La Focalisation Interne Camus

analytique : L'incipit d'Albert Camus, L’étranger L'étranger est un roman d'Albert Camus, paru en 1942. Il prend place dans une trilogie que Camus nommera « le cycle de l'absurde »,trilogie composée d'un roman ( l’Étranger ), d'un essai ( Le mythe de Sisyphe ) et d'une pièce de théâtre ( Caligula ). L'étranger est un roman à la première personne dans lequel le lecteur plonge dansl'intériorité de Meursault, le narrateur-personnage. On assiste ici à une focalisation interne. L'incipit du roman, et

longueur. Dans le roman, le narrateur relate l’histoire de personnages qui subissent des péripéties. I. Le langage romanesque Narrateur : Celui qui raconte l’histoire, qui prend en charge le récit. Il n’existe que deux types de narrateur : interne ou externe. Il est interne quand il est un personnage qui fait partie de l’histoire ; il est externe quand il ne fait pas partie de l’histoire. Auteur : Celui qui a écrit le livre. L’auteur n’est le narrateur que dans un seul cas de figure : l’autobiographie (auteur=narrateur=personnage)

à lui et d’interagir, grâce à leurs sentiments et leurs pensées (grâce à la focalisation interne notamment), le lecteur va-t-il se faire une idée de la «!vision du monde!» élaborée par le roman. Le personnage joue ainsi le rôle d’un filtre, d’une focale (comme on dit en photographie), qui permet au lecteur d’ajuster sa vision. Seul le roman par son ampleur, ses descriptions, et son jeu de focalisations variables (interne, externe, omnisciente) permet d’atteindre cette dimension de vision du monde

rAnalyse de L’Etranger, Albert Camus Point de vue * Point de vue philosophique Définition du point de vue philosophique : La spécificité du point de vue de la philosophie est à rechercher dans sa visée : est philosophe celui qui veut " aller au fond des choses ", c'est-à-dire 1) trouver le fin mot de toutes choses, sa raison d'être ultime, son "principe", en un mot son sens 2) et, conjointement s'assurer que ce que l'on dit de ce qui est correspond bien à la réalité par un effort

l’essence de sa vie par ses propres actions. Chaque humain est considéré comme le maitre de ses actes, son destin et des valeurs qu’il décide d’adopter. Parmi les écrivains qui distinguent ce siècle et ce mouvement littéraire, on peut citer Albert Camus, Jean-Paul Sartre et André Malraux. André Malraux est considéré comme l’un des grands figures du XXe siècle qui utilise des expériences disposant du sens du monde actuel pour créer des romans ou les hommes s’opposent à la mort et aux servitudes de

à lui et d’interagir, grâce à leurs sentiments et leurs pensées (grâce à la focalisation interne notamment), le lecteur va-t-il se faire une idée de la « vision du monde » élaborée par le roman. Le personnage joue ainsi le rôle d’un filtre, d’une focale (comme on dit en photographie), qui permet au lecteur d’ajuster sa vision. Seul le roman par son ampleur, ses descriptions, et son jeu de focalisations variables (interne, externe, omnisciente) permet d’atteindre cette dimension de vision du monde

rapport à lui et d'interagir, grâce à leurs sentiments et leurs pensées (grâce à la focalisation interne notamment), le lecteur va-t-il se faire une idée de la« vision du monde» élaborée par le roman. Le personnage joue ainsi le rôle d'un filtre, d'une focale (comme on dit en photographie), qui permet au lecteur d'ajuster sa vision. Seul le roman par son ampleur, ses descriptions, et son jeu de focalisations variables (interne, externe, omnisciente) permet d'atteindre cette dimension de vision du monde

action de façon à ce qu’il entre dans l’univers de l’histoire ou dans l’histoire elle-même, mais il faut aussi retenir son attention et faire en sorte qu’il ait envie de continuer sa lecture. • Zola, dans Germinal, Malraux dans La Condition humaine, Camus dans L’Étranger et Simenon dans Le Chien jaune répondent à ces critères tout en optant pour des techniques différentes. • Dans ces quatre textes, les romanciers donnent des indices spatio-temporels précis. Le lecteur est introduit dans un décor

maitriser le monde. On assiste, parfois, à ce que l'on pourrait appeler la "mort du héros". Est-ce aussi le cas de l' "Etranger"(1942)?Le chef d’oeuvre de Camus dresse-t il le portrait d’un héros ou d’un antihéros?A présent, nous allons analyser trois différentes raisons nous menant à comprendre si Meursault, le protagoniste du roman de Camus, peut être qualifié comme étant un héros ou un antihéros. Tout en affirmant qu'il existent plusieurs clés de lecture à ce propos, il y a bien de raisons permettant

roman. Il retrace une partie de la vie de Jean-Baptiste Clamence, « juge-pénitent ». L’action se déroule à Amsterdam. Camus fais une focalisation croissante sur chaque lieu, par exemple « cet établissement » (l.3) devient « ce bar d'Amsterdam » (l.16) et ensuite «[le bar] Mexico-city » (l.17). L’auteur ne précise pas le moment et l'époque mais on comprend que c’est à l’époque de Camus. Dans le récit il n’y a que deux personnages, JB Clamence et son interlocuteur dont on ne sait rien, excepté qu’il