La Difference Entre Le Libre Echange Et Le Protectionnisme

avec un accroissement du nombre des États-nations, de l’hétérogénéité de taille et la diversité de forme de ces pays) et la tendance à l’unification du monde (unification des marchés, mais aussi accords régionaux et expériences d’unions politiques entre les nations ou formation de coalitions à but stratégique…). Les forces qui nourrissent cette dualité (ou dialectique) de la mondialisation sont mieux comprises et modélisées qu’il y a dix ans. Elles ouvrent des perspectives tout à fait nouvelles pour

Libre-échange Le libre-échange est un système de commerce international reposant sur l'absence de barrières douanières et non douanières à la libre circulation des biens et des services. Il ne concerne pas les mouvements de travailleurs ou de capitaux. Les accords internationaux favorisant cet objectif reposent essentiellement sur • des traités bilatéraux de réciprocité commerciale entre deux pays • des accords créant des zones de libre-échange • et, dans le cadre de la mondialisation

toute polémique, de préciser ce qu’est exactement le phénomène de mondialisation. La mondialisation se traduit par une interdépendance croissante entre les différentes parties du monde. Cette interdépendance est avant tout économique : les économies des pays du globe sont de plus en plus dépendantes les unes des autres, notamment par leurs échanges commerciaux. Cette mondialisation est encouragée et encadrée par un certain nombre d’acteurs institutionnels internationaux, dont le plus connu est

économiques ». Pour profiter de nouvelles opportunités : Vers un recul du protectionnisme Vers une accélération de l’intégration économique Ces opportunités sont limitées par de réelles difficultés : Les aspects interculturels La variabilité des systèmes économiques, juridiques et technologiques La stratégie des entreprises concurrentes Mais surtout par la dimension politique Le recul du protectionnisme depuis : GATT (1948) : accord général sur les tarifs douaniers et le commerce

tous. Il y a 3 limites au caractère bienfaisant de l’action de l’Etat : -le bonheur collectif n’existe pas! -les conflits d’intérêt (K. Arrow) -la bureaucratie ( la multiplication des administrations) L’Etat est celui qui doit « trancher» entre perdants et gagnants ( des politiques et décisions). Croyez-vous aux incitations ? Jean-Jacques Laffont a beaucoup travaillé sur la théorie des incitations, pour lui la politique publique devait tenir compte des : -le comportement individuel

étude pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension (=le produit global net en terme réel, en volume) pour une nation. Il faut éviter de confondre croissance éco et augmentation du niveau de vie moyen (= le rapport (la÷) entre le produit global (PIB ; PNB) et le nombre d’habitants) qui ne donne qu’une idée de ce que l’on appelle le développement éco : il n’y a une répartition égalitaire de la richesse nationale (comme dans le communisme). Cependant, il est parfois intéressant

nationales lorsqu’elle ne parvient pas à composer les demandes qui s’adressent à elle. La globalisation des marchés s’oppose à la vision du cycle du produit. Il s’applique surtout à la gestion des firmes multinationales et concerne surtout les échanges des biens et services. ← Kenichi OHMAE. Il va élargir la notion à l’ensemble de création de valeur (Recherche et Développement, production, marchandisation, service, finance). Elle désigne une forme de gestion totalement intégrée à l’échelle

besoins illimités avec des biens limités donc rares. des choix sont alors nécessaires. la science économique est la science de ces choix. II - les principaux courants de la pensée économique a) le courant libéral et néoclassique Chaque individu, libre, rationnel, recherche son intéret personnel. la régulation économique s'effectuera par le marché. la recherche des intérets particuliers concourra à l'établissement de l'intéret général par une "main invisible", comme l'exprime Adam Smith (1723-1790)

pauvreté et inégalité, économie extravertie et duale,…) B et des situations spécifiques (tous les PED ne sont pas logés à la même enseigne) II Des explications diverses : A simple retard ou des blocages qui alimentent les difficultés B libre échange et/ou protectionnisme pour mieux maîtriser son ouverture C des facteurs socioculturels (des cultures plus ou moins propices à la croissance, des dirigeants plus ou moins soucieux de sortir leur pays du mal développement,…) . Montrer que les difficultés des

» Relater les liens entre les trois processus. La mondialisation a été et restera une source déterminante de changement, un catalyseur des transformations économiques et social. Elle est un processus d’ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaire, cependant, depuis ces dernières années, les flux commerciaux importants s’effectuent entre quelque grands regroupements ou associations de pays comme l’Union Européenne, l’Accord de Libre Echange Nord-Américain (ALENA)