La Démocratie Moderne

d'un juriste, Hans Kelsen, au début du XXème siècle. L'existence d'une hiérarchie entre les normes, alliée à un contrôle, est la garantie d'un Etat de droit et donc le rejet de l'arbitraire, qui constitue l'une des finalités principales de nos démocraties modernes. D'après la théorie de la hiérarchie des normes dégagée par Kelsen, les normes sont liées entre elles par une relation de subordination qui impose à la norme inférieure d'être conforme à la norme supérieure. Au sein d'un ordre juridique, toutes

série sur la Social-démocratie Idées Démocratie Liberté Droits de l'homme Dignité Justice sociale Solidarité Développement durable Politiques Acquis sociaux État-providence Économie mixte Économie sociale de marché Organisations Partis sociaux-démocrates Internationale socialiste Parti socialiste européen Portail:Politique modifier La social-démocratie désigne aujourd'hui un courant politique de gauche, réformiste et non marxiste. Dans les pays d'Europe

La démocratie et le référendum       Document 1.   Démocratie : le gouvernement du peuple par lui-même.La démocratie tend à désigner dans le monde modern un lien social placé sous le signe de l’égalité et une forme politique susceptible d’exprimer l’idéal de liberté et d’autonomie du gouvernement humain. - les mécanismes démocratiques : l’idéed’une égalité des citoyens devant la loi et l’accès aux magistratures. - un principe > => Aristote - Droit pour chaque citoyen de participer à l’assemblée

RECHERCHE DROIT ET ADMINISTARTION PUBLICS 2012-2013 Séminaire de Science politique Démocratie et lobbying : un concubinage tourmenté Présenté par : Lilas TRIMUA Sous la direction de : Monsieur Johann MICHEL BIBLIOGRAPHIE 1- Ouvrages P. Rosanvallon (2006), La contre-démocratie : la politique à l’âge de la défiance, Paris : Seuil, p. 26. Jean Christophe Adler : Lobbying, Transparence et démocratie, 2006 Gilles Lamarque, Le Lobbying, PUF Collection Que Sais-je ?, 1994 Roger Lenglet

fin de l’histoire à l’autre… David Schreiber d’une fin de l’histoire à l’autre : Francis Fukuyama, François Furet, (re)lectures croisées Le thème de la « fin de l’histoire » a une histoire étrange. Débat philosophique né avec le concept « moderne » d’histoire, il est devenu le thème d’une polémique « fin de siècle » à partir de 1989, quand paraît l’article de Francis Fukuyama, intellectuel américain inconnu du public français, « La fin de l’histoire ? », puis en 1992 son livre La Fin

Est-il légitime de juger le régime politique que peut-être la démocratie, accordant le pouvoir au peuple ? Dans un premier temps, on pourrait affirmer que la démocratie n’est pas critiquable. Elle est en effet par définition la source de toute légitimité et véhicule des valeurs universelles, telles que les libertés individuelles ou l’égalité. Elle fait ainsi figure de régime idéal, de régime le plus égalitaire possible. Dans une démocratie, le pouvoir est donné au peuple. Est-ce une bonne chose ?

se caractérise par deux périodes. Définition du réalisme: c'est une doctrine, une philosophie que l'on associe à Machiavel (auteur du XVIème siècle, dans son oeuvre il établit une rupture avec la pensée classique, il inaugurerait la pensée dite moderne.). La pensée dite classique: Léo Strauss essaie de revaloriser la pensée classique devant la modernité, il essaie entre autre de comprendre l'aliénation de la population. Pour revaloriser la pensée classique, L.Strauss tente de poser un regard critique

jusqu’à nos jours. La naissance du christianisme semblerait, dans un premier temps, avoir permis à la société d’acquérir de nouvelles valeurs axées sur l’amour de l’homme en se fondant petit à petit dans la vie politique. Mais après l’époque moderne et la destruction des valeurs traditionnelles, que reste-t-il de cet héritage chrétien ? 1. Le christianisme, révolution humaine en politique ? An l’an 0 nait Jésus-Christ, et avec lui une nouvelle religion basée sur l’amour du

vote les lois, contrôle l’exécutif, exerce des compétences financières et, parfois même, judiciaires. La théorie classique de la séparation des pouvoirs semble avoir vieilli en raison du renforcement de l’exécutif aux dépens du Parlement dans les démocraties contemporaines. SECTION 1 : LA THEORIE CLASSIQUE DE LA SEPARATION DES POUVOIRS Préconisée par John Locke dans ses deux Traités du gouvernement civil (Essay on the Govement, 1690), la Théorie de la séparation des pouvoirs a été reprise et enrichie

La nécessité d’assurer sa pérennité -La nécessité de désincarner le pouvoir politique -L ’institutionnalisation du pouvoir et ses intérêts majeurs 3) La naissance historique et la théorisation de l’état moderne -La naissance du droit moderne -Les évolutions qui caractérisent l’état moderne -L ’apport des théoriciens Section 2 - Les théories de l’origine contractuelle de l’Etat 1) La conception absolutiste de l’état -Thomas Hobbes le fondateur -Rousseau, partisan mais aussi divergeant 2)