La Démocratie Est Elle Un Idéal

l’ordre politique et l’ordre religieux. La cité de Dieu est de l’ordre supraterrestre. 4. Machiavel : rupture du lien entre philosophie politique et morale ; scandale car lien sacré, on doit l’analyser les mécanismes du pouvoir. Pas de cité idéale, pas d’ordre juste ( POUVOIR + STRATEGIE => ESSENCE DE LA POLITIQUE MODERNE. C’est le précurseur de la science politique moderne, personnage hypocrite qui n’avait pas sa langue dans sa poche. 5. Foucault : la postmodernité contemporaine se caractérise

Cette expression vient de l'allemand « Rechtsstaat ». L' État de droit s'oppose au droit du plus fort. La notion d' État de droit est étroitement liée à celle de démocratie. En effet ses deux notions se trouvent parfois confondues et interverties. Une démocratie se juge à la qualité de son État de droit. Il ne peut pas y avoir de démocratie sans droit (même s'il est possible d'avoir un droit non démocratique). L 'État de droit est donc le cadre de protection des citoyens contre toute tentative liberticide

L’aristocratie : qui est le pouvoir des meilleurs fondé sur le culte des biens communs qui correspond à la cité idéale par dégradation de la cité idéale. Timocratie : le gouvernement des courageux fondés sur militarisation de la société idéale. Oligarchie : gouvernement fondés sur les richesses, pouvoir de l'argent. Puis forme dégradée de régimes politiques : la démocratie fondée sur les qualités au profit de la multitude à cette passion pour l'égalité. (gouvernement du peuple) Les Français

Plan : I) La démocratie à Athènes 1. L'Ecclésia (assure égalité devant la loi, parole libre, libre choix de ces gouvernants) 2. Les autres organes (l'Héliée et la Boulé) II) L’oligarchie à sparte 1. Les éphores (seul à participé au gouvernement) 2. L’élite de la cité (minorité de personnes qui accède à la possibilité de siégé au conseil) Intro : Le Ve siècle est souvent présenté comme le siècle de Périclès. Jusqu'au milieu de ce siècle, des luttes de pouvoirs entre pro-démocratie et pro-oligarchie

Commentaire du texte d’Alexis de Tocqueville, extrait de « De la Démocratie en Amérique » I la démocratie cherche à embrigader la pensée individuelle a) La pensée : fléau de tous les régimes b) Parallélisme entre démocratie et tyrannie II elle le fait mieux que les régimes autoritaires a) Mode d’action différent b) Critique des dérives de la démocratie Tocqueville cherche à dénoncer ici les dérives de la démocratie : comment fait-il ça ? « Si quelqu'un me montrait entre l'indépendance complète

La démocratie en Europe de 1815 à 1914 En Europe,à partir de 1815, les régimes politiques sont peu à peu libéraux. Le libéralisme est un courant politique en opposition avec l'absolutisme et le droit divin issu du mouvement philosophique des lumières, c'est la politique dominante en Europe au XIXe siècle ce courant prône les principes de liberté individuelle. En effet, les régimes ont maintenant une constitution rédigées, une chambre des élues avec un pouvoir législatif, une

pourra donner le principe du droit politique c.à.d. ce qui assure à la légalité légitimité et à l’institution un fondement. Dans une démocratie, pour qu’une loi soit acceptée, il faut qu’elle renferme des critères normatifs (commun à tout le monde). A partir du moment où la loi est votée, je dois respecter cette loi puisqu’elle est l’idée propre de la démocratie, même si je ne suis pas d’accord. Chez Rousseau le rôle de la sensibilité est premier. Aristote dira que c’est la raison. A partir du

occidentales, se trouvent des sociétés industrielles avec des dénominateurs communs : de l'accumulation de capital jusqu'à la division du travail. Dans son document Démocratie et totalitarisme, publié en 1965, Raymond Aron envisage d'étudier les systèmes politiques des sociétés industrialisées qu’il décrit à partir de deux types idéaux : les systèmes de parti monopolistique et les systèmes constitutionnels-pluralistes et. Je vais traiter le texte de manière linéaire. Étude du texte : « Concepts

LA CITOYENNE ET LA CIVILITE INTRODUCTION La démocratie est le « gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple » (Lincoln). Cette définition engendre plusieurs conséquences que sont le respect des libertés individuelles et collectives, ou encore une égalité de droit. Il repose sur un système représentatif puisque le peuple est représenté par des personnes élues ; le consentement populaire se trouve donc à la base de ce système (par le suffrage universel). Le pouvoir politique a pour

Inquiétudes, refus, critiques : les remises en cause de la démocratie du XIXe siècle à nos jours.* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * ** * * * * * * * * Inquiétude  : interrogation, souci, crainte, angoisse, appréhension... Refus  : rejet, négation, contestation, rébellion... Critique  : jugement, examen (pas toujours négatif!), évaluation... XIXe siècle  :