La Diphtérie

‰ et 23,8‰ en milieu urbain. Quant à la mortalité infanto–juvénile elle a baissé de 138‰ à 46‰ au cours de la même période. Cette évolution est due en grande partie à l’élimination et au contrôle de nombreuses maladies cibles de la vaccination : diphtérie, tétanos néonatal, coqueluche, poliomyélite et rougeole. La mortalité néonatale (20‰ en 1997) reste cependant élevée et représente plus de la moitié des décès pas infantiles. Ceci est en rapport étroit avec les conditions de la santé de la mère,

prolongés pendant presque cinquante ans, Cuba a été capable de supprimer l'analphabétisme en un an. La mortalité infantile a été réduite de 60%. Des maladies infectieuses transmissibles, comme la poliomyélite, le paludisme, le tétanos néo-natal, la diphtérie, la rougeole, la parotidite, la coqueluche et la dengue ont été éradiquées. Aujourd’hui, à Cuba, les gens meurent des mêmes maux que dans les pays les plus développés : maladies cardiovasculaire et tumorales, accidents. C'est à Cuba que le taux de

Colonisation et toxi-infection Adhésion de la bactérie et multiplication au niveau de la barrière cutanéo- muqueuse. La sécrétion des toxines est respon- sable du pouvoir pathogène. Clostridium tetani (téta- nos) Corynebacterium diphte- riae (diphtérie) Colonisation et invasion Adhésion de la bactérie au niveau du tissu cutanéo-muqueux puis invasion d’autres tissus. La multiplication bactérienne est patho- gène. La plupart des bactéries pathogènes sont inva- sives. Titre TD Biologie

de la rate, de la moëlle osseuse afin d’être neutralisé ou de créer un nouvel foyer infectieux : infection métastatique Agent chimique passe dans le sang et provoque une intoxication de l’organisme tout entier. Ce sont des toxines microbiennes (diphtérie, tétanos, botulisme) qui dégradent fortement les cellules. Il y a un désordre dans les organes ou la toxine s’accumule. 5. Types d’inflammation Il dépend de l’importance du liquide exsudé, de la fibrine déposée ou des PN (polynucléaires) ●

Direction des Systèmes d’Information et de l’Organisation DSL = Digital Subscriber Line DSM = Direction du Service Médicale - CNAMTS DSS = Direction de la Sécurité Sociale (ministère de la Santé) DSV = Direction des Services Vétérinaires DTCP = Diphtérie, Tétanos, Coqueluche, Poliomyélite DTP = indemnité compensatrice à tierce personne DTS = Dépense Totale de Santé DTSIMRT = Diplôme de Technicien Supérieur en Imagerie Médicale DU = Diplôme Universitaire DVB-S = Digital Video Broadcosting for Satellites

caméscope, des devises étrangères de manière illimité, deux bouteilles d'alcool et deux cartouches de cigarettes maximum (1). Vaccins: Il n'y a pas de vaccin obligatoire demandé aux européens, il suffit d'être à jour dans les vaccins courants (diphtérie, tétanos, poliomyélite). Il est cependant conseillé de faire les vaccins contre l'hépatite A et l'hépatite B, au moins 2 semaines avant le départ (1). Conseils Sanitaires: Ne consommez que de l'eau en bouteille capsulée et surtout pas d'eau du robinet

sécuritaire des ouvrages d’assainissement • Organisation de la sécurité en assainissement - Signalisation - Danger des gaz - Consignes de sécurité et d’intervention - Matériel de protection obligatoire - Suivi des vaccinations obligatoires (BCG, Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite) - Maintenance des équipements en général et de sécurité en particulier • Actions à entreprendre en cas d’accident - Précaution a prendre en cas d’égratignure, blessure ou chute dans un bassin - Hygiène obligatoire 1. Conception

bouches-du-rhone.pref.gouv.fr/Politiquespubliques/Jeunesse-sports-et-vie-associative Cette fiche sanitaire de liaison doit comporter les informations suivantes : - l’identification du mineur - les dates des derniers rappels des vaccinations obligatoires ( diphtérie, tétanos et poliomyélite) et des vaccins recommandés ( la rougeole-oreillons-rubéole, la coqueluche, l’hépatite B, méningite, méningocoque C) ou à défaut une photocopie nominale des pages concernant les vaccinations du carnet de santé - les antécédents

contemporaine, née le 1er septembre 1940 à Lillebonne en Seine-Maritime, au nord de la France dans une famille des petits commerçants. Elle grandit à Yvetot en Normandie. Elle n’aura jamais connu sa grande sœur, née en 1932 et décédée en 1938 « de la diphtérie trois jours avant Pâques. »1 Elle vient d’un milieu sociale modeste, ses parents sont d’abord ouvriers, puis ils achètent le café-alimentation à Lillebonne et ils deviennent entrepreneurs.2 Sa mère s’efforcera avec résignation et fierté de lui donner

B survit à une injection de toxine diphtérique, après avoir reçu une injection de sérum du cobaye ldp_PARTIE B_p21 à 34_MEP2.indd Sec2:31 A, lui-même ayant survécu à une infection par la diphtérie. Hypothèse : le sérum contient des anticorps dirigés contre des antigènes spécifiques de la diphtérie, comme la toxine diphtérique. b. Le cobaye C succombe à une injection de toxine tétanique, après avoir lui aussi reçu du sérum du cobaye A. Ce sérum ne contient pas d’anticorps permettant d’éliminer