La Femme piège

parler avec ses amis Penou et son singe Didiphor. Avant de partir pour Thèbes, il vole un papyrus à Antef , un papyrus très important sur lequel y est inscrit une image mutilée de Seth. Or, arrivé à Thèbes, Tétiki se fait voler le papyrus par Makaré (femme qui tient la maison de la bière la plus grande de Thèbes) et va pendant un moment perdre aussi Penou, le retrouvant quelques heures après bléssé. Il va chercher Imhotep un médecin et va soigner Penou. Le medecin leurs proposera de cacher le trésor

anciennes (1178) Branches de Renart : la Branche IV, divisée en deux épisodes s’intitulant « Renart dans le puits » et « Renart hors du puits ». Le contexte est le suivant : Renart, assoiffé, s’engouffre dans un puits où il croit y apercevoir sa femme, Hermeline. Après avoir constaté qu’il s’était trompé, il va ruser avec Ysengrin d’une facilité déconcertante afin de permuter leurs places… Les thèmes abordés sont la religion, la naïveté du loup et la tromperie du goupil. Le sujet de cet extrait

L’Ecole des Femmes, une comédie en 5 actes créée le 26 décembre 1662, c’est une pièce novatrice car elle mêle les ressources de la farce et de la comédie en vers. Elle raconte l’histoire d’un homme nommé Arnolphe qui garde coupé du monde une jeune femme nommé Agnès dans le but de se marier avec elle, il prive cette dernière de toute éducation, heureusement un jour un jeune homme lui fit apprendre ce qu’est la vie et surtout l’amours. Dans l’acte II scène 5, Agnès subit un interrogatoire de la part

 »ImpératifsRépétitionsPhrases interrogativesAraminte bouscule Dorante, elle l’infantilise en lui faisant remarquer son inattention et son inefficacité. Elle lui rappelle sa position d’infériorité. Elle le traite comme un mauvais élève.Araminte en observatrice du piège qu’elle a mis en place et la double énonciation théâtrale« Il ne sait ce qu’il fait ; voyons si cela continuera. » ; « Il souffre, mais il ne dit mot ; est-ce qu’il ne parlera pas ? »Apartés d’AraminteProposition interro-négativeAraminte observe le

 « On ne naît pas femme, on le devient » , par cette formule S de Beauvoir a exprimé l’idée moderne que la femme n’a pas de nature déterminée . Mais d’un autre côté ,à en croire J.GRAY,  il semble que les femmes aient toujours autant de difficultés à lire les cartes les cartes routières !  Ainsi on peut se demander si la féminité est un artifice de la culture ou une différenciation de nature ?La féminité , c’est-à-dire,  les caractéristiques non pas seulement  physiques mais surtout psychologiques

s’opèrent par des lois d’un effet rapide. » Nous allons voir que dans ce cas-là, ces loies sont celles des illusions perdues, mais bientôt remplacées par de nouvelles illusions. Madame de Bargeton perd ses illusions sur Lucien et tomber dans le piège du baron du Chatelet. Dans un premier temps, Madame de Bargeton se rend compte que sa cousine porte une attention à du Chatelet bien différente de celle qu’elle porte à Lucien. Il est dit ensuite qu’elle « avait présentes à la mémoire les paroles

socio-culturel I – Le comique burlesque Arlequin rate son arrivée car il manque de bonnes manières. Il commet des fautes de goût. Le personnage est grossier, le registre, burlesque. 1 ) Ce qui concerne le mariage« mon beau-père », « ma femme », « pourquoi ne pas dire que »... 1. 1. Il a un niveau de langue familier, presque vulgaire. Il considère le « mariage comme une « bagatelle » Ton péremptoire « Quand on y a pensé » : conception peu noble du mariage ; « voilà

l’importance des relations entre les hommes et les femmes. Se livre peut se lire « comme la recherche de l’harmonie idéale entre l’homme et la femme accordes aux règles stimulantes de l’amour ». Sujet posé : Par exemple ceci est reconnu par la relation entre Laudine et Yvain. Leur relation est une grande épreuve car Yvain n’est pas capable d’accepter la valeur de sa femme Laudine comme être égale. Il ne l’ écoute pas quand elle lui demande de revenir lui voir après une année à la fête de Bastilles. » Sujet

mis à grincer les dents, à faire des grimaces et des contorsions effroyables, et à m'agiter d'une étrange façon » (l. 5) → côté hyperbolique accentué par l'adjectif « effroyables » qui met en évidence le surjeu de Gil Blas. Pris dans son propre piège : les voleurs veulent le soigner, assailli de remèdes inutiles; → impuissant face à eux : « crier de miséricorde » (l. 16) → champ lexical de la plainte : « miséricorde » (l. 16), « me faire souffrir » (l. 17), « cris » (l. 17), « maux véritables »

partie clé de l’œuvre fut censurée puis réintégrée des années après. Nous pouvons alors nous demander comment Beaumarchais faisait transparaitre ses idées nouvelles dans sa comédie. Annonce du plan : I- La femme montrée comme supérieure à l’homme a) Les stratagèmes féminins b) La femme comme modèle de vertu c) Le personnage masculin, symbole des vices II- Le passage clé de l’Acte III, scène 16 a) Le personnage de Marceline b) Un discours puissant c) Les hommes face au discours « féministe