La Délinquance

Introduction : Ouvrir une école, c'est fermer une prison : Cela veut dire que l'éducation permet aux jeunes de ne pas tomber dans la délinquance. Victor Hugo avait dit cela car à son époque les prisons grouillaient de (crève-la-faim : ceux qui volaient pour se nourrir). Déjà à l'époque il avait demandé qu'on leur remplisse la tête au lieu de la leur couper. On se demande comment deux siècles plus tard, malgré l'avertissement de Victor Hugo, les prisons sont surpeuplées, que de plus en plus de gardiens

constituent 67,2 % des mis en cause dans ces affaires en 2002.  Ce phénomène, la délinquance juvénile occupe progressivement le devant de la scène, il est en constante expansion dans une société où l'autorité des familles est en déclin.  Mais quel est le responsable de ce phénomène social de plus en plus répandu, l'hérédité ? L'individu ? La société ?  Nous allons tenter d'y répondre en définissant ce qu'est la délinquance juvénile.  I -Définition  Du point de vue juridique, on appelle criminalité

« L’éducation fait reculer la délinquance » Qu’est-ce que l’éducation ? Qu’est-ce que la délinquance ? L’éducation est l’art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie; c’est un moyen mis en œuvre pour assurer cette formation. En ce qui concerne la délinquance, c’est l'ensemble des délits, infractions

Volume donné par les ministeres de la Justice et de l'Interieur. Aussi stats policières. (Chiffres noirs de la délinquance=diff entre ce que sait la police et infractions réellement commises). Palier cette diff : enquete de victimologie. Tendances de la criminalité aujourdhui : Meurtres peu nombreux quand vols, recels... courants. Infractions contre personnes =/= contre biens. Délinquance économique mineure : plus dissimulée, préjudice pas toujours évident et pas de violence physique (moins puniecar

n’est pas récent et remonte au 15ème siècle, mais son usage à considérablement changé.Depuis le milieu des années quatre-vingt-dix, il est devenu synonyme de désordre, de nuisance, d’inconduite, d’incivisme, d’impolitesse, d’insolence, de petite délinquance. Toutes les atteintes, plus ou moins claires, plus ou moins violentes, plus ou moins délibérées, aux biens et aux personnes réunies dans l’expression « incivilité » sont difficilement appréciables et traitables par la police ou la justice.Incivilité

le fléau,et l’insécurité c’est, bien sûr, la violence des jeunes. Les causes profondes de la délinquance juvénile sont passées sous silence alors que les symptômes de ces dysfonctionnements sont traités par une aggravation de la répression. Laurent Mucchielli, sociologue, auteur de Violences et insécurité. Fantasmes et réalités dans le débat français, nous apporte un éclairage édifiant sur les délinquances et l’état des recherches dans ce domaine. Revenu au premier plan de l’actualité politico-médiatique

la ligne | 1 | 2 types de délinquances classiques : * « Initiatique» : l’adolescent transgresse les limites, il les cherche * « pathologique» : liée à des troubles psychiatriques | Déni, Défi, DélitTroubles psychiatriques associés à la délinquance | Peut-on parler de délinquance initiatique ? par rapport à ce jeune homme qui semble insolent et révolté à l’égard de ses parents français moyens qu’il a l’aire de terroriser | Délinquance classique | 2 | Délinquance «d’exclusion» : récente remonté

3.3. Comment mesurer le niveau de la délinquance ? Notions : chiffre noir de la délinquance, enquête de victimation. Le chiffre noir de la délinquance est l’écart supposé entre le crime mesuré par les statistiques pénales et le crime « réel ». Les statistiques ne peuvent faire état que des actes criminels mis en évidence et éventuellement réprimés. Ainsi, une augmentation de la criminalité enregistrée peut être le résultat du seul développement de l’appareil répressif, toutes choses égales

ANALYSE DE L’INSECURITE Jeudi 4 mars 2010. Intervention de M. SOULLEZ. LES STATISTIQUES DE LA DELINQUANCE ET DE LA CRIMINALITE Les statistiques de la délinquance et de la criminalité sont au cœur du débat politique. Elles ont une place singulière dans les statistiques sociales du fait de la nature des enjeux auxquels elles sont liées. Elles sont aussi un enjeu pour l’action des 3 pouvoirs. Ce qu’enregistrent la police et la gendarmerie n’est pas l’ensemble des crimes et délits sur

involontaire : réaction pénale forte atteinte a l'environnement suscite des réactions fortes aussi. Inversement on observe un déplacement de seuil émotionnel. Sur les biens, la sensibilité au vol est moins forte que dans le passe. Banalisation de cette délinquance. Affaiblissement de la réaction sociale par rapport a certains comportement. La perception de ces déplacements est rendu délicate par le fait que les réactions profondes populaires sont difficile a saisir car elles sont souvent marquées, déformes