La Fille Laide

genre de ce texte « Un bonheur » est une nouvelle car : Premièrement il met en scène des personnages exemple (p109) « La vielle duchesse mère sortit la tête à peu près a l’envers de la chambre où son mari s’était retiré depuis le jour où sa belle fille avec les deux enfants avait quitté le palais et la ville pour retourner chez ses parents à Nicosia » Deuxièmement il mêle dialogue et description comme (p111) « - Oui oui ? Mais comment ? Oui ? -Oui, répéta la mère plus de la tête que de la voix »

les beaux pétales rouges et jaunes, mais au moment même de ce baiser, la fleur s'ouvrit avec un grand bruit d'explosion. C'était vraiment une tulipe, ainsi qu'il apparut alors, mais au milieu d'elle, assise sur le siège vert, était une toute petite fille, mignonne et gentille, qui n'était pas plus haute qu'un pouce, et qui, pour cette raison, fut appelée Poucette. Elle eut pour berceau une coque de noix laquée, des pétales bleus de violettes furent ses matelas, et des pétales de roses son édredon;

ou habite Candide. Il fait exclure ce dernier après avoir eu des ‘’liaisons’’ avec sa fille Cunégonde. Ce baron illustre très bien la vanité car il prétend être roi alors qu’il ne dirige qu’une petite province Cunégonde : Cunégonde, fille du baron Thunder-ten-tronckh, cousine et amoureuse de Candide. Elle est la cause de l’expulsion de Candide et de ses mésaventures. A la fin de l’histoire, elle devient laide et désormais Candide ne souhaite plus l’épouser, bien qu’il le fait. Cacambo : C’est

La fin n’ est pas racontée. Antigone, la fille d’ Œdipe et de Joconde, est le personnage principale de ce livre. L’auteur nous présente Antigone comme ‘la petite maigre jeune fille noiraude’ –page 9, comme une fille belle mais pas comme les autres –dans la page 29 Ismène dit à la nourrice qu’Antigone est une fille ‘ Pas belle comme nous, mais autrement’- et –d’après la nourrice à la page 17- ‘Pas assez coquette’. Elle est aussi présentée comme une fille qui n’ est pas très contente avec elle même

famille,monsieur Simonin est un riche avocat au caractére très dur,marié á la mére de Suzanne qui est une fmme très croyante. Elle est tiraillé entre l’amour qu’elle doit se porter pour sa fille et son mari. Suzanne a deux sœurs qui sont chéries de leurs parents, bien plus qu’elle, parce qu’elle n’est pas la fille biologique de M. Simo nin, et donc le fruit d’un péché de sa mére. Madame de Moni-une religieuse du couvent de Longchamp, c’est la premiére supérieure de Suzanne dans cette maison. C’est

initiale Veuve pourvue de deux filles Traitement inégale et injuste des filles : La mère « était folle de sa fille ainée » (l. 6) « aversion effroyable pour la cadette » (l. 7) Eléments perturbateurs : 1ère rencontre à la fontaine (l. 9 à 30) | 2ème rencontre à la fontaine | -Sollicitation de la fée qui lui pria de lui donner à boire - Honnêteté de la jeune fille : « Oui da » - Elle bénéficie d’un don extraordinaire qui passe par la bouche avec un objet gratifiant - Retour au

Ma bouche, au lieu de trouver des paroles, s'avisa de se coller sur sa main, qu'elle retira doucement après qu'elle fut baisée, en me regardant d'un air qui n'était point irrité. Je ne sais ce que j'aurais pu lui dire : son amie entra, et me parut laide en ce moment. Les Confessions, Livre IV Au début du livre IV, Rousseau se souvient d’une journée (fin juin 1730) passée à Thônes, aux environs d’Annecy. Il a rencontré deux jeunes filles qui l’invitent dans leur maison de campagne (au hameau de

Pour votre noce sans doute. Avouez qu’il vous a séduite ! Que vous êtes grosse ! Avouez-le ! Solange s’accroupit sur le tapis et, crachant dessus, cire des escarpins vernis. Je vous ai dit, Claire, d’éviter les crachats. Qu’ils dorment en vous, ma fille, qu’ils y croupissent. Ah ! ah ! vous êtes hideuse, ma belle. Penchez-vous davantage et vous regardez dans mes souliers. (Elle tend son pied que Solange examine.) Pensez-vous qu’il me soit agréable de me savoir le pied enveloppé par les voiles de votre

inévitablement vieillir et perdre la beauté qu’elle a présentement. En effet, la distribution des temps verbaux dans le poème illustre ce fait puisque temps va du passé, au présent et au futur. La rose «avoit desclose» (v. 2) représente le passé de la jeune fille lorsqu’elle était encore enfant, tandis que maintenant son âge « fleuronne» (v. 14) et bientôt la vieillesse «fera» (v.18) disparaitre cette beauté. Ronsard veut que son affirmation soit /claire, alors il utilise des marqueurs de relations pour annoncer

les crontre-dits jamais, évite leur regard, Cosette est en réalité une esclave , une bonne à tout faire pour les Thénardier qui profitent de la naïveté de Fantine pour lui soutirer des sous.Le portrait physique : Cosette est une jolie petite fille rendue laide par le malheur et les mauvais traitements. Elle est maigre, blême et sa petite taille la rajeunit de quelques années. Ses yeux bleus sont enfoncés dans leurs orbites, sombres d'avoir trop pleuré. Sa bouche est toujours tiré en une grimace de