La Figure Du Double Dans Lorenzaccio

 grotesque  qui  inclut  le  laid  et  le  mal.  Les  drames  romantiques  portent  souvent   sur   le   destin   d’un   héros   opposé   à   l’ordre   social   (Hernani,   Ruy   Blas   ou   Lorenzaccio).   Ils   tiennent   de   la   tragédie   par   la   peinture   des   passions   et   de   la   comédie   par   celle   des   caractères.   Dans   Ruy   Blas   de   Hugo,     on   retrouve  

celle du taureau. Au départ le prêtre fait le sacrifice du taureau puis à la fin du texte, le prêtre devient un taureau, il est comparé à un taureau qui fuit l’endroit du sacrifice. Il est offert lui même en sacrifice. Le passage est enclos dans cette double image de violence : une violence rituelle acceptée au départ et une violence rituelle de la fin. Le côté pathétique de la scène vient de la famille, de l’image du père et de ses enfants. Une sorte de signification familiale très importante. Il doit

le vers fameux : « O temps, suspends ton vol !... » Afin que les vers présentent bien le mètre souhaité, assurez-vous de tenir compte de la règle du « e muet » : utilisez, pour réviser ou compléter les notions de versification, la fiche n° 10 qui figure dans le fascicule annexe du cours, intitulée Fiches de révision/Boîtes à outils. Tenez compte de la ponctuation et des accents. Si vous en avez la possibilité, enregistrez-vous et améliorez ainsi l’expressivité de votre interprétation. Lecture

effroi la gigantesque géographie qui s'ouvre à lui. Arrêté par les conseils (ou les menaces ?) du narrateur, le lecteur fait dans un premier temps une expérience anticipée de la sauvagerie. La prétérition dont fait usage le texte a donc une fonction double : inquiéter le lecteur, lui communiquer un vertige, tout en le poussant à entrer dans le territoire dangereux que constitue le texte. Aussi Lautréamont écrit-il : Il n'est pas bon que tout le monde lise les pages qui vont suivre : quelques-uns seuls

................................................................................48 - Les intrusions de l’auteur …………………………………………………53 - Quelques erreurs temporelles……………………………………………...55 - Les digressions……………………………………………………………..56 - Les figures de style………………………………………………………....57 Conclusion Bibliographie 3 Introduction La littérature française au cours de son histoire a été caractérisée par divers courants et écoles littéraires qui la marquèrent sur tous les plans et les genres. Ainsi

Daté de la deuxième moitié du XIVe siècle, le portrait de Jean le Bon constitue le premier portrait connu au Nord des Alpes qui soit autonome et affranchi de tout contexte religieux ou cérémoniel. L’homme n’est plus ici, comme par le passé, une figure abstraite et symbolique qu’on ne se souciait pas de peindre ressemblant, mais un individu, doté de particularités physiques. Signe des temps, ce changement dans la représentation témoigne d’un intérêt nouveau pour l’homme, qui devient alors un objet

Tout doux. Dire toujours « Pardon » et « Merci »… c’est ça ? [...] Le Bien. Leur Bien… » se révolte Oreste (p 179). La référence à l’actualité reste toutefois implicite. La réception de la pièce en témoigne. Mis à part Michel Leiris (dont l’article figure en annexe document 5) et quelques personnes averties, les spectateurs sont passés à côté de la dimension historico-politique de la pièce, que la mise en scène de Dullin7, pourtant, s’était attachée à souligner (notamment en créant, par l’adresse,

Comment se découpe une pièce de théâtre ? Je vais donner une œuvre théâtrale pour deux personnes. Dans ma besace, je vais leur apporter Othello, le roi Lear, Macbeth de Shakespeare, Le malade imaginaire, George Dandin, Amphitryon, L’avare de Molière, Lorenzaccio, On ne badine pas avec l’amour de Musset, Phèdre de Racine, Huis clos de Sartre, Les combustibles d’Amélie Nothomb, Pantagleize de Michel de Ghelderode. J’ai pris expressément des œuvres d’époques différentes pour qu’ils remarquent que le découpage

Dans la débauche, la luxuriance ou la raréfaction, le mot est une matière. 9 10 Théâtre français contemporain\Tribulations de l’écriture dramatique en France Le personnage s’étiole, son moi se divise, flotte. Il devient sans âge déterminé, une figure plus qu’une biographie. Un réalisme proprement théâtral court de l’une à l’autre de ces pièces où le fantastique peut faire son entrée. Ces écrivains engendreront des enfants ou des cousinages plus ou moins fidèles, plus ou moins reconnaissants

vie. La Boétie écrit un Discours de la servitude volontaire (1548). Une littérature du « moi » apparaît avec Les Essais de Montaigne (1588). François rabelais. Le renouveau des formes poétiques La poésie de la Renaissance est imprégnée d’une double influence : la redécouverte de l’Antiquité grecque et romaine qui explique l’importance donnée aux thèmes mythologiques ; l’influence italienne avec l’adoption du sonnet à la manière de Pétrarque. L’intérêt pour la langue française, encore peu répandue