La Femme qui boit

1961, réalisé par John Huston et adapté d'un roman d'Arthur Miller, le mari de Marilyn Monroe. Ce film est l'histoire d'une jeune femme, Roslyn Taber qui vient de divorcer et fait la rencontre de deux hommes, dans un bar : le garagiste Guido et un cow-boy nommé Gay. Les deux gentlemans vont proposer a Roslyn de se reposer dans la maison de Guido. La venue de cette femme enfantine va créer des tensions entre les deux hommes.Leur rivalité et leur incommunicabilité vont éclater lors d'une expédition

réconciliation avec sa culture. * Les territoires : le village des Blanc, le village des Noirs * La Case de Meka : lieu familial, lieu de discussions et de rencontre entre les gens du village * Le café de Mami Titi : lieu de la transgression, on boit de l’alcool sans permission | Thème : le rapport dominé-dominant | Meka, comme ses compatriotes camerounais est dominé par les hommes blancs « installés » dans le pays. Il représente le point de vue des noirs dans un pays colonisé par les blancs

(gris, ocre, brun, vert, bleu terne) - utilisent la lumière, répartie sur l’ensemble de la toile pour valoriser chaque fragment. Artistes : -initiée par Picasso (Ma Jolie, Le joueur de guitare) - initiée aussi par Braque (Le Portugais, Femme lisant) -rejointe par Juan Gris (Homme au café, Le Livre) -influence de Cézanne, notamment dans sa manière de capturer la nature et les objets, de associer l’espace et le sujet Fonctionnement : - Picasso et Braque reproduisent le personnage

Description de l’œuvre : Supermarket Lady représente une femme qui pousse un caddie. Elle est enrobé (malbouffe), chaussée de pantoufles d’intérieur (confort et laisser aller). Cette femme est vêtue d'une jupe bleu moulante ainsi que d'un haut rose, elle porte un collier de petite fleurs jaunes autour du cou, une montre et un bracelet doré au poignet gauche ainsi un sac à main de skaï noir. Le tout semble être de mauvaise qualité. Cette femme a la cigarette au coin des lèvres (qui est un produit

homme ou femme, noir ou blanc. On est tous pareil au fond tu sais, tous des faibles, on s'est tous sentit loosers, on a tous voulut en finir, se noyer dans nos larmes. Ne plus revoir les visages qui nous font tant souffrir, ne plus avoir à décevoir les personnes qui nous sont les plus chères, ne plus supporter le regard de nos ennemis. Se demander pourquoi on est là, alors que des personnes meilleures que nous ne sont plus de ce monde. On voudrait mourir à leur place..Et on pleure, homme ou femme, blanc

une humanité imprévisible. Henri Moor, artiste anglais qui s’inspire de l’art italien. Sculputure paysage, «mère et enfant», sculpture humaine ou animal. Giacometti, (nul et non avenu, détruite en grande partie) 1928, influence de l’art nègre ‘homme-femme» sexualité et violence. «La foret» «l’homme qui chavire» «diego» «portrait de sophie bataille» «chariot 1950». Il évoque l’intranquilité de l’homme. Début du XXe siecle. Riechier : oeuvre kafkaiennes, inachèvement, mort. Dadaigne, artiste belge. Représentation

silhouette "longue, mince et en grand deuil" v.2. Puis vient la description de son habillement le "feston et l'ourlet" v.4. Cela laisse place à l'imagination du lecteur d'une femme belle, élancée, digne, habillée de noir ("en deuil"), portant avec élégance sa tristesse. Le troisième vers débute par le contre-rejet "La femme" qui replace l'attention sur elle (annoncé par le titre). La description continue en suivant le

? Parle ! Tu vois bien que je sais. C'est pour lui ? LE GARÇON Oui. C'est pour lui. MÉDÉE Qu'a-t-il donc fait ? Allons, dis vite. Tu as couru, tu es tout rouge, il te tarde d'y retourner. On danse, n'est-ce pas ? LE GARÇON Oui. MÉDÉE Et on boit? LE GARÇON Six barriques ouvertes devant le palais! MÉDÉE Et les jeux, et les pétards, et les fusils qui partent tous ensemble vers le ciel. Vite, vite, petit, et tu auras joué ton rôle, tu pourras retourner là-bas et t'amuser. Tu ne me connais

ou retenir. Nous verrons d’abord comment est caractérisée cette femme, comment elle apparait dans le poème puis nous verrons le retentissement de cette apparition fugitive dans l’esprit du poète. I) L’apparition Déjà d’après le titre, nous remarquons que le destinataire n’a pas de nom. Or dans la poésie amoureuse on s’adresse à la femme aimée qui est nommé. Ici non, car l’amour n’a même pas eu le temps d’avoir lieu, la femme n’a été qu’entrevu dans l’anonymat de la ville ou tout va trop vite

ancien soldat qui vend son café « C’était un véritable antéchrist » (p. 15) ; → l’oncle sale et alcoolique d’une des femmes « Il est méchant comme la gale » (p. 22) ; à l’opposé, sa sœur est « bonne comme le pain » ou « bonasse » ; → Histoire de la femme qui fait avec son mari 54 kilomètres de route pour voir le père et espérer l’héritage, se prenant le bec avec son beau-frère : « Je lui ai dit : « Vous, pour le cœur, vous savez ! » Il a eu le toupet de me répondre : « Et vous ? » » (p. 44) « Parce