La Femme Fatale Carmen

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Prosper MÉRIMÉE (France) (1803-1870) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’La Vénus d’Ille’’, ‘’Carmen’’ et ‘’Colomba’’). Bonne lecture ! Né à Paris, le 27 septembre 1803, il fut élevé dans un milieu cultivé de tradition voltairienne, mais passionné depuis l'âge de seize ans par les sciences occultes et les expériences de magie. Il fit toutes ses études secondaires au lycée

Etude comparative d’une œuvre du répertoire romantique : Carmen. Article de Valérie Colette-Folliot, professeur en histoire de la danse ; communication prononcée à l’occasion de la table ronde du 30 mars 2007 sur le thème des Arrangements Dérangements dans le cadre du Conservatoire National de Région de Rouen. El Desdichado Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé, Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie : Ma seule Étoile est morte, - et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie

1er dissertation personnage (Manon)Pb : Manon Lescaut est-elle une femme fatale ? I. Oui, c’est une femme fatale a. Cause la perte des hommes par la fascination qu'elle exerce ● DG : jeune noble fortuné, héritier d’une fortune , intelligent, brillant =finit déclassé hors de la société, ruiné, brouillé avec sa famille. ● G....M… : riche noble, il est humilié publiquement par DG et Manon ● Synnelet : se fait blesser quasiment à mort par DG, par jalousie b. Prête à tout pour l’argent ● Veut argent:

 La figure de Carmen, la gitane étrange et fière, rieuse et tragique, est bien plus puissante et intrigante que le personnage de Don José. Bien qu'elle ne nous apparaît pas d'emblée dans la lecture du récit, il s'agit bien du personnage central. José se méfie d’abord de son «minois enjôleur», tandis qu’en proie à la jalousie il se sent guetté par «son grand œil noir» , image de l'exotisme espagnol dans le goût romantique. On peut voir dans le personnage une gitane dont la moralité est fondée sur

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente une nouvelle de soixante-seize pages de Prosper MÉRIMÉE  ‘’Carmen’’ (1845) pour laquelle on trouve un résumé (page 1) des notes (pages 3-28) puis une analyse comportant l’étude de: - la genèse (pages 29-30) - l’intérêt de l’action (page 30) - l’intérêt littéraire (page 32) - l’intérêt documentaire (page 33) - l’intérêt psychologique (page 35) - l’intérêt philosophique (page 39) - la destinée de l’oeuvre (page 39) Bonne lecture

souillé : ça fait d’elle la femme fatale, la femme séduisante et sexy qui met l’homme dans l’embarras le plus profond. Les cheveux sombres, les yeux de biche, la bouche savamment colorée, froide, voire sévère, mais généreuse en chair, Violet sait obtenir ce qu’elle veut. Et ce qu’elle veut on le retrouve aussi dans The Big Sleep, il y a Agnès, la petite amie de Joe Brody qui a était présent dans la scène du crime de Geiger. Donc un renvoie au gangstérisme et à la Femme fatale, Car Agnès, avec ses cheveux

traits. Cela donne des représentations différentes de la séduction féminine. - Le pouvoir érotique du corps de la femme : déhanchement du bassin suggestif de Carmen, de la prostituée de Barbey et de Nana. La couleur rouge présente dans leur toilette et leur maquillage connote la chaleur et la sensualité. Il y a même une dimension animale qui suscite intérêt et désir chez les hommes : Carmen est comparée à une pouliche des haras de Cordoue, la chevelure flamboyante de Nana 11FRSEME-LR-CE1-3-C Page 1

1ère strophe : correspondance entre le paysage et la femme aimée, invitation au voyage : "Mon enfant, ma soeur" (5 syllabes) : contradiction, impossibilité apparente , paradoxe, (on ne peut pas être à la fois le père et le frère) , il faut comprendre ce vers au sens symbolique. La femme aimée (Marie Daubrun ?) est une "âme soeur", une soeur d'élection ; il s'agit d'un amour idéalisé, spiritualisé. Cf. : "Pour rafraîchir ton coeur, nage vers ton Electre !" Electre est la soeur

Énoncé Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. « J'étais donc le nez sur ma chaîne, quand j'entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C'était un vendredi, et je ne l'oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d'un trou

qui désigne un sentimentalisme à l’excès avec une fuite de la réalité. C’est avec cette définition que peut se définir le portrait d’Emma Bovary. Elle est le personnage principal du roman « Madame de Bovary » écrit par Gustave Flaubert. C’est une femme malheureuse et rêvant d’une vie plus excitante et mouvementée. Elle ne supportera plus l’ennui qu’elle ressent auprès de son mari. C’est avec l’arsenic dérobé chez le pharmacien qu’Emma mettra un terme à ses souffrances. Jeanne, du roman