancien Premier ministre Edouard Balladur (mars 2009), ainsi que sur les conclusions d’une mission du Sénat présidée par Claude Belot, (juin 2009). Deux priorités sont mises en avant par le gouvernement : simplifier et rationaliser, pour mettre fin au "mille-feuille administratif" et clarifier le partage des compétences entre les niveaux d’administration. Depuis la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, sont définies comme « collectivités

devant l’impossibilité d’un tel changement, c’est la monarchie entière qui est supprimée. Le Roi est arrêté, puis exécuté. On instaure un nouveau système politique, de type républicain, le Commonwealth and Free State, crée le 19 mai 1649. C’est un gouvernement civil qui est censé gouverner sous ce nouveau régime, mais très vote, l’armée de CROMWELL chasse les parlementaires. Une Constitution écrite est établie, qui prévoit certes l’existence d’un Parlement, mais surtout celle d’un lord protecteur, et

condition humaine est contradictoire : l’homme est partagé entre le besoin d’autorité et de liberté. L’Homme est un individu qui aspire à la liberté mais qui vit en société, c’est un être collectif. L’existence d’autorité, le pouvoir est inhérent à toute forme de société. Dans toute société humaine, l’absence d’autorité conduirait à de graves perturbations qui menaceraient la société. Le pouvoir politique est secrété par la société elle-même pour assurer son existence. Toute société pour résoudre des conflits

contrepartie, les citoyens gagnent la sécurité et le respect de leurs biens. Hobbes est le penseur de l’absolutisme. B- La théorie de Locke Locke, au contraire, est un des premiers penseurs du libéralisme. Dans ses trois Essais sur le gouvernement civil, il expose une version nouvelle de la doctrine contractuelle de l’état. Mais Locke partage avec Hobbes deux soucis : garantir la sécurité et préserver la propriété (permettre à l’individu de jouir tranquillement de ses biens). • L’état

nous verrons dans une troisième et dernière partie, le parfait compromis entre ces deux positions opposées. I. La nécessité pour les hommes d'être gouvernés, sinon on tombe dans le désordre. L’homme a besoin d’être gouvernés du fait que sans gouvernement, sans institutions politiques, la société dans lequel vit l’homme devient une société en désordre. De plus, l’homme a instinctivement besoin d’être commander. Et ce fait d’être dirigé, gouverné garantit une sécurité pour l'individu et autrui.

pouvoir ce n’est pas la compétence. Ce pouvoir va prendre des décisions qui vont s’imposer au peuple. En cas de non-respect, on s’expose à des sanctions. SECTION 1 : L’apparition de la figure de l’état Qu’est-ce que l’état ? Comment le concept s’est formé intellectuellement ? Comment historiquement cet état s’est imposé ? Paragraphe 1 : La conceptualisation de la figure de l’état A/ L’étymologie Origine de terme latin : « status » = posture, pose dévié en « stare » = se tenir debout. Idée de permanence

décennies, conduit à une individualisation des entités sociales, en ce sens que l’individu ne se pense plus comme, avant tout, partie d’une communauté, mais maître de son destin et foyer de possibilités. Possibilités que l’Etat doit faire naître de la meilleure manière, d’où l’exigence d’un service plus proche du citoyen et du consommateur. Le rôle d’Internet dans ce processus de mise en avant de l’individu – dont il n’est pas question ici, tellement le sujet est large et fait encore couler de l’encre –