La Déflation

seulements les branches obsolètes pr les autres crise des services seulement en 1929 (crise totale, cumulative) II. Analogies et contrastes internes Constantes : argent cher → freine les It, alourdit la dette, gêne les transactions déflation sauf pour 1970’ : inflation monétaire ↘ profits, ↗ salaires réels (sauf 1980’: pas de reprise des tx de profits et stagnation voire ↘ des salaires réels crise financière importante et obsessionnelle (à partir de 80’ pour 1973) ⇒ 1970’ est une

le moyen terme n'excède pas 2 %. La déflation décrit la situation d'une économie où est constatée une baisse générale et durable des prix. Comme le phénomène historiquement le plus fréquent, du moins dans la période contemporaine, est bien l'inflation, certains parlent d'une inflation négative. Une vraie déflation est généralisée et affecte toute l'économie, mais le terme est aussi utilisé lorsqu'un seul secteur économique est affecté (par exemple : déflation du marché immobilier). Cette situation

réduire le taux de l'inflation à un niveau où il ne nuirait plus, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays. La déflation est la baisse du niveau général des prix : celle des années 1920 est le fruit d'une lutte contre l'inflation, qui se solde par la réduction matérielle des instruments de paiement en circulation et, avec elle, une baisse du pouvoir d'achat. Cette politique de déflation monétaire correspond donc à une volonté de réduction de la masse monétaire .

français refusent tout nouveau décalage avec l’étalon-or. Les politiques pensent alors trouver une alternative : la politique de déflation qui consiste à provoquer conjointement la baisse des prix et la baisse des revenus. Les effets sont alors les mêmes que la dévaluation. Mais ce qui s’applique en théorie ne s’applique pas en pratique. Les nombreuses mesures de déflation tournent court : en 1934 le prélèvement de 3% des pensions des anciens combattants, en 1936, la diminution de 10% du traitement

ralentissement de la consommation et donc les entreprises vont faire moins de chiffre d’affaire, suite à des coûts de production plus élevés. La déflation désigne la baisse des prix, la désinflation le ralentissement de la hausse des prix. La déflation entraîne une baisse des prix, qui entraîne des difficultés pour les entreprises. En conclusion, l’inflation comme la déflation nuise à la bonne marche de l’économie donc les responsables politiques doivent trouver le meilleur équilibre entre inflation et désinflation

L'inflation peut s'avérer positive pour l'économie et la non-inflation, la déflation, est particulièrement néfaste. L'inflation peut faire diminuer les taux d'intérêts réels, favoriser l'emprunt, notamment la demande de crédits à la consommation, et ainsi stimuler la croissance. Ensuite l'inflation serait une solution envisageable pour rembourser une partie de la dette d'un pays avec une monnaie dépréciée. Enfin la déflation semble pire que l'inflation et c'est pourquoi la BCE vise un niveau d'inflation

relations de productions sont au cœur des relations sociales et du mouvement de société , ses idées ont joués un rôle politique très important. Chapitre 4_ :_ Ce chapitre est Basé sur le marché , l’offre et la demande , l’inflation et la déflation Dans un système économique, les prix auxquels les biens et services sont vendus résultent d’un calcul comprenant le coût le fabrication du bien ou service ainsi que le bénéfice que les producteurs et distributeurs feront. Mais ce n’est pas aussi

Catherine LESNARD exercIce 1 : questIOns sur un texte (10 pOInts) Les banques centrales en péril La crise de la mondialisation s’est développée en trois temps : faillite des banques après l’éclatement de la bulle spéculative sur le crédit ; déflation économique avec effondrement de la demande et l’explosion des défaillances d’entreprises et du chômage ; défiance envers les États et les risques souverains, notamment en Europe, qui cumule surendettement, vieillissement démographique, sous-compétitivité

entreprises baissaient donc les prix augmentaient et ainsi de suite, créant une boucle prix salaire et engendrant une fièvre inflationniste. Cette boucle prend fin dans les années 80 suite à la désindexation des salaires sur les prix entrainant une déflation, tout cela sans en impacter la croissance puisqu’en 1988 le PIB en volume augmente de 5 % alors que le PIB en valeur augmente de 7 %, soit un écart de seulement deux points ; cet écart est a prendre en considération car très faible en comparaison

commence à bouger à la suite de l'affaire Stavisky. Il engage le pays dans une forme de déflation par une suite de décrets lois (4 avril et 14 avril 34) et une réforme fiscale en mai. Ils prévoient une réduction des effectifs de fonctionnaires et la baisse des salaires nets par l’instauration d’un prélèvement de 5%. Les pensions des anciens combattants sont diminuées. Paul Reynaud se singularise en opposant déflation et dévaluation. Notant que toute l’affaire est liée au différentiel des prix entre la