La Femme piège

introduction La réédition revue de Un piège sans fin d'Olympe Bhely-Quenum dans la collection du livre de poche s'imposait. Ce roman, en effet, est sans doute une des pièces maîtresses de la production de cet écrivain ; il s'agit, de toute façon, d'une œuvre importante de la littérature negro-africaine. Ce roman, classique de forme, est celui d'une vie, celle d'un être beau, juste, innocent, musicalement accordé à lui-même et au monde, jusqu'au jour où une dissonance défait cette existence harmonieuse

une grosse transaction immobilière avec un certain conte Dracula. Harker est séduit par les paysages qu’il traverse dans une Europe qui lui était méconnu. Il fait part dans son journal de ses découvertes afin de pouvoir les échanger ensuite avec sa femme. Toutefois, son arrivée dans la région est déroutante, la population locale ayant visiblement peur du château de Dracula. Le périple qui mène au château est un effrayant voyage semé d’embûches et de phénomènes inexpliqués.  Chapitre 2 Jonathan Harker

INTRODUCTION Olympe Bhely Quenum est un écrivain qui a écrit plusieurs œuvres .Au nombres de celles-ci ,nous avons un piège sans fin. A travers ce roman l’auteur aborde les thermes actuelles de notre sociétés tels que :l’amour ,l’adultère ,la jalousie et beaucoup d’autres thèmes. Pour cela ferons une étude de cet ouvrage. I. VIE ET ŒUVRE DE L’AUTEUR A. BIOGRAPHIE Olympe Bhely Quenum est née le 20 septembre 1928 à Ouidah au BENIN. Scolarise chez les pères blanc à COTONOU ,il obtient son certification

qui soit au monde ! La plus brillante, la plus fine, avec accablement La plus blonde ! » «  Mortel sans le vouloir, exquis sans y songer, Un piège de nature, une rose muscade Dans laquelle l’amour se tient en embuscade ! Qui connait son sourire a connu le parfait. Elle fait de la grâce avec rien, elle fait

Introduction : Il existe un lien fort unissant l’eau, la femme et son linge. Par exemple, le trousseau n’est pas seulement une dot féminine mais aussi annonciateur du destin, le mode féminin de préparation au mariage, la marque de l’honneur de la ménagère au moment de sa mort et un instrument de promotion sociale ; en ce sens, il symbolise l’omniprésence du linge dans la vie des femmes. La symbiose identitaire de la femme et du linge peut aussi s’observer lorsque la jeune fille brode sur

dans la violence des Français contre les Français. Après, il parle d’une expérience personnelle, quand il a vu une femme tondue laissée dans la rue. Il la décrit avec des mots tristes dans des vers courtes et simples. Il appelle la fille « la malheureuse », ce qui indique la tristesse et le désespoir qui caractérisent la situation. Les vers suivants soulignent le caractère de cette femme. Elle est une victime « raisonnable », qui veut dire que ses raisons pour ce qu’elle avait fait sont rationnelles

tout d’abord qu’elle est une actrice de talent et une séductrice puis nous montrerons qu’elle mène une bataille inégale. Exercice n° 3 Rédigez les deux axes d’étude. Exercice n° 4 Rédigez une conclusion à ce commentaire. La comtesse anéantir son piège Balzac père Goriot Corrigé de l’exercice n° 1 Pas de corrigé : vous trouverez des éléments de réponse dans le commentaire rédigé. Voici une problématique possible : Montrez que la comtesse use de ses talents de comédienne pour combattre son

Sylvia Sylvia, le protagoniste de l`oeuvre de Marivaux „ Le jeux de l`amour et du hasard”, c`est une fille unique de Monsieur Orgon, bien élèvée, célibataire. On la connait déja dans la première acte de première scène avec sa femme de chambre - Lisette. On y apprend comment Sylvia est disposée vers le mariage. Elle est jeune, néanmoins il n`y a pas en elle cette naïveté juvénile et la foie aveuglée en l`amour. Ella a une image déformée d`hommes sur la forme de laquelle ont eu de l`influence ses

qualificatif féminin. Lui ne parle que d’amour « je vous aime » l.17. Jean et Mlle Rosémilly ont des rôles différents mais aussi des caractères différents. B. Des caractères opposés Mme Rosémilly prend les décisions, elle est perçut comme une femme d’affaire : « nous savons » l.31 , « nous pouvons peser toutes les conséquences de nos actes » l.32 , « décider » l.33 , « suppose » l.33. A l’inverse, Jean est troublé, prit au dépourvu : « répondit niaisement » l.35 , « s’étonnait » l.45 , « il s’attendait

non! non!" Et pour mieux accentuer mon refus, j'ai frappé si violemment la terre du pied que ma jambe s'est enfoncée jusqu'au genou dans la sépulture récente, et que, comme un loup pris au piège, je reste attaché, pour toujours peut-être, à la fosse de l'idéal. Introduction - interroge la nature de la femme entre ange et beauté satanique - dans Les Fleurs du mal, l’image féminine est marquée par une ambivalence qui correspond à la psyché du poète. - Il semble que ce poème reprenne ce thème et cherche