La Dispute Didascalie

premier temps le comique de gestes puis le comiques de mots, ensuite de répétitions avec des parallélismes, de situations et enfin de caractère. Le comique de geste commence au vers 213 avec la dispute d'Alain et Georgette pour ouvrir la porte. Le comique de geste se poursuit au vers 218 avec la didascalie destinée à Alain frappant Arnolphe. En effet ce coup était pour Georgette car ils se disputaient juste avant pour savoir qui allait ouvrir la porte. Un autre comique de geste se trouve au vers 223

Perdez-vous la tête ? ", l. 43 ; " Comment ? ", l. 48, etc.). Elles reflètent l'étonnement, le besoin d'explication et finalement l'incompréhension qui s'installe entre les deux personnages. • L'agitation physique de Jean, perceptible dans les didascalies, représente concrètement sa nervosité " Jean entre dans la chambre ", " allant et venant dans la pièce, entrant dans la salle de bains, et sortant ", " l'interrompant, et allant et venant ", etc. Ici, l'emploi fréquent du participe présent marque

présente comme le souligne la fin d’Andromaque dans la tragédie Andromaque de Racine où la folie et la mort l’emportent. En outre, de véritables scènes de combats peuvent être présentes lors de la mise en scène de la pièce de théâtre ou dans les didascalies ; c’est le cas pour Phèdre qui entraîne à la mort Hippolyte puis elle-même. Aussi il faut savoir que certaines pièces sont critiquées parce qu’elles ne contiennent pas de morts. C’est le cas pour Bérénice, Racine a d’ailleurs contesté le traitement

fait au travers de ruptures de tonalités. Ainsi, la scène gagne en intensité. Le stratagème de Cyrano a donc résussi mais aux dépens de son auteur puisque le commentaire élogieixu destiné à christian blesse le poète, qui est “dégrisé” d’après la didascalie, en le ramentant à la réalité qu’il avait “ouliée”. La réplique précédente de Roxane, rapelle le fondement même de la situation pathétique de Cyrano : l’opposition entre sa beauté morale et beautté physique lui interdit de connaitre un amour partagé

dénonce la soumission de tous à un mot d’ordre absurde et criminel.  I. Un moment de tension  A. Le dérèglement de la conversation  1. Une situation conventionnelle Bérenger se rend chez Jean pour se réconcilier avec lui : ils viennent de se disputer au sujet des rhinocéros d’Asie et d’Afrique. On attend donc une scène de réconciliation et de pardon réciproque... 2. Le détournement On note dès le début une discordance entre le ton mondain (" je vous en prie ", " mon cher Jean ") de Bérenger

la deuxième partie. L'histoire commence ainsi : Sur la place d'une petite ville tranquille de province, nos deux protagoniste, Jean et Berenger boivent un café et discute….Jean reste une personne avec un caractère affirme, extroverti, et il se dispute avec Berenger, home timide, introverti et trop calme pour les gouts de Jean… Tout à coup, un Rhinoceros traverse la place, avec grand bruit, dérangeant l'ordre établi. Tout le monde dans le café et sur la terrasse parle de ce qui vient de se passer

l’inventeur des Bobby Watson (voir La Cantatrice chauve). RESUME. La soudaine apparition d’un rhinocéros provoque la stupeur et occupe quelque temps la conversation des passants : Bérenger, plumitif timide et velléitaire, son ami Jean, avec lequel il se dispute, et un chœur de personnages falots que domine un «logicien»; puis, malgré le passage d’un second animal, tout semble rentrer dans l’ordre (Acte I). Le lendemain, au bureau où travaillent Bérenger et Daisy, une jolie dactylo qui a également assisté

sourire «  Des femmes avocates ? »Ils utilisent un humour dévalorisant Et se ridiculisent dans leurs réactions. La dispute entre les deux les deux clans est amusante « le tambour vous dira le reste ou bien le placard au son de la trompe ». Les personnages sont caricaturés : hommes ridiculisés, Mme Sorbin est proche de la servante avec un langage parfois grossier « le butor ». Les didascalies font parties aussi du comique «  Persinat et Lina s’assoient tous deux au même bout ». Conclusion Ce qui

......6 3.4. La notion de temps.......................................................................... 7 3.5. Le langage........................................................................................ 7 3.6. Les didascalies..................................................................................8 3.7. La forme...........................................................................................8 3. La présence de l’absurde.................

(famille Borgia connut dans toute l'Italie pour avoir dépassé les codes des mœurs → une société corrompue) ◦ didascalies « Venise » → époque du « carnaval » → soit le lieu où tout peut se passer (carnaval = masques) ◦ moment dans la nuit (didascalies : « C’est une fête de nuit » ; « au clair de lune. ») • présence de la mort : ◦ atmosphère mystérieuse : nuit et masques + ombre (didascalies « masques et de musiciens, à demi éclairées. » et « clair de lune. ») ◦ champ lexical de la mort → (« horribles