La Deuxième Méditation De Descartes

de Dieu, Saint Thomas D’Aquin (1227-1274).................................................... 37 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 39 Texte 9 : La version cartésienne de l’argument ontologique, R. Descartes (1596-1650) ............................................................... 40 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 41 Texte 10 : La possibilité logique de l’existence de Dieu, G. W. Leibniz (1646-1716)

entre elles. Tous les sens doivent montrer la même chose et si il y a discordence entre les sens, il y a hallucination. Mais il peut arriver que les hallucinations soient concordantes, c’est-à-dire que tous les sens offrent une vision iréelle. Le deuxième test est alors celui de l’expérience concordante: on peut parler d’hallucination lorsque l’expérience que l’on vit n’est pas concordante avec ce que l’on sait du monde (c’est l’exemple par exellence de l’éléphant rose). Mais un nouveau problème apparaît

professionnels de la communication. Sophistes = ennemis intellectuels. Sa pratique du doute et du questionnement va s’opposer à leur savoir, leur assurance, leur capacité d’avoir un avis sur toutes les questions, morales, politiques ou existentielles. Deuxième maxime : « Connais-toi toi-même»  La connaissance de soi est une condition nécessaire à la connaissance des autres et plus largement, à la connaissance objective.  Tout individu porte en lui une/des vérité(s), c’est la « démarche philosophique »

L’existence Husserl : Méditations cartésiennes (Deuxième méditation) : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». [Il faut] dire que tout cogito ou encore tout état de conscience « vise » quelque chose, et qu’il porte en lui-même, en tant que « visé » (en tant qu’objet d’une intention) son cogitatum respectif. Chaque cogito, du reste, le fait à sa manière. La perception de la « maison » « vise » (se rapporte à) une maison – ou, plus exactement, telle maison individuelle – de la manière

parler est pleine d’indiscrétion et d’irrévérence : ‘Dieu ne peut mourir’, ‘Dieu ne se peut dédire’, ‘Dieu peut faire ceci, ou cela’. Je ne trouve pas bon d’enfermer ainsi la puissance divine sous les lois de notre parole. (II, 12, 312) Avant Descartes, Montaigne avance que Dieu n’est pas soumis aux principes logiques qui définissent notre rationalité 10. Notre raison ne peut prétendre coïncider avec celle de Dieu, qui est seule infaillible, et se faire passer pour la mesure de ce qui est et

croyances sont absurdes et donc à nouveau nos préjugés existe. il faut donc une méthode plus radicale pour les vaincre c'est ce que va proposer Descartes qui va mettre en doute toutes les idées qu'il a dans son esprit. Même les plus évidentes. De cette façon si certaines idées résistent au doute elles ne sont pas de simples préjugés mais des idées vraies. Descartes va mettre en doute les deux sources de nos idées : les sens, nous disent qu'il y a des choses autour de nous et comment sont ces choses,

soi exige de s’extraire du monde. Vous pouvez ici penser à la notion de méditation, par exemple. Vous pouvez également penser aux analyses de Pascal sur le divertissement lorsqu’il montre que c’est en se perdant dans le divertissement, dans des occupations, dans l’extériorité que l’homme ne prend pas conscience de sa condition. Se saisir soi-même reviendrait à s’isoler. Vous pouvez également penser aux analyses de Descartes à propos du cogito, quand il montre qu’il se saisit en mettant en doute de

propos, l'exemple du moment où Paul Hindemith met sa cravate. Lors du premier plan (fig. 10), nous pouvons voir l'acteur, utilisé ici comme un simple support plastique sans spécificité, dans un cadre tentant vainement de mettre sa cravate, dans le deuxième, nous voyons la cravate se mouvoir seule ; dans le premier cas il s'agirait d'aller « jusqu'où va la puissance du corps existant »18 dans un temps en rapport avec les plans précédents, dans le second, nous pouvons envisager cet aparté que choisit

mouvement humain qui conduit à un changement plus spirituel. « Avancer vers » est aussi le premier geste que j’ai fait parmi vous pour mon initiation. Pour être juste, c’est le second geste puisqu’avant j’ai vécu un temps de réflexion et de méditation sur le « Prologue » de Saint Jean dont les premiers mots du verset 1 « In principio erat » « Au commencement était » m’ont rappelé tout le chemin à parcourir. On voit donc bien le lien qui existe entre préparation intérieure et procession extérieure

de se fier à quelque chose et qui se donne comme une authenticité . Et l’on observe en effet que les hommes ont beaucoup de mal à s’entendre sur la définition et sur les critères de la vérité. D'un autre cote , lorsqu'on se penche sur le sens du deuxième terme , c'est-à-dire sur la présuppositions de la notion tyrannique , on remarque que cette expression n'admet pas de contradiction et voire même de litige. Cette approche se justifie par sa signification elle même puisqu'elle nous mets sur le point