La Double Inconstance Acte 3 Scène 8

m’avaient-ils fait ? Nulle offense. » du lion. Les autres puissants ont un discours narrativisé (on sait qu’ils ne seront pas coupables). Le loup a au départ un discours indirect puis narrativisé. Le sort de l’âne est scellé, le récit s’accélère. Décalage acte/caractérisation. C’est le même crime que le lion mais en moins grave. Euphémisme pour la mise à mort « on le lui fit bien voir ». Pas de compassion : l’âne est un peu coupable de son sort. Morale : « Selon que […] blanc ou noir » se tenir loin des

Marivaux, Scène II. Chez Marivaux, l'amour est toujours surprise, épreuve et déguisement. Son surgissement fait théâtre et son aveu est attendu. Ici il s'agit bien, dans un microcosme social magistralement évoqué, du long combat que mène, contre elle-même et les convenances factices, Araminte, jeune et riche veuve, pour accepter l’amour de Dorante, amant désargenté. Pour tisser les fils de cet ingénieux complot du cœur et faire avancer sa comédie, Marivaux, cette fois, s’est donné un double : Dubois

l’exemple d’un de nos plus illustres auteurs, qui, ayant accommodé le sujet de cette agréable comédie dans son Illustre Bassa aux galanteries du Marquis Français, n’a pas dédaigné d’y employer la fourbe d’un valet qui abuse de la simplicité de l’autre[3]. Quatre textes — les deux versions de Calderón, le roman des Scudéry et l’adaptation théâtrale de d’Ouville — constituent donc les sources — possibles et réelles, et plus ou moins reconnues par l’auteur — de la pièce du cadet de Pierre Corneille

●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●● 10 janvier – 10 février 2013 / Odéon 6e Fin de partie mise en scène Alain Françon _____ © Odéon-Théâtre de l’Europe / 2012-2013 / dossier d’accompagnement / Fin de partie / 10 janvier – 10 février 2013 / Odéon 6e DOSSIER D’ACCOMPAGNEMENT Fin de partie ●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●●● Fin de partie de Samuel Beckett mise en scène de Alain Françon durée : 1h40 Décors et costumes Jacques Gabel Lumière Joël Hourbeigt Avec Serge Merlin

rédacteur : 3. Quel est, selon lui-même, le rôle du « rédacteur » ? 4. Qu’est-ce qu’il se proposait de faire mais qu’on lui a interdit ? 5. Quels sont les trois enseignements que l’on pourra, selon le « rédacteur » tirer de ce livre ? 6. Quels reproches feront, selon le « rédacteur » les dépravés, les rigoristes, les esprits forts, les dévots, les lecteurs délicats et simples lecteurs ? BILAN : Cette œuvre propose, avant même que l’on commence à la lire, une énigme : laquelle ? du 3 août 17**

Saison 2009/2010 Compagnons Création Les Fausses Confidences de Marivaux mise en scène Didier Bezace avec Pierre Arditi, Alexandre Aubry, Christian Bouillette, Jean-Yves Chatelais, Anouk Grinberg, Robert Plagnol, Isabelle Sadoyan et Marie Vialle collaboration artistique Laurent Caillon assistante à la mise en scène Dyssia Loubatière scénographie Jean Haas costumes Cidalia Da Costa lumières Dominique Fortin perruques et maquillages Cécile Kretschmar construction décor Atelier François Devineau

offrent un contact direct avec ses lecteurs. Son site helenedorion.com accompagne la lecture de Mes forêts avec des entretiens radiophoniques et des morceaux de musique. 3 Auteur Hélène Dorion (née en 1958) est une auteure québécoise de quelques romans et de nombreux recueils de poésie traduits en plusieurs langues. 3© H AC HE TT E LI VR E / O bj ec tif B AC 1 re g én ér al e • L’universalité. Le choix d’Hélène Dorion pour le Bac de français ouvre notre littérature à la francophonie

représentation. • Des extraits de scène lus par des comédiens sont disponibles dans le manuel enrichi : • Il pourra être utile, lors de la lecture de ces pages, de relever les termes propres au genre théâtral (« représentation », « tragédie », « comédie », « chœur », …) et d’en vérifier systématiquement la définition, dans les fiches « Outils d’analyse » (p. 434554 ES/S et Techno / p. 437-557 L/ES/S). Les élèves pourront se reporter aux photographies de mises en scène des œuvres citées dans les

Si je la haïssais, je ne la fuirais pas. ........................................Phèdre, acte I, scène 1, vers 1-56 La première scène de Phèdre, est, bien sûr, une scène d'exposition. Comme toutes les scènes d'exposition, elle est destinée à donner au spectateur les informations dont il a besoin pour comprendre la pièce. J'ai déjà parlé ailleurs [1] des qualités que doit avoir une scène d'exposition et des problèmes qu'elle pose. Je me contenterai donc de rappeler ici que la principale

élisabéthaine (poly) 2. La scène élisabéthaine (poly) 3. Shakespeare dramaturge élisabéthain (poly) 4. Quel texte lisons-nous ? Cf. Question posée par Pierre Bayard, dans Enquête sur Hamlet. Question initiale pour développer le dialogue de sourds critique au sujet d’Hamlet. a) Edition  S ne se soucie pas de la publication de ses textes théâtraux (différence par rapport aux poèmes : Adonis, Le viol de Lucrèce, Sonnets). Signe que théâtre = genre scénique et non littéraire, conçu pour la scène et non pour la