La Fin Justifie Les Moyen Les Mains Sales

différents des autres services et les soignants auraient des tâches bien spécifiques. Les soignants seraient des « gardiens » de fous assimilés à des surveillants du milieu carcéral ou à des personnes qui feraient face chaque jour à la violence avec peu de moyens. La folie interroge et fait peur. Quel sens donner alors au soin ? Que peut–on faire pour ne pas condamner par avance le patient dit « fou » ? Si le soin s’articule autour du patient, la question éthique se pose dans un système de soin donné, orienté

pendant longtemps, si on n’y met pas fin. Les formes sous-jacentes à certaines méthodes rappellent les pratiques type « attaques de sorcières » (cf. certaines pratiques culturelles), en « travaillant » les substances corporelles de la victime (cheveux, …), ou aux procédés thérapeutiques traditionnelles ou rituels d’initiation. • La prévalence d’un ordre binaire : rendre évident qu’il existe 2 sortes d’hommes (les uns propres, vivants), et les autres (sales, rampant). Le marquage de la chair

du sang d’Anna sur mes mains. Tout comme avec Rosalyn. Nous parvînmes à un arbre déraciné et Mezzanotte se cabra, me faisant tomber en arrière sur le tapis de la forêt. Je sentis une douleur vive me transpercer la tempe alors que ma tête s’écrasait contre une pierre. La respiration coupée, je luttai de toutes mes forces pour reprendre mon souffle, sachant que ce n’était qu’une question de temps avant que Katherine tue Anna et en finisse avec moi. Je sentis alors des mains douces mais froides comme

une personne à la pensée claire et perspicace. La mort de son père, qu’il n’a en fait réalisé que dix huit mois plus tard, va le torturer et le placer en criminel. L’affect est exagéré. Etre un criminel semble faux. Erreur dit Freud. L’affect est justifié, la culpabilité n’a pas à être critiquée mais elle appartient à un contenu qui n’est pas connu et qui doit être cherché. Mais il n’y a pas d’affect sans contenu de représentation donc quand il n’y en a pas, on en adopte un autre. Un peu comme la

Ecriture + Activités décrochées – semaines 4, 5 et 6Lecture offerte d’un ouvrage entier / - Ou lecture personnelle / - Ou lecture tournante (par groupe de 4)1er jet- 1 à 2 séances- Soit écriture à 2 ; - Soit l’un écrit le début et l’autre la fin (suppose une concertation étroite entre les 2) ; - Soit écriture commune du début puis dissociée de la suite. Correction individuelle des productions (conformité au projet)- utiliser et conjuguer les temps du récit (imparfait et passé simple / passé

..................................  46   JEAN-­‐PAUL  SARTRE,  HUIS  CLOS  (1947)  ......................................................................................................  48   JEAN-­‐PAUL  SARTRE,  LES  MAINS  SALES  (1948)  .........................................................................................  49   JEAN  GENET,  LES  BONNES  (1947)  ....................................................................................

mon stage d'application à l'Ecole des Officiers de la Gendarmerie. DIAKHITE était lieutenant depuis au moins deux ans. Abdoulaye FALL terminait ses deux années de formation cette année-là. Moi-même, j'étais Sous-lieutenant entrain d’appliquer et en fin de formation. Le Lieutenant DIAKHITE, ancien enfant de troupe, avec qui je partageais beaucoup de moments, nous invita tous les deux au restaurant du supermarché Casino où nous échangeâmes sur beaucoup de sujets. Nous parlâmes beaucoup de la Gendarmerie

pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble. À gauche, se creusent des boutiques obscures, basses

pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne misérablement dans le passage. Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble. À gauche, se creusent des boutiques obscures, basses

1ere partie INTRODUCTION DE LA PARTIE I Le transport aérien, un élément stratégique dont l'intérêt réside dans sa rapidité et sa sécurité, explique son coût élevé par rapport aux autres moyens de transport et met en valeur la compétitivité du vendeur. Ce moyen tend à perdre de sa valeur avec la déréglementation du secteur (émergence des Low Cost, guerres tarifaires, hausse du kérosène). Face à cela, les compagnies aériennes s'adonnent à une véritable course aux profits et à une diminution des