La Fin Justifie Les Moyen Sartre

soit-il, comme un genre) — tout simplement, et comme chacun le savait d'avance, parce qu'imiter, c'est généraliser. » (p. 110-111). L'oeuvre de l'autre Marc Escola   Bruno Clément, Le Lecteur et son modèle. Voltaire-Pascal, Hugo-Shakespeare, Sartre-Flaubert, Paris, Puf, coll. «Écriture», 1999.  273 p. Isbn : 2 13049635 0. La littérature s'écrit en lisant. C'est (à peu près) ce que rappelait G. Genette dans Palimpseste, en avouant son goût pour la littérature au second degré. Il est un autre

définition de l’intelligence est satisfaisante. Ici, vous pouvez vous reporter aux analyses de Bergson lorsqu’il définit l’intelligence comme la faculté d’agir. Etre intelligent serait alors être capable de réagir face à un problème et d’inventer des moyens de le dépasser. Or, vous remarquerez que chez l’animal, cette capacité d’action est réduite. Ainsi, si on intervient dans une ruche en la désorganisant, les abeilles sont perdues par exemple. De même si vous masquez les phéromones que les fourmis

conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence, et « alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir »[1]. Sa critique du totalitarisme soviétique lui vaut les anathèmes des communistes et conduit à la brouille avec Jean-Paul Sartre. Il reçoit le Prix Nobel de littérature en 1957, sa réputation et son influence restent grandes dans le monde. Selon Bertrand Poirot-Delpech, les essais sur son œuvre ont abondé juste après sa mort, tandis qu'on rendait très peu compte de sa vie

pièce, je ne sait pas sur quel côté elle va tomber, celui-ci est déjà déterminé elle est destinée à tomber sur un côté précis. En effet, chaque évènement physique est la conséquence précise d’une cause qui lui est antérieure. Si je disposais d’un moyen de remonter le temps, et que je retournais au moment qui précède le lancer, je pourrais prédire sur quel côté elle tomberait car elle aurait été lancée dans strictement les mêmes conditions physiques que la première fois que je l’ai vue tomber. Ainsi

l'indifférence et de l'égoïsme qui entraîne peu à peu la dilution du lien social. L'association étroite qu'établit René Girard entre « l'harmonie » et la « différence » peut sembler de prime abord contre-intuitive, éventuellement contradictoire. Elle se justifie pourtant dès lors que l’on accepte de définir l'harmonie comme un processus, une dynamique, un équilibre social qui se construit perpétuellement grâce aux interactions entre les membres du corps social. C’est ce que le philosophe allemand Jürgen

repris par les arcanes rosicruciens et les nombreux philosophes de la liberté au cours des siècles écoulés. Je ne peux en citer que quelques uns.: une grande partie des philosophes grecs dont Aristote, puis ensuite Lucrèce, Kant, Engels, Descartes, Sartre, Leibniz, Spinoza, Bossuet, Nietzsche, Bakounine, Cournot, Hume, Léon XIII, Rousseau, Pufendorf, Montesquieu, Marx, Valéry, Fourrier, Schopenhauer, Laporte, etc., etc., et j’en oublie de nombreux, bien entendu. De surcroît, Wikipédia et de nombreux

nommée liberté d’indifférence : l’indifférence étant l’état de la volonté lorsqu’elle n’est pas portée à suivre un parti plutôt qu’un autre,  la liberté est précisément ce qui me permet de sortir de cet état d’indétermination : cette décision qui met fin à l’indifférence est imputable à la volonté, puisque l’entendement ne nous indique que l’équivalence des solutions. Dans ces conditions, la liberté d’indifférence, comme acte pur, déterminant et absolument indéterminé de la volonté, apparaît comme une

le savant). 5) Utilitarisme et Méritocratie ne sont pas toujours convergents. 6) dérives de toutes sortes pouvant mener à la tyrannie du plus grand nombre, à l’égoïsme primaire, à l’argent comme seul thermomètre (culte du winner) et à « la fin justifie les moyens ». Exemples actuels : moteur coûts/bénéfices dans l’entreprise, guerre préventive, indice QALY en médecine, théorie « réhabilitionniste » en droit pénal (la réhabilitation des criminels est plus « utile » que la loi du talion ie « œil pour

notre personnalité. Par nos actions, nous exprimons notre liberté nous nous définissons (c’est aussi ce que dit Sartre). Nous voulons que le monde dans lequel nous vivons nous ressemble (« cachet personnel »), par exemple chacun essaye de donner son propre style à sa maison ou personnalise les objets qu’il possède.(j’ajoute un exemple et une référence)3ème étape : De la ligne 12 à la fin , L’auteur prend un exemple. Le comportement des petits enfants montre que, très tôt dans notre vie, nous cherchons

bien précises. En son temps, Sartre a dit : « Longtemps j'ai pris ma plume pour une épée : à présent je connais mon impuissance. N'importe : je fais, je ferai des livres ; il en faut ; cela sert tout de même. La culture ne sauve rien ni personne, elle ne justifie pas. Mais c'est un produit de l'homme : il s'y projette, s'y reconnait ; seul, ce miroir critique lui offre son image. » Et sur ce nous pouvons alors nous demander de quelle façon la littérature était-elle un moyen efficace pour défendre une