La Dîme royale

car étant issu de la famille Carolingienne. Plus de monopole carolingien sur la fonction royale. 2. L’instabilité des dynasties royales.7 La crise du pouvoir carolingien ouvre la porte une période à une période de fortes instabilités dynastiques. On n’hésite pas à parler de crise politique pour les années 880-940. Cette crise est le résultat d’une compétition entre les grands qui prétendent à la fonction royale ou soutiennent un candidat à cette fonction. En Francie occidentale, affrontement entre

avaient donc certains droits de puissance publique et politique qu’ils exerçaient au nom du roi : rendre la justice, prélever l’impôt, organiser l’armée, faire la guerre, diriger des terres agricoles. Mais, par suite d’un affaiblissement du pouvoir royal, ces seigneurs se sont appropriés ces droits. Ce système avait largement fonctionné au Moyen-Âge (jusqu’au 16ème siècle), car le roi était faible. Mais peu à peu, le roi récupère du pouvoir, et progressivement se forme la monarchie absolue, et il récupère

l'Eglise L'institut religieuse constitue un véritable « Etat dans l'Etat » Une partie du clergé : constitue une classe privilégiée le haut clergé assimilable à la noblesse possède des biens fonciers ( 10 % du sol) ne paie pas d'impôts perçoit la dime (10 % des récoltes) Ces privilèges sont peu en rapport avec la vocation de la pauvreté qui émane de l'Evangile. Les Jésuites (un des ordres écclésiastiques) chez qui se recrutent les confesseurs des rois : sont les gardiens d'une tradition qui

reine de Sardaigne qui a été Vénérable en 1808 et d'Élisabeth de France. Le règne de Louis XVI est marqué par des réformes importantes concernant le droit des personnes : abolition de la torture en 1781 et 1788, abolition du servage dans le domaine royal en 1779, abolition du péage corporel des juifs d'Alsace en 1784, édit de tolérance des protestants en 1787. Il est aussi marqué par quatre tentatives de réformes profondes du royaume (1774-1776, 1781, 1787 par deux fois) passant par l'instauration

le 28 mars 1671 le roi Louis XIV. En 1668 éclate à Carhaix l’affaire Renée-Mauricette de Ploeuc, Dame de Montgaillard qui est soupçonnée de rouler des paysans avec la complicité de son notaire Sébastien Le Balp âgé alors de 23 ans. Il était notaire royal depuis un an, redevable envers la famille de Ploeuc qui avait payé ses études, il souhaitait être salarié de la marquise. L'affaire concerne un acte de ferme au nom de paysans pour les moulins à la somme de 1100 livres par an au profit de Dame de Ploeuc

convoquer les Etats-Généraux. A) La réforme de Louis XV et le Chancelier Maupeou. Le bras de fer entre Louis XV et les parlements s’engage en 1766 lors de la séance royale dite de « la flagellation » (3 Mars 1766). Louis XV va affirmer que les parlementaires sont de simples officiers qui agissent par délégation royale. Il condamne ces idées de représentation de la nation. Il rappelle que la monarchie française est absolue de droit divin, « en ma personne seule réside la puissance souveraine

cellérier (il assurait le contrôle des vignes et des pressoirs) de l'abbaye bénédictine d’Hautvillers pourtant traditionnellement reconnu comme le père de l’invention de ce vin mousseux. Par contre en 1662 un Anglais C. Merret décrit en huit pages à la royal Society une méthode de fabrication de vins et en 1676, un poète londonien chantait : « le champagne effervescent qui ranime rapidement les pauvres amants languissants, les rend joyeux et gais et noie tous leurs chagrins ». D’abord rejetés en France

religieux de la monarchie française. Les ordres privilégiés se révoltent aussi contre le pouvoir royal. En effet, l'absolutisme les a privés de leurs prérogatives traditionnelles. Les Parlements sont des cours de justice sous l'Ancien Régime. Ils profitent du droit traditionnel qui leur permet d'émettre des remarques lors de l'enregistrement des lois dans les registres des parlements pour critiquer le pouvoir royal. Bien qu'ils défendent avant tout leurs privilèges, ils arrivent à passer, aux yeux de l'opinion

dont l’abbé de Clairvaux. Le vœu est prononcé devant le patriarche de Jérusalem. Les premiers chevaliers prennent le nom de « Pauvres Chevaliers du Christ » ; l’appellation plus tardive de « Templiers » faisant référence à une partie de la résidence royale dans laquelle le roi Baudouin II les avait installés. En effet, il s’agissait du Temple de Salomon transformé a posteriori par les musulmans en mosquée, celle d’Al-Aksa. L’ordre concilie, et c’est une chose peu commune pour l’époque, la vie militaire

ce qui va évidemment créer une situation de contrainte pour les agriculteurs et paysans. C'est bien la campagne qui paye pour tous, c'est sur elle que pèse la fiscalité royale, à travers les impots directs comme la taille ou indirects comme la gabelle. C'est aussi sur le monde des campagnes que pèse les revenus du clergé, la dîme, d'autant plus pesante qu'elle est payée en nature et, c'est aussi sur la campagne que pèsent les revenus du seigneur qu'il soit noble ou roturier. Elle paye donc la majorité