La Fille de l'eau

le passé (la jeunesse, la beauté, le souvenir) avec le présent (la tristesse, le deuil, la mort) lié à la mort de sa fille Léopoldine. Le recueil traverse aussi le souffle mystique de la foi. On a dans ''Elle était déchaussée, elle était décoiffée'' un passage d'autrefois. Portrait de la femme : Mise en valeur: pronom ''elle'' repris deux fois dès le premier vers. La jeune fille est au centre du poème Belle : adjectif repris deux fois Insistance avec le nom ''beauté'' (v.6) Comparaison à une

sonore macabre. La lumière baisse, on a l'impression que le corbillard flotte dans le brouillard. Dans la pénombre, 2 personnages s'avancent, à peu de distance l'un de l'autre. Une Jeune Fille avec un voile blanc qui lui cache son visage, et un homme vétu d'une large cape avec une capuche. La Jeune Fille serre des fleurs contre son ventre, tétanisée devant l'objet funèbre qu'elle vient de découvrir, elle attend. L'homme s'approche d'elle, lui sussure quelques mots à l'oreille. Elle va déposer

Premières CORPUS : CHARLES PEGUY (1873-1914), Le Porche du Mystère de la deuxième Vertu, fin, 1912. QUESTION DE CORPUS (4pts) : En quoi ce poème est-il une célébration de la nuit ? COMMENTEZ LE PASSAGE EN GRAS (16pts) O nuit, ô ma fille la Nuit, toi qui sais te taire, ô ma fille au beau manteau. Toi qui verses le repos et l'oubli. Toi qui verses le baume, et le silence, et l'ombre O ma Nuit étoilée je t'ai créée la première. Toi qui endors, toi qui ensevelis déjà dans une Ombre éternelle Toutes mes créatures

auraient été considérées comme superflues. Mais plusieurs années se sont écoulées depuis le drame sur lequel ce conte est fondé, et il nous a paru bon de les ajouter ici, avec quelques mots d’explication relativement au dessein général. Une jeune fille, Mary Cecilia Rogers, fut assassinée dans les environs de New York ; et, bien que sa mort ait suscité un intérêt intense et persistant, le mystère dont elle était enveloppée n’était pas encore résolu à l’époque où ce morceau fut écrit et publié (en

Havre et admire une forte marée. L'élément perturbateur se dessine à l'arrivée d'un ami du narrateur, Axelsen, qui pleure. On retrouve les péripéties dans le récit d' Axelsen, il tombe amoureux d'une jeune fille, souhaite lui faire une aquarelle pour sa fête. A défaut d'eau, il prend de l'eau de mer et l'aquarelle devient vivante. L'étape finale se caractérise par la déclaration de Johanson, un ami en commun d'Axelsen et du narrateur, accusant l'histoire de son ami d'être un mensonge. Cela constitue

chimiques.Principe La réaction que nous allons exploiter pour effectuer notre dosage est celle de l’oxydation du glucose. En effet, l’oxydation du glucose catalysé par la glucose-oxydase produit de l’eau oxygéné H2O2 et de l’acide gluconique. Si on rajoute comme réactif un chromogène réduit incolore, l’eau oxygéné en présence de peroxydase oxyde à son tour ce chromogène en un dérivé oxydé coloré. Dans notre cas, le chromogène se colore en rose. On utilise donc le réactif Glycemag car il contient la

un réseau qui avait recruter Ahmed, une connaissance de la famille, afin de fuir le pays.Le matin du départ de Miran, sa mère lui rase les cheveux pour devenir un homme. Au début du périple, Miran est dans un 4x4 avec 19 autres personnes dont une fille. Ils changent de véhicules souvent, le nombre de personnes diminue : certains meurent de faim ou de soif, d’autres meurent tabassés car ils refusent de donner ce qu’ils possèdent aux personnes qui les aident à fuir le pays. Pendant plusieurs

le vrai portrait de son Père pour sa douceur et pour l'honnêteté"CaractèreLe père est montré comme quelqu’un de doux et d’honnête.La mère est montrée comme quelqu’un de très caractérielle et orgueilleuse.C’est une fille désagréableC’est une fille très obéissante SentimentsLe père étant décédé on ne connaît pas ses sentiments mais on suppose que c'était quelqu’un de très aimant envers sa cadetteLa mère est représentée comme une personne colériqueLe narrateur la présente comme une

voiture sur la neige. Pourquoi Marc trouve-t-il la disparition de sa fille très étrange ? Il n’a rien entendu lorsqu’elle a disparu. Il n’y aucune empreinte de pas dans la neige autour de la voiture. Emilie a laissé son sac et son écharpe dans la voiture. Il avait enfermé sa fille à clé dans la voiture donc il ne sait pas comment elle a fait pour en

avait un vieux bateau qui se plaignait. Il avait des rhumatismes. « J’en ai assez, disait-il, d’avoir les pieds dans l’eau. A mon âge, toute cette humidité ne me vaut rien. Je préfèrerais vivre sur la corniche, comme cette petite maison là-bas. Ce serait moins fatiguant. - Vraiment, disaient les autres bateaux, pour qui se prend-il celui-là ? Les bateaux, c’est fait pour aller sur l’eau et rien d’autre. - Oui, mais, à mon âge, toujours courir sur les mers !... - Alors, tu es tout juste bon pour la