La Flexibilité Reduit Elle Le Chomage

Objectifs: - Définir le chômage et montrer les limites de la définition, - Comprendre les théories, - Cerner les causes du chômage depuis les années 1970, - Analyser les politiques anti-chômage. Section I Le chômage au sens du BIT Sont considérés comme chômeurs : 1. Les PSERE (population sans emploi à la recherche d'un emploi). Pour être PSERE, il faut : - Etre à la recherche d'un emploi, - Effectuer des démarches en ce sens, - Etre disponible pour exercer un emploi rémunéré. 2. Les

fonctionnement de la politique sociale menée. Le gouvernement, en réformant le système des retraites, a fait un pas pour répondre à cette exigence. Cette réforme a provoqué une forte opposition de la part des syndicats et du peuple du fait qu’elle réduit les avantages sociaux dans le but de relancer l’économie. La question qui se pose est de savoir si la réforme va dans le sens de l’intérêt général ou s’il suit davantage une pure logique capitaliste. Pour répondre à cette question, il faut

des années 1970. Une des caractéristiques du fordisme qui a causé sa perte, fut sa rigidité due à son mode de production : le travail à la chaîne. Les nouvelles organisations érigent une nouvelle idée, qui devient très vite primordiale : la flexibilité. Tout devait pouvoir s'adapter aux fluctuations du marché, aux variations de la demande : les machines, les travailleurs, les rythmes de travail, les horaires. Cette nouvelle idée introduisit la polyvalence chez les ouvriers, et l'on enterra la

de l’entreprise (pas seulement les ouvriers) ; – le toyotisme a été appliqué dans les entreprises tertiaires ; – les entreprises se sont informatisées (suppression des « kanban »). 2. Les entreprises européennes ont ajouté la flexibilité du temps de travail et la flexibilité de l’emploi (à l’origine le toyotisme supposait l’emploi à vie). 3. Les entreprises américaines et européennes ont copié le toyotisme car cela leur donnait plus de réactivité. Doc. 14 Faire le point (doc. 5 à 9) 1. Taylorisme

fait, notamment, d’une croissance plus ou moins forte par le passé. Peut-on parler d’un rattrapage des pays du Nord par ceux du Sud ? On peut parler d’un rattrapage pour la Corée dont l’écart par rapport aux pays industrialisés s’est considérablement réduit. Exemple : écart par rapport aux États-Unis : 1974 = 1 à 8 (551/69), 2004 = 1 à 3 (669/232) Ce n’est cependant pas le cas d’autres pays (pays à faible revenu) qui connaissent une croissance faible, voire une diminution de leur PIB par habitant. Certaines

l’Etat et les jeunes permet aux jeunes de milieux sociaux difficiles de s’intégrer dans la société, d’accéder à une formation et ensuite de participer à la productivité du pays tout en réduisant les inégalités. L’intervention publique au niveau du chômage avec l’ANPE permet aux chômeurs de retrouver un emploi et d’augmenter et de diversifier les emplois et la productivité également en proposant de nombreux services concurrentiels internationalement et nationalement. 3. Les subventions de l’Etat

accru et que le ralentissement de la croissance de l’emploi correspond au ralentissement des gains de productivité depuis le milieu des années 1970. Mais certaines théories telles que celle de Marx nous montre que le progrès technique engendre le chômage et donc ne favorise la croissance. Pbtique = Actuellement en France, l’innovation a-t-elle des conséquences néfastes sur l’emploi ? Définitions des termes = * Progrès technique = Le progrès technique peut être défini, dans un premier

Théorie keynésienne du chômage La théorie keynésienne se caractérise par l'importance qu'elle accorde à l'explication du chômage involontaire, le seul chômage véritable. Contrairement à l'optimisme candide de la théorie classique, Keynes ne croît pas que notre système économique puisse assurer automatiquement le plein emploi. Le capitalisme moderne, organisé par les marchés boursiers et financiers, lui paraît même moins apte que le capitalisme familial à permettre la convergence des anticipations

certaines monnaies : instables. Propage l’inflation. Dollar : monnaie puissante mais pas forte car elle est instable. 1.3. Politiques anti inflationniste et désinflation 1.3.1 Justifications des politiques de désinflation Lutte contre le chômage passe par la lutte contre l’inflation. L’inflation est le mal absolu. - Sociale : L’inflation introduit un élément d’injustice social dans l’économie. Ce sont les classes sociales les moins favorisées qui subissent le plus l’inflation. Revenu

l'absence totale de garanties pour les salariés. Le patronat recrute en fonction des besoins et le travail varie en fonction de la conjoncture. En période de récession économique, l'ouvrier peut être licencié sans aucune garantie (pas d’allocations chômage). Enfin, le décret d'Allarde et la loi Le chapelier de 1791 suppriment les associations professionnelles permettant jusqu'alors aux ouvriers de défendre leurs intérêts. 2) …à la naissance d'une classe sociale : Il n’existe pas de véritable théorie