La Doctrine De Malherbe

Fontaine, âgé de 20 ans, a été reçu pour les exercices de piété de nos confrères, (Annales de l'Oratoire). N'étant pas fait pour les études religieuses, il quitte l'Oratoire 18 mois plus tard. Il revient à Château-Thierry. Enthousiasmé par les Odes de Malherbe, il passe ses nuits à apprendre ses vers par cœur et, le jour, il va les déclamer dans les bois. Son père est très heureux des premiers vers écrits par son fils. Sa mère meurt alors (fin 1643 ou début 1644). Entre 1645 et 1647, Jean de La Fontaine

et libertés poétiques ont trouvé la censure, particulièrement dans le travail de François de Malherbe qui a critiqué La Pléiade's et Philippe Desportes'irrégularités de s du mètre ou de la forme (la suppression du cesura par a hiatus, condamne des clauses se renversant plus de dans la prochaine ligne "enjambement", néologismes construit des mots grecs, etc...). Le 17ème siècle postérieur verrait Malherbe en tant que grand-père de classicism poétique. Les poésies de Pléiade du monde normal (des

Rambouillet qui va dominer la première moitié du siècle avec Catherine de Vivonne et sa célèbre « chambre bleue » : le lieu principal de ce salon. La marquise y reçoit les plus grands talents de l'époque sur le plan de la littérature. Tout comme Malherbe qui surnomme Catherine : « L'incroyable Arthénice » ; il s'agit de l’anagramme de son prénom : un jeu très courant chez les mondains. Ce salon est par ailleurs actif depuis 1620. De 1650 à 1660 : grande période des salons, notamment celui de Madeleine

chose » EMMANUEL KANT 34-« L’artiste ne met rien au dessus de l’art, et il ne s’aperçoit vite qu’il ne peut créer que pour rien »ALAIN ROBBE-GRILLET 35-« C’est sottise de faire les vers pour en espérer autre récompense que son propre divertissement »MALHERBE 36-« Dès qu’une chose devient belle, elle cesse d’être utile »THEOPHILE GAUTIER 38-« il n y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid » THEOPHILE GAUTIER 39-« EUGENE IONESCO définit l’art comme « un langage

développement de la lecture. Le XVIIe siècle est un siècle majeur pour la langue et la littérature française en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille et Racine, ou pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefsd’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le

pléiade est une constellation de sept poètes dont l'éclat se perdit dans les rayons de l'astre principal. Ce fut une école où les amitiés, les intérêts, la communauté d'opinions politiques et religieuses, ne jouèrent pas un moindre rôle que les doctrines littéraires. A dire la vrai, Ronsard fut le maître reconnu de tout son siècle, et ses disciples les plus outrés se trouvèrent peut être chez ses ennemis. Guillaume Salluste, seigneur Du Bartas, son jeune rival, se montra, pour le dépasser, plus Ronsardiste

du chant qui est rappelée, comme en malgache tononkira « paroles pour chants ». La dimension métaphysique comme la dimension musicale du poème ne sont pas ignorées de la langue française, mais celle-ci privilégie l’idée du poète artisan des mots (Malherbe se qualifie comme un « excellent arrangeur de syllabes ») 3. Histoire d’un mot Le mot poème entre dans la langue française dès le XIIIème et il désigne alors un ouvrage en vers. La Pléiade étend son sens : ouvrage en vers d’une certaine ampleur

goût du public. Malherbe A la fois critique et poète, bien que la postérité ne retienne de lui que le critique codificateur, son œuvre principale, qui contient toute sa doctrine se trouve dans les notes marginales d’un recueil de Desportes (poète tardif de la péliade.) Cette critique est la première œuvre critique en tant que telle. En 1636-1637, le Cid est présenté, ce qui donne lieu à une cabale de la part de l’Académie9. Elle suit pour ce faire la même démarche que Malherbe : une critique du

Humanisme, Baroque et Classicisme HUMANISME   Qu’est-ce que l’humanisme ?   L’humanisme est un mouvement littéraire qui dura du début XV°s au milieu XVI°s. Sa doctrine à pour objet le développement des qualités de l’homme. Les humanistes de la renaissance ont remis en honneur les langues et littératures anciennes. Cette philosophie à pour centre de ses préoccupations « l’homme » ; sa place centrale, sa situation et sa destinée.   Des auteurs et des œuvres.   Né en 1416 en Italie, l’Humanisme

mis en évidence les capacités de la langue française à être en rang du grec et du latin. La prose au XVIe siècle La prose au XVIe siècle connaît ses premiers balbutiements , notamment avec Jean Calvin (1505-1564) , qui à fin de répandre sa doctrine protestante en France,traduisit lui-même son livre intitulé « L’institution de la religion chrétienne  » considéré comme un travail important jamais vu auparavant . Amyot, helléniste distingué aborde d’autres sujets que la religion. Dans ses œuvres