La Dialectique éristique

qu'elle que soit la réelle véracité et validité de ce que j'avance. Ce qui m'intéresse ce n'est pas d'atteindre la vérité met de prendre l’avantage, le dessus sur les autres locuteurs. On peut ici faire référence à Schopenhauer qui, dans La dialectique éristique (qui peut se traduire par l'art d'avoir toujours raison) montre que la finalité du dialogue est de parvenir à l’apparence de vérité, afin de convaincre les auditeurs que l'on a raison, même si l'on a objectivement tort. Pour l'auteur allemand

Ménon de Platon Sur la vertu, genre probatoire Savoir éristique [pic] exotérique (tout le monde). Le genre probatoire est la preuve, la définition de la vertu avec arguments. Anythos = celui qui bâcle L’esclave = la connaissance est indépendante de la condition sociale. Gorgias = un sophiste (c’est un maître de rhétorique) autrement di il apprend à ses élèves l’art de bien parler. I] Question initiale : la vertu est-elle inée ou acquise ? (à la 1er réplique de Ménon) (p125) : II]

Dialectique et contradiction chez les Anciens OBJECTIF : dégager la structure logique, c’est-à-dire les procédés argumentatifs, du discours philosophique. 1. Parménide d’Elée ou l’apparition officielle de la contradiction dans l’histoire de la philosophie Il semble qu’il y ait, chez Parménide, qui est le représentant le plus éminent des Eléates, quelque chose comme de la contradiction. En effet, dans son poème philosophique : De la nature, il commence par opposer deux voies de recherche :

art de bien parler et de bien dire, c'est pour Cicéron ce qui va servir à prouver la vérité de ce que l'on affirme (tandis que Socrate cherche simplement la vérité par la confrontation des débats). Cette distinction va opposer l'éristique de la dialectique. La vérité ressort de la confrontation des arguments, elle ne cherche pas à plaire. Certains ouvrages nous donnent les moyens de nous servir de différentes techniques rhétorique pour faire passer nos arguments. La théorie communicationnelle → dans

conquérir pouvoir. Argument sophistes pour montrer ne sont pas menteurs. Ce qui est vrai c’est ce qui est, l’erreur c’est ce qui n’est pas. Donc tout ce qu’on dit est vrai -> argument éristique (clouer le bec) l’erreur est mal définie, ce qui n’est pas n’existe pas, ce qui est est autre de ce qui est. Argument éristique vise pas partage mais domination de l’autre, dialogue, débat = combat. Démagogie = flatter (grec) Dialogue permet mettre en commun idées, communication au départ, même signification

proposée par les sophistes. En effet ces derniers avaient créé un niveau d'études post-élémentaire basé sur la valorisation de l'enseignement intellectuel surtout dans le dernier tiers du Ve siècle à Athènes. L'enseignement des sophistes fondé sur la dialectique (l'art de la discussion) et sur la rhétorique (l'art de bien parler) suscite de violentes polémiques et de vigoureuses oppositions au IVe siècle. L'enjeu de l'éducation des jeunes citoyens est d'autant plus important dans la cité d'Athènes, étant

questionnement. Si la personne ne peut pas répondre a ces questions, alors elle ne peut pas être convaincu. On doit alors passer pas la persuasion. Il existe enfin la persuasion dialectique. Il s'agit d'une manière de persuader pour pouvoir convaincre sans tromper. Cette persuasion dialectique est appelé dialectique éristique, elle est utilisé par les sophistes. Il s'agit d'une méthode de persuasion, dans la mesure où les arguments sont considérés pour leur seule efficacité, dans le seul but de persuader

brillants s'engageaient à répondre aux questions posées) dialectique: méthode de recherche qui a pour base le dialogue. DIFFERENCE : la différence "spécifique" est le caractère qui distingue une espèce des autres espèces du même genre. EGALITE : principe selon lequel les individus, au sein d'une communauté politique, doivent être traités de la même façon. empirique: dont la source est l'expérience. épistémologie: l'étude de la connaissance eristique: art de combattre par les discours ESPECE : classe

DIALECTIQUE ET DIALOGUE Author(s): Ch. Perelman Source: Les Études philosophiques, No. 3, LA DIALECTIQUE: Actes du XIVe Congrès des Sociétés de Philosophie de Langue française (Nice, 1-4 septembre 1969) (JUILLET-SEPTEMBRE 1970), pp. 333-338 Published by: Presses Universitaires de France Stable URL: http://www.jstor.org/stable/20845813 . Accessed: 24/01/2014 16:20 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms

dents blanches d. Les lieux → Naturellement, ces méthodes n'avaient pas pour but de prouver le vraisemblable → Au contraire, plus le résultat de la joute éristique était faux ou absurde, plus on admirait le sophiste → Ce dernier apportait cependant à ses élèves un style, des idées générales (ex : sur le droit naturel et légal), une dialectique (technique générale sur l'argumentation) [1.3.2] La distinction Isocratique → Il est donc d'abord malaisé de différencier sophistes et rhéteurs → Cependant