La Dispute Dénouement

analytique n°1 : Acte 1, scène 2 :la tirade de la séduction « Quoi ? Tu veux qu'on se lie...conquêtes amoureuses » • Le reste de la scène Sg éprouve de l'admiration pour Dom Juan. Il sait qu'il est son inférieur mais il veut quand même discuter (« Disputer ») avec son maître. Il a un rôle moral envers son maître ; il doit le ramener à la raison, la religion (« mystère sacré »), la morale. Opposition & complémentarité entre Dom Juan & le libertinage et avec Sganarelle & la religion, la foi. Dom Juan

vous dire vos vérités ? Apprenez de moi, qui suis votre valet, que le Ciel punit tôt ou tard les impies, qu’une méchante vie amène une méchante mort, et que… » DOM JUAN. — Paix ! 17 Molière (1622-1673), Dom Juan, acte II, scène 2, 1665. • 9. disputer : débattre. • 10. libertins : hommes irréligieux ou incrédules ; débauchés. • 11. faiseurs de remontrances : donneurs de leçons. • 12. les esprits forts : les incrédules. • 13. mirmidon : petit homme chétif et insignifiant. • 14. révèrent : respecter

question : elle lui demande indirectement de s’occuper de sa chienne quand elle sera morte (p.36). Elle lui demande de la tuer car préfère la mort à la souffrance. Relecture scène avec Hémon (p.37-44) et corrigé de la question : on apprend qu’ils se st disputés la veille alors qu’Antigone était venue retrouver Hémon, maquillée et bien habillée, pour se donner à lui.       Observer longueur et enchaînement des répliques : qui mène l’échange ? En quoi les didascalies st-elles importantes ?       Que veut

dévoilé, dans un mouvement d'orgueil et de défi, l'empereur choisit contre toute attente, de pardonner à ceux qui avaient fomenté contre lui. Cette scène illustre le dénouement et marque le choix d'Auguste, illustré par le titre « La clémence d'Auguste » Problématique : En quoi la tirade d'Auguste donne t-elle un sens particulier au dénouement ? I) Une énonciation multiple qui marque la déroute psychologique du personnage Déroute personnage = marqué par énonciation multiple : Auguste s'adresse v.1

L’édition de 1748 comptait quelques chapitres de plus que celle de 1747 : “Le souper”, “Les rendez-vous”, “Le pêcheur” ; celle qui parut en 1756 dans la “Collection complète des oeuvres de M. de Voltaire” était augmentée d'un nouveau chapitre : “Les disputes et les audiences” (dédoublement d’un chapitre) ; enfin deux chapitres : “La danse” et “Les yeux bleus”, rédigés à Berlin, que Voltaire n’a jamais intégrés à son livre, et qui ne virent le jour que dans les éditions posthumes de “Zadig”. De plus

plus si vous n’êtes chrétienne ». Félix ordonne sa mort. Pour comble du sort, Pauline décide de trépasser aux côté de son époux. 5 Long monologue où Pauline s’annonce chrétienne ; elle veut suivre Polyeucte déjà mort. 6 et dernière scène, là, dénouement tout à fait improbable. Félix, le roi est chrétien. Il se dit chrétien. Nous assistons au moment où il reçoit la grâce de Dieu « Je cède à des transports que je ne connais pas […] » Sévère alors, tout heureux, décide de ne point se venger de ce

finit par considérer comme des objets. Pourtant bien loin d’être libre, le libertin semble soumis à l’amour, même s’il tente de le cacher, même s’il ne veut pas l’admettre. La lettre 48 est donc une lettre charnière qui propulse le roman vers le dénouement, en annoçant une prochaine relation entre Valmont et la présidente et en confirmant la confrontation de V avec Merteuil. Intro : Cette lettre est extraite du roman épistolaire et libertin Les Liaisons

composante et une conséquence intégrale de la vie en société. Que ce soit au plan professionnel, familial ou encore sociétal, chaque personne est appelée au cours de son existence à vivre une multitude de conflits dont certains peuvent avoir des dénouements forts heureux et d’autres potentiellement plus désastreux. Les organisations en tant que regroupement humain, sont donc un lieu permanent de tensions entre des intérêts contradictoires, un lieu de frictions, d’oppositions, susceptibles de dégénérer

menant une bataille contre son milieu qui l' insupporte voit en Julien l'arme idéale. Lui attiré par une femme qui représente tout ce à quoi il n'a jamais eu accès, l'aristocratie. Ces intentions peu sincères entre les deux personnages prédisent un dénouement peu joyeux. C'est justement ce que l'on constate dans l'extrait du chapitre XVII. On peut lire « emporté par son malheur » : Julien est atteint par la méchanceté de Mathilde. Puis, « du ton le plus tendre » : il tente de séduire Mathilde pour savoir

Les Fausses Confidences 1737MarivauxL'auteur :Sa carrière : De son vrai nom Pierre Carlet , il n’était pas noble. La création de son nom Marivaux donne lieu à de nombreux dérivés : marivauder, marivaudage, marivaudien… Né à Paris à la fin du XVIIème siècle, il entreprend des études de droit dès 1710, et en 1712 = sa première comédie (Le Père prudent et équitable) . Dans la Querelle dite des anciens et des modernes, Marivaux se range du côté des Modernes