La Débâcle Zola

inscrit ses personnages dans un milieu d’autant plus proche du réel qu’il est celui-là même qu’il fréquente, la peinture de la société ne l'intéressait guère : il ne voulut pas être le romancier et le polémiste de la bourgeoisie en marche, et c'est Zola qui y conquit le grand premier rôle. Il étudia plutôt différents types de personnages aux dépens desquels il exerça sa verve. À travers le personnage de Walter (dont le fait qu’il est juif laisse percer une légère nuance d'antisémitisme), Maupassant

inscrit ses personnages dans un milieu d’autant plus proche du réel qu’il est celui-là même qu’il fréquente, la peinture de la société ne l'intéressait guère : il ne voulut pas être le romancier et le polémiste de la bourgeoisie en marche, et c'est Zola qui y conquit le grand premier rôle. Il étudia plutôt différents types de personnages aux dépens desquels il exerça sa verve. À travers le personnage de Walter (dont le fait qu’il est juif laisse percer une légère nuance d'antisémitisme), Maupassant

Président dit cela : la République a une immense majorité. Thiers est un realpolitiker, il décide de consolider la République, en considérant avec raison et avec réalisme d’une part la majorité républicaine dans le peuple français et d’autre part la débâcle monarchiste. L’ambivalence républicaine : il y a un échec républicain personnel de Thiers, homme qui a représenté et incarné la République mais qui n’est resté Président qu’un an et demi, il n’a pas réussi à créer cette République conservatrice

veille, sous une photo du chef de l’Etat, l’air soucieux, la Repubblica avait annoncé à la "une" "Affaire Bettencourt ; l’Elysée tremble". Puis, dans les pages internes, le journal s’était servi des grands noms de la littérature du passé, de Balzac à Zola, pour raconter comment un été destiné à la désolante chronique d’une crise économique interminable s’était peuplé, à l’improviste, de personnages qui semblent sortis tout droit d’une vieille bibliothèque. Le tout permet à l’auteur, Bernardo Valli,

vue comme des peintures fraîches. L'objet d'art est une faïence peinte par elle, où s'enlacent des lisérés ténus, de pauvres lisérés. Tellement sincère qu'elle ajoute à la vérité par mégarde, avec un dieu littéraire, Alphonse Karr, et un demi-satan, Zola, qu'elle repousse par propreté. « J'admire son talent. Toutefois, dit-elle, ne lui en demandez pas plus long. » Au théâtre, dans l'étouffement des loges, elle quitte son jupon de dessous. En musique ni l'opéra, ni l'opérette : l'opéra-comique. 19 octobre

d’instituteurs etc. La République opportuniste est libérale et modérée qui va vouloir traiter de la question sociale, notamment par l’école. Cette période est marquée par les élections de la Chambre des Députés de 1881, qui voient la débâcle de la Droite Royaliste. Cette débâcle vient de la division au sein des royalistes puisqu’il y a 3 grands courants : les Orléanistes, les Légitimistes et les Bonapartistes. La Droite Royaliste va être affaiblie par la mort de Henri d’Artois et le Prince Imperial pour

l'effet d'un simple besoin 11 LE PLAISIR DU TEXTE d'écriture. On n'est pas ici dans la perversion, mais dans la demande. Écrivant son texte, le scripteur prend un langage de nourrisson : impératif, automatique, inaffectueux, petite débâcle de clics (ces phonèmes lactés que le jésuite merveilleux, van Ginneken, plaçait entre l'écriture et le langage) : ce sont les mouvements d'une succion sans objet, d'une oralité indifférenciée, coupée de celle qui produit les plaisirs de la gastrosophie

en 98. Mais petit à petit mobilisation croissante autour de cette affaire, avec journalistes et écrivain qui défendent Dreyfus (Une de l’aurore ; le 13 janvier 1893 ; Zola publie une tribune « J’accuse » ou il accuse le conseil de guerre d’avoir bâclé le procès, proclame l’innocence de Dreyfus et réclame la révision du procès. Zola est alors condamné à un 1 an de prison et à une amende qui le font s‘exiler à Londres). 2. La politisation de l’affaire judiciaire. Cette affaire judiciaire va

| | | |d’hystérie, description d’un paysage hybride de la proche banlieue et | | | |peinture des milieux populaires) | | |3 |Zola maître du naturalisme : Germinal | | | |« La peinture d’un bonheur bourgeois » (Contraste du bonheur des bourgeois avec| | | |la misère des mineurs)

chez qui Jeanne se trouve à son aise dans le luxe. En chemin, l’oncle Sainteville dresse un tableau de la situation sociopolitique de la France. X Dégoût, honte de Pierre Mercadier pour son métier à la vue des « gamins » chahutant, de cette « débâcle de l’enfance », dans son nouveau lycée de Lorraine où il vient d’être muté (Normandie avant) ; « des balles volent l’air. Pierre Mercadier n’écoute pas ce que dit le proviseur. A son habitude, il songe à l’enfance, à ce qu’il avait cru de la vie,