La Double Inconstance

nous voulions qu’ils nous estiment plus que nous ne méritons. » 105, p. 77 « Qu’il est difficile de proposer une chose au jugement d’un autre, sans corrompre son jugement par la manière de la lui proposer ! » 127, p. 127 « Condition de l’homme : inconstance, ennui, inquiétude. » 165, p. 96 « Si notre condition était véritablement heureuse, il ne nous faudrait pas divertir d’y penser pour nous rendre heureux. » 172, p. 98 « Le présent n’est jamais notre fin : le passé et le présent sont nos moyens ;

femmes, c'est eux-mêmes, c'est leur idéal, et ils sont toujours et continuellement déçus parce que l'idéal, comme nous le savons, c'est ce qu'il n'est jamais possible de trouver. Comme la déception qui les pousse de femme en femme donne à leur inconstance une sorte d'excuse mélodramatique, bien des dames sentimentales trouvent émouvante leur opiniâtre polygamie. L'autre obsession est une obsession libertine, et les femmes n'y voient rien d'émouvant : du fait que l'homme ne projette pas sur les femmes

XVI 1776 Indépendance des États-Unis 1783 Traité de Versailles 1789 Révolution française / Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen 1795 Directoire 1799 Bonaparte (18 Brumaire) 1721 Montesquieu Lettres persanes 1723 Marivaux La Double Inconstance 1730 Marivaux Le Jeu de l’Amour et du hasard 1731 Abbé Prévost Manon Lescaut 1734 Voltaire Lettres philosophiques 1748 Montesquieu De l’Esprit des lois 1751 L’Encyclopédie (tome I) 1759 Voltaire Candide 1761 Rousseau La Nouvelle Héloïse

complet décalage avec le projet de Julien. Cependant, elle révèle d’emblée une certaine culpabilité chez le jeune homme, comme celle de saint Pierre se souvenant de sa promesse de ne pas renier Jésus. La troisième phrase montre d’ailleurs son inconstance : « Il n’avait plus songé à sa proposition » (3). La forme pronominale « Il se vit » (2) le représente se regardant agir, elle suggère à la fois son imagination et l’idée qu’il va entreprendre une action contraire à son naturel. Le superlatif

|Muse, parle une langue à part, don de |- d’ORPHEE : il chantait et jouait si bien que nul ne |- thèmes du regret, de l’émoi amoureux, de la joie, | | |Dieu. |pouvait lui résister. Mais la double perte de son épouse |de la douleur… | | | |Eurydice, le voua à exprimer sa peine et sa solitude. |- formes : ode, élégie… |

thèmes| ANTIQUITE|Le poète-vates (= devin), dont l’inspiration est incarnée par une Muse, parle une langue à part, don de Dieu.|LA POESIE ANTIQUELiée aux mythes :- d’ORPHEE : il chantait et jouait si bien que nul ne pouvait lui résister. Mais la double perte de son épouse Eurydice, le voua à exprimer sa peine et sa solitude. émouvoir, séduire, confesser, exprimer ses sentiments personnels- d’APOLLON : intermédiaire entre les dieux et les hommes, il les aide à lire dans le réel la volonté divine

subit son destin : il est en cavale et essaye d'échapper à la police. Il n'a pas vraiment de but si ce n'est de s'en sortir vivant. A l'inverse, le personnage de théâtre est maitre de la situation, on peut citer pour exemple Flaminia, dans la «Double Inconstance» de Marivaux qui manipule même ses supérieurs (le Prince) pour arriver à ses fins, c'est à dire à ce que Sylvia, dont le Prince est éperdument «amoureux» épouse ce dernier. C'est grâce aux spécificités du personnage de théâtre que le personnage

xviiie siècle : Marivaux, et Beaumarchais. Chez Marivaux, les personnages ne sont plus des types comiques ou des héros tragiques, mais des individus aux prises avec un questionnement sur leur identité. Ainsi, dans plusieurs comédies (par exemple La Double inconstance), les personnages cachent leur identité à leur promis(e), en prenant le costume de son valet (ou de sa suivante). Chacun veut en effet connaître son promis de façon masquée – mais c'est lui-même aussi qu'il découvre, dans ce jeu de masques.

thèmes ANTIQUITE Le poète-vates (= devin), dont l’inspiration est incarnée par une Muse, parle une langue à part, don de Dieu. LA POESIE ANTIQUE Liée aux mythes : - d’ORPHEE : il chantait et jouait si bien que nul ne pouvait lui résister. Mais la double perte de son épouse Eurydice, le voua à exprimer sa peine et sa solitude. Þ émouvoir, séduire, confesser, exprimer ses sentiments personnels - d’APOLLON : intermédiaire entre les dieux et les hommes, il les aide à lire dans le réel la volonté divine

thème est etudié ou son partenaire. On rapproche souvent aux Mercuriens la superficialité,instabilité et inconstance dans l’amour.Mais,si cela va aboutir vers une véritable infidélité ou juste rester une éternelle tendance immature a s’eparpiller,charmer et faire impression,il faut voir les aspects de la dominante aux autres planètes personnelles,mais ce qui est sur c’est que pas de ‘’double vie’’ qui,par exemple, pourrait survenir avec une forte dominante plutonienne. Des personnes marquées par