La Déflation

apte au renouveau économique. La politique qui est choisit par les libéraux, il faut que la monnaie respecte sa valeur par rapport à l’étalon or, il faut rétablir un équilibre budgétaire, limiter la planche à billets. On applique une politique de déflation. Quels sont les résultats des politiques libérales ? Les gouvernants des années reprennent la même logique que Guizot. b)Les réalisations : 1)Les USA : Sous la présidence de Herbert Hoover, un républicain. Il a pris possession de son mandat

inférieure à 2% dans la zone euro En 2003, l'objectif est de maintenir le taux d'inflation à un niveau inférieur mais proche de 2% à moyen terme. L'objectif est donc d'instaurer une marge de sécurité suffisante pour se prémunir contre le risque de déflation 1) Les objectifs intermédiaires Il s'agit d'une ou de plusieurs variables monétaires qui vont servir de cible aux autorités monétaires à condition : qu'elles soient mesurables et rapidement disponibles (disponibilité statistique) elles doivent

niveau de recette fiscale reste relativement constant. Si il y a augmentation de la richesse produite, période de croissance et donc le taux de pression fiscale va baisser, c’est une augmentation du PIB qui fait baisser le taux. A l’inverse, une déflation peut faire augmenter le taux. Cela explique les variations de taux qui varient en fonction du PIB et non parce qu’on prélève moins d’impôt. On peut comparer le taux de pression fiscale avec ceux d’autres pays de l’OCDE, on y trouve 3 groupes de

pareil à la palingenèse : il ne meurt pas, mais se répète. C’est un langage diffus et préexistant au texte. «Le mythe ne se concerne jamais à l’état pur. Il n’y a pas de moment zéro du mythe, de commencement absolu. Il y a des inflations et des déflations. C’est pour cela que le mythe vit, c’est pour cela qu’il est endossé par des cultures, et par des personnes, et par des moments.» Toujours le mythe est consubstantiel à l’histoire. L’Histoire lui donne sens.

quelconques comme par exemple d'après Les Echos "La BCE est prête à injecter des sommes massives" dans le système bancaire européen ce qui va donc induire un relancement de la croissance économique de l'Union européenne et certainement combattre la déflation de la zone euro.

[modifier] La monnaie est, en principe, représentative de l'ensemble des biens économiques qui circulent dans l'économie. Lorsque la masse monétaire n'est plus adaptée à la quantité de biens échangés, il y a inflation (en cas d'excès de monnaie) ou déflation (moins de monnaie que de biens)[réf. nécessaire]. La création monétaire contemporaine n'étant plus contrainte par un élément physique depuis l'abandon de l'étalon de change or, la masse monétaire est potentiellement infinie, au risque de faire perdre

attentats de septembre 2001. Mais cette règle qui ne peut être optimale en régime normal ne peut être considérée comme pièce à conviction étant donné que la FED n’utilise pas cette formule. La politique monétaire en situation de déflation ou risque de déflation conforte les décisions de la Fed au cours de cette période. En effet, le banque centrale perd toute manœuvre d’action, puisqu’il est impossible de rendre négatifs les taux nominaux donc elle perd le contrôle du taux réel. Pour éviter

ont pris conscience des risques spéculatifs, vont chercher à augmenter les taux d’intérêts. Les spéculateurs ne peuvent plus faire face à leurs engagements et une nouvelle phase de récession s’engage. Avec cette phase de récession, nous avons une déflation importante, jusqu’à ce que les banques et les agents retrouvent la confiance initiale. Nous pouvons alors conclure que la crise, pour Juglar, possède un rôle régulateur, par exemple par l’élimination des agents. Pour finir, nous avons les cycles

Bibliographie CLERC, Dennis. Crise économique : le retour de keynes. Alternatives Économiques, 26 novembre 2008, n°052, p. (!!!). (!!!), (!!!). Politique et déflation des années 30. Alternatives Économiques, juillet 2010, n°293, n°(!!!), p. (!!!). (!!!), (!!!). John Maynard Keynes (1883-1946). Alternatives Économiques, novembre 2005, n°021, p. (!!!). MOATTI, Sandra. Le New Deal, père de tous les plans de relance. Alternatives Économiques, janvier 2009, n°276, p. (!!!). DOSTALER, Gilles

Durée de 50 à 60 ans/ 2 phases : A) expansion (prix augm/emploi augm/ produc augm) B) récession (tout baisse surtout les prix) -> La période de crise des années 1970-1990 n’est marquée ni par une baisse des prix ni par une véritable récession (déflation/ralentissement de la hausse des prix/baisse du taux de croissance) Cycle Kitchin En étudiant la fluctuation des prix de gros aux EU, établissement par Joseph Kitchin d’un cycle d’une durée de 3 à 4 ans lié à des phénomènes de stockage-déstockage