La Démocratie

qualifié de démocratique et l’idée de démocratie de nos jours suppose évidemment l’égalité des droits (démocratie politique) mais elle contient aussi une composante sociale : une société démocratique vise à réduire les inégalités de situation, à défaut de pouvoir les supprimer, et elle se doit de promouvoir l’égalité des chances pour que les positions sociales ne soient pas figées de génération en génération. Le débat porte donc sur la tolérance de la démocratie vis à vis des inégalités ; Quelles

On mélange souvent ces deux termes, qui ont pourtant une signification et une histoire différentes. Au sens étymologique, les deux termes ont à peu près le même sens. Démocratie vient du grec Démos (le peuple) et kratia (gouverner). La démocratie est donc un régime politique où le pouvoir est détenu par le peuple. Dans une démocratie représentative, le peuple élit des représentants qui gouvernent en son nom. Le terme de République vient de Res publica, qui veut dire "le bien public ou la chose publique"

en Europe au XIXème siècle. Selon l'ancien Président des Etats-Unis, Abraham Lincoln, la démocratie se définit par« le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». La caractérisation qu'exprime le mot démocratie, de la relation entre peuple et pouvoir, par les articles ou prépositions « du », « par» et « pour », n'est pas sans possibilité d'interprétations différentes. Le terme démocratie s'oppose historiquement aux systèmes monarchiques et oligarchiques où le pouvoir est détenu

Extrait de De la démocratie en Amérique, Alexis de Tocqueville Bibliographie : http://www.tocqueville.culture.fr http://www.le-dictionnaire.com http://www.wipipedia.fr L’auteur Le 29 juillet 1805 naît à Paris, au numéro 987 de la rue de la Ville-l'Évêque, le troisième fils de Hervé Louis François Bonaventure Clérel de Tocqueville et de Louise-Madeleine Le Peletier Rosanbo. Il se prénomme Alexis et son père nous a livré le récit de sa venue au monde dans une page touchante de ses Mémoires

la démocratie en afrique subsaharienne Général (cr) Henri pAris Président de DÉMOCRATIES En regard des découvertes scientifiques les plus récentes, effectuées au début du troisième millénaire, l’Afrique se révèle être le berceau de l’humanité. Cela ne l’empêche pas d’être la grande oubliée des temps et du progrès. C’est ainsi qu’elle est le siège d’une accumulation sans pareille de pandémies, de pauvreté, d’inégalités, d’injustices, de rivalités internes et entre grandes puissances, ainsi que

Démocratie et dictature La démocratie est le régime politique dans lequel le peuple est souverain (le peuple renvoyant cependant à la notion plus restrictive de citoyens, la citoyenneté n'étant pas forcément donnée à toute la population). Elle prend ses racines principales pendant l’Antiquité. La dictature désigne un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu’aucune loi ou institution ne les limitent. L’origine du

respect de l'homme a donc longtemps été bafoué. C'est pour cela que la démocratie a donc énormément suscité de passion et a finalement été obtenue en Europe, mais cette passion pour la démocratie, a-t-elle aujourd'hui ? Ainsi, ce serait « parce que la démocratie a vaincu, qu'elle ne suscite plus de passion ». Nous allons à travers les lignes qui suivent débattre de cette affirmation. Pour commencer, la démocratie ne suscite plus les passions aujourd'hui, car nous avons désormais une autonomie

nternet est-t-il un bienfait ou un danger pour la démocratie ? Introduction : « Un milliard d’internautes aujourd’hui sur Terre » tel est le titre d’un article DU MONDE paru le 14.10.07. Selon unsondage Ipsos Media, un français sur deux à accès une connexion Internet ; c’est très peu par rapport 70% d’internautes anglais et allemand. Quelle influence le Web a-t-il sur la démocratie, sonutilisation massive a-il des répercussions sur le système politique (français) ? Plus précisément, Internet est–t-il

MÉTHODE La Démocratie de l'abstention de Dormagen et Braconnier est unique en son genre dans la mesure où jamais une telle analyse d'un phénomène politique comme l'abstention n'avait été réalisé. Si cette enquête a demandé aux auteurs un si grand investissement, une si forte mobilisation des auteurs, c'est la conséquence l'étude d'un sujet qui est vécu comme un véritable danger pour les démocraties, et en particulier la France. Contrairement à la tradition anglo-saxonne de la démocratie où voter n'est

d'Occident, a été plus que d'autres conditionnée par l'environnement international. Le système mis en place dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale a été défini par différents termes : démocratie inachevée, démocratie contractuelle, bipartisme imparfait. Il reposait en effet sur l'hégémonie de deux partis, la Démocratie chrétienne au gouvernement, le Parti communiste dans l'opposition, deux partis qui ne pouvaient que s'opposer en temps normal ou s'associer en période exceptionnelle (1943-1947, 1976-1979)