La Déflation

vont pas leur être remboursés. Entre 1814 et 1817, 240 institutions de crédits ont fait faillite en UK. L’Angleterre qui était à l’époque le pays leader va entrainer l’éco mondiale dans sa crise, après la phase inflationniste débute une phase de déflation qui alimente la baisse de la production. Une crise classique est donc une crise qui a son origine dans le domaine agricole et qui est un phénomène de surproduction. L’ouverture de la Russie va stimuler le crédit des banques pour investir en Russie

Cela s'explique : le sacrifice des investissements, et le poids des agriculteurs (33 % de la population) qui restreignent leur niveau de vie allongent la crise A cela s'ajoute l'effet d'une politique économique désastreuse :la politique de déflation. Le souci de maintenir un franc fort conservant sa parité avec l'or a entraîné deux conséquences 1. La perte de compétitivité du Franc face à la dévaluation de la livre (1931) et du dollar (1933) 2. L'acharnement à réaliser l'équilibre budgétaire

crédits ce qui favorise la hausse des prix et encourage la spéculation jusqu’au moment où le doute s’installe ; alors elles prêtent moins facilement, les spéculateurs ne peuvent plus faire face à leurs échéances l’activité ralentit (déflation) et les prix baissent (déflation). La reprise se produira quand les agents retrouveront confiance. La crise a un effet régulateur en supprimant les agents dont les choix n’étaient pas efficients. → Les cycles Kitchin Leur durée est d’environ 40 mois. Elle est

analyste de Shanghai Securities. "Avec la consommation et les exportations qui devraient encore décliner en 2009" et l'inflation tombée à 1,2 % en décembre 2008, alors qu'elle frôlait les 9 % en début d'année, "une déflation est très probable en 2009", poursuit M. Hu. "La déflation n'est pas inhabituelle dans les cycles économiques, mais elle arrive si vite cette fois qu'elle aura davantage d'impact sur l'économie", ajoute-t-il. Pour le gouvernement, le coupable est la situation économique mondiale

spécifiques ont touchés certains pays dans les années 90 comme la réunification allemande qui a élevé les taux d'intérêt français jusqu'à 8% et plus de 10% en ce qui concerne l'Italie. La crise financière japonaise a engendré une longue période de déflation par une diminution importante du crédit. Outre ces conditions financières plus exigeantes, les entreprises ont du faire face à la montée den puissance des actionnaires du fait de la libéralisation financière et qui s'est manifestée par des

Une hausse des impôts / Une forte récession chez nos clients étrangers / Une hausse importante des prestations sociales / Choc d’offre positif Choc d’offre négatif Choc de demande positif Choc de demande négatif C – Le cycle du crédit et la déflation par la dette a) – Le mécanisme du cycle du crédit 1 – La crise financière est à due proportion de la situation de fragilité qu’avait développée l’économie mondiale. Une fragilité masquée par ses succès : la libéralisation globale des marchés financiers

a essayé de faire perdurer la croissance japonaise et avait pour prévision un assouplissement monétaire (grâce aux mesures budgétaires) de l’économie à 1,2% pour 2014. Du même coup, les « Abenomics » ont pour principales objectifs d’enrayer une déflation chronique et un endettement colossal. L’année n’étant pas terminée, ces réformes tardent à donner les résultats escomptés et la récession menace le pays. Mais le résultat est arrivé rapidement puisque cet ambitieux programme du Premier ministre

relatives aux cycles courts o les théories prékeynésiennes :  La théorie exclusivement monétaire de HAWTREY : rôle du crédit dans l'expansion, des stocks dans la transmission et de l'étalon-or dans la crise  La théorie du surendettement et de la déflation de FISHER  La théorie de la surcapitalisation de HAYEK o les cycles à l'équilibre : les fluctuations proviennent de chocs exogènes monétaires dans un cadre d'équilibre général : le modèle d'anticipations rationnelles de LUCAS. o les nouvelles

niveau des prix doit diminuer. Si la masse monétaire augmente le niveau de prix augmente. Pour éviter l’inflation et la déflation il faut contrôler la masse monétaire Inflation : hausse généralisé des prix Désinflation : baisse du taux inflation Déflation : diminution général des prix. Un prix pour le consommateur c’est un coût, mais pour un autre c’est un revenu, la déflation est un problème. BCE est chargée de la politique monétaire. On agit sur le volume de monnaie en circulation : contrôle

des revenus que cet actif peut rapporter dans le futur. Inflation = Diminution du pouvoir d’achat de la monnaie, se traduisant par une hausse cumulative du niveau général des prix. Désinflation = Période de ralentissement de la hausse des prix. Déflation = Réduction simultanée et cumulative du niveau de production, des revenus et des prix. Stagflation = Situation économique caractérisée par une forte inflation et un chômage élevé. Chômage = Ensemble des personnes en âge de travailler sans emploi