La Dialectique éristique

séances d’improvisation sur n'importe quel thème 3) La critique des poètes (Homère, Hésiode...) 4) L'éristique ou art de la discussion. La joute éristique n'était pas prouver le vrai et au contraire, plus elle paraissait fausse, plus on admirait le sophiste. Mais ce dernier apportait aux élèves un style, des idées générales et une dialectique ou technique générale de l'argumentation. Au début du IVe siècle va voir arriver un antisophiste qui va enseigner la rhétorique en la moralisant : Isocrate

1986, p. 171. ------------------------------------------------- Héraclite (v. 540 — v. 480), le dernier ionien, est le premier à avoir esquissé une théorie de la connaissance. Hegel a voulu voir en lui l’ancêtre de sa dialectique. Héraclite a porté l’attention des hommes sur l’opposition des contraires et sur l’harmonie capable de les unir momentanément. Cette harmonie, c’est la loi de l’être, le logos, qui domine tout l’univers. 2.1.1.2. L’Ecole pythagoricienne

dieux grecs qui est considérée traditionnellement comme le point marquant de la naissance de la philosophie. Ce souci de démontrer et de livrer une argumentation se retrouve au cours de toute l'histoire de la philosophie. Qu'on songe aux discussions éristiques durant l'Antiquité, à l'intérêt que portent les philosophes à la logique depuis Aristote, mais aussi, au Moyen Âge, au souci de donner à la philosophie la rigueur démonstrative des mathématiques (comme chez Descartes ou Spinoza) ou à l'importance

Aristote. L’homme est en même temps un animal qui est fait pour être trompé. Ce qui constitue le jeu des sophistes c’est une eristique : déesse Eris : déesse de la querelle. Discours éristique : provoquer la querelle en soulevant une question, discours dans lequel la vérité n’est pas un critère, ce qui compte c’est de gagner. La polémique est proche du discours éristique : dans cette dimension de la polémique : les critères ne sont pas d’illusion, c’est de l’emporter dans tel ou tel polémique

dieux grecs qui est considérée traditionnellement comme le point marquant de la naissance de la philosophie. Ce souci de démontrer et de livrer une argumentation se retrouve au cours de toute l'histoire de la philosophie. Qu'on songe aux discussions éristiques durant l'Antiquité, à l'intérêt que portent les philosophes à la logique depuis Aristote, mais aussi, au Moyen Âge, au souci de donner à la philosophie la rigueur démonstrative des mathématiques (comme chez Descartes ou Spinoza) ou à l'importance

dieux grecs qui est considérée traditionnellement comme le point marquant de la naissance de la philosophie. Ce souci de démontrer et de livrer une argumentation se retrouve au cours de toute l'histoire de la philosophie. Qu'on songe aux discussions éristiques durant l'Antiquité, à l'intérêt que portent les philosophes à la logique depuis Aristote, mais aussi, au Moyen Âge, au souci de donner à la philosophie la rigueur démonstrative des mathématiques (comme chez Descartes ou Spinoza) ou à l'importance

dieux grecs qui est considérée traditionnellement comme le point marquant de la naissance de la philosophie. Ce souci de démontrer et de livrer une argumentation se retrouve au cours de toute l'histoire de la philosophie. Qu'on songe aux discussions éristiques durant l'Antiquité, à l'intérêt que portent les philosophes à la logique depuis Aristote, mais aussi, au Moyen Âge, au souci de donner à la philosophie la rigueur démonstrative des mathématiques (comme chez Descartes ou Spinoza) ou à l'importance

les Actes de l'Académie d'Athènes, 1933). 4 15 IV, III), et dont Xénocrate et Aristote lui-même avaient fait des rédactions. C'est donc que la méthode, dite socratique, d'enseigner par interrogations et réponses et sous la forme d'une dialectique vivante et agissante, n'a pas été d'une façon constante la méthode pratiquée par Platon dans son École. Au moins vers la fin de sa carrière, il semble avoir donné sur certains points de sa doctrine des expositions continues et proprement didactiques

| | |Selon Rousseau, autrui désigne mon semblable, tout être qui vit et qui souffre. | | |Autrui est le terme essentiel, chez Hegel, de la dialectique du maître et de l’esclave, en tant qu’il est | | |constitutif de chaque conscience et donc de la lutte à mort pour la reconnaissance des consciences dans une | | |relation

préfère alors les appeler dialectique. Pour lui, la dialectique fait progresser l’esprit vers la vérité, en éliminant les thèses contradictoires, au lieu de jouer avec elle comme le font les rhéteurs. Dialectique et sophistique s’opposent comme les deux versants de la rhétorique, mais l’une est positive et centrée sur la vérité tandis que l’autre est négative et se limite à choisir une thèse selon des critères d’opportunités. Les philosophes ont recourt à la dialectique tandis que les sophistes s’en