La Description Chez Chateaubriand

voltairienne Guy Teissier - Ondine et le temps de lIllusionniste : Magie et Théâtre de Corneille à Giraudoux Abdelghani El Himani - Supplément au voyage de Cook de Jean Giraudoux : une utopie esthétique ? Mireille Brémond - LImage du paradis perdu chez Giono, liée à lexpérience du Contadour Abdelkrim Benamrhar - Miroir, Sujet, Société dans la littérature du 19ème siècle Meryème Rami - Le Moi entre le réel et limaginaire dans l?uvre de Marcel Proust Abdelhak Bel Lakhdar - Autour dun Sujet-origine :

chroniques littéraires La Forme d’une ville (1985), essai sur la ville de Nantes Autour des sept collines (1988), sur Rome Carnets du grand chemin (1992), chroniques littéraires, historiques et paysagères Tous les livres de Julien GRACQ ont été publiés chez José Corti. Voir le dossier consacré à Julien Gracq sur le site : http://www.jose-corti.fr/ Julien GRACQ -jrc 3 Mes favoris : Parmi tous ces ouvrages où se déploient les envoûtements d’une écriture magistrale, il ne faut surtout pas manquer

illimité de la personne réelle dans l’œuvre littéraire. Que devient la relation de l’auteur avec son personnage quand le personnage n’est autre que la personne même de l’auteur ? Quelle est la liberté du « je » de l’autofiction, si vive et surprenante chez les personnages de fiction ? Elle est possible, oui, à condition que l’auteur ne se plante pas devant lui-même comme devant un miroir magnifiant, excitant, mais qu’il tourne ce miroir de soi vers le monde, pour que le monde s’y réfléchisse ; à condition

». Hugo, qui « résume en lui la dernière perfection, la force de notre poésie épique, lyrique et dramatique », est aux yeux de Banville le poète total, excellant dans tous les registres poétiques. La justification de la poésie parnassienne passe chez Banville, au grand dam de Leconte de Lisle, par la reconnaissance de Hugo, « père de tous les rimeurs », même s’il s’agit ensuite de s’en affranchir. La filiation est clairement revendiquée dès le premier recueil de Banville, Les Cariatides, inspiré

le temps, par l’espace ou par les deux. Ainsi les faits imaginaires qu’il raconte, et les personnages créés paraissent vrais à cause des coutumes inconnues des sociétés éloignées où ils sont placés. Ainsi l’écrivain romantique, François-René de Chateaubriand place son les personnages de son roman Atala parmi les « sauvages » de l’Amérique. Ainsi les mœ de ces sauvages permettent d’admettre bien des urs comportent qui seraient invraisemblables dans une société européenne. L’idéalisme représente le troisième

s’agitaient dans des lieux lointains les Dieux et les hommes. L’exotisme exerce une fascination parce qu’il est étranger à l’environnent connu et habituel. Le goût pour le dépaysement et pour l’ailleurs a inspiré les auteurs du XIXème siècle : de Chateaubriand à Flaubert, dont le roman Salammbô connut un succès évident à la parution. Il faut dire que l’accroche de l’incipit créait un intérêt immédiat : « C’était à Megara, Faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar. » Les trois noms propres portaient

humanistes ou classiques, les vers irréguliers ont été détrônés par les vers libres d’un Prévert ou d’un Reverdy, eux-mêmes « contestés » par les poèmes en prose (par exemple ceux d’Aloysius Bertrand) qui sont pour Baudelaire les plus aptes à la « description de la vie moderne », jusqu’à l’apparition du calligramme, mi-poésie mi-dessin. Mais les poètes s’en prennent aussi à la langue. Soucieux de faire de la poésie un langage pour tous, Hugo, dans Les Contemplations, fait entrer en poésie les « mots

développement du discours indirect libre, le choix d’un point de vue interne alternant avec un point de vue omniscient – celui du narrateur – ou encore les interviews d’auteur, sont différents procédés d’écriture qui, au XIXe siècle, affinent la description psychologique du personnage du roman. -Approche sociologique : Au-delà de personnalités singulières, le roman du XIX siècle montre aussi des individus influencés par la société dans laquelle ils vivent et présente les personnages comme des types

personne pour la raconter. ex : Enéide «Je chante», représentation inscrite de celui qui prend la parole pour raconter une partie de l’histoire (voir de sa propre histoire). Ulysse raconte aussi sa propre histoire, mais personnage fictif et la description de toute la situation est présentée avant qu’il commence à raconter son histoire. La narration distingue la représentation narrative et la représentation théâtrale. Dans le théâtre il n’y a X de distance entre l’histoire et le spectateur, dans

littéraires les plus représentatifs de ce siècle. Comme tous les modules d’Histoire littéraire, ILF II demande une grande participation de l’apprenant dans son apprentissage. En ce sens, nous vous invitons à lire les textes suivants : R. de Chateaubriand, Renée V. HUGO, Ruy Blas Hernani H. de Balzac, le Père Goriot STENDHAL, le Rouge et le Noir Flaubert, Madame Bovary ZOLA,l’Assommoir Introduction générale au module Qu’est-ce qu’un mouvement littéraire ? Cette notion, essentielle à la