La Folie des hommes

L'argumentation La narration Introduction Présenter l'auteur Racine et l'œuvre Andromaque, puis le passage étudié. Lecture du texte Annonce des axes Axe de lecture : Un dénouement tragique - Plan : I- La fuite, II- La mort, III- La folie Lecture méthodique I - La fuite : A. Il n’y a aucune autre issue : ni le combat, inégal, ni le sacrifice, inutile. Pylade, roi et conseiller, cherche à sauver son ami Oreste. Il lui propose la solution de la dernière chance. Acte I, scène

Analyse Identifier le sous-genre : Les sous genres romanesques • le cadre de l’intrigue : c'est un roman rural étant donné que l'intrigue se déroule dans la campagne. • la nature de l’action: c'est un roman noir qui se base sur la folie. • la technique narrative : - énonciative : le roman est raconté à la première personne du singulier. - esthétique : nous sommes dans un courant surréaliste. - formelle : nous sommes dans un vrai faux journal intime étant donné que ce

était un vrai poète et du parti des Démons, sans le savoir. * Vision mémorable Tandis que je marchais parmi les flammes de l’Enfer, et faisais mes délices du ravissement du génie, que les Anges considèrent comme tourment et folie, je recueillis quelques-uns de leurs Proverbes ; car de même que les dictons en usage chez un peuple portent la marque du caractère de celui-ci, j’ai pensé que les Proverbes de l’Enfer manifestent la nature de la Sagesse Infernale, mieux qu’aucune

L’amour et la folie. Tout est mystère dans l'Amour, Ses flèches, son Carquois, son Flambeau, son Enfance. Ce n'est pas l'ouvrage d'un jour Que d'épuiser cette Science. Je ne prétends donc point tout expliquer ici. Mon but est seulement de dire, à ma manière, Comment l'Aveugle que voici (C'est un Dieu), comment, dis-je, il perdit la lumière ; Quelle suite eut ce mal, qui peut-être est un bien ; J'en fais juge un Amant, et ne décide rien. La Folie et l'Amour jouaient un jour

par la description du regard des autres sur un homme devenu fou. Il explique les conséquences de ces choix : « […] depuis, ce jour, oui, la vie ricane dans mon dos. ». Puis une mise en abîme permet au lecteur de situer la cause qui a provoqué cette folie et ces regards : « « Commandant, il en manque cinq… » C’est là, lorsque cette phrase a été prononcée, que tout a commencé. ». En effet, on apprend que cinq nègres se sont échappés de la cale du navire transportant des négriers de cet homme : un commandant

société) -Termes forts, excessifs et répétitifs (« haine » + « haïr ») -Hyperbole (v.2) « effroyable haine » démesure d’Alceste -Philinte tente d’amoindrir le mot avec « aversion » (v.4) + diérèse souligne anomalie -Généralisation : « tous les hommes » (v.6) -Chiasme avec « haines vigoureuses » (adjectif postposé) en écho à la rime « vertueuse » (v.10) -Deux raisons pour expliquer cette colère : « Les uns parce que… Les autres parce que » (vers symétriques) -Complaisance étant aussi mauvaise

découvrir l'horreur qui y sévissait. Le retour des rescapés dura plusieurs mois dans des wagons à bestiaux. Il leur était interdit de dire ce qu'ils avaient vécu et de toute façon ils ne le pouvaient pas car les autres auraient prit cela pour de la folie tellement l'horreur qu'ils ont vécut est inimaginable. Les gens ne voulaient pas savoir et les considéraient comme des gens anormaux. Beaucoup de personnes leur montraient des photos méconnaissables par rapport aux squelettes qu'ils côtoyaient à l'intérieur

. Cependant, s’il est juste de pardonner, ce n’est pas seulement parce que Dieu y invite les hommes, mais aussi parce que chacun désire être pardonné. Il est donc juste de pardonner aux autres lorsqu’on veut soi-même être pardonné. Pourtant, lorsqu’un individu pardonne à un autre, et que celui-ci ne lui rend pas la même mesure de pardon, il y a une injustice. Mais c’est l’injustice d’un état de choses, et non celle d’une action ou d’une attitude. Son attitude est juste, mais l’absence de réciprocité

la mort (1889), Notre cœur (1890). On retrouve des thèmes dominants dans l’œuvre de l'écrivain, tels que la guerre (de 1870), la Normandie, la folie, le pessimisme. Il appartient avant toute chose au courant réaliste. II. Folie Tandis que Henri, le frère de Guy de Maupassant, meurt à l'âge de trente-trois ans, en 1889, celui-ci sombre dans une folie certaine, il se réfugie dans la solitude, la paranoïa. La maladie qui le tient depuis ses jeunes années se développe. Après une tentative de suicide

Tourville-sur-Arques[2] et mort le 6 juillet 1893 à Paris. Son vrai nom complet est : Henry-René-Albert-Guy de Maupassant. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite à une décennie – de 1880 à 1890 – avant qu’il ne sombre peu à peu dans la folie et ne meure à quarante-deux ans. Il est Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola. Reconnu de son vivant, Guy de Maupassant conserve un renom de premier plan, renouvelé encore par les nombreuses adaptations filmées de ses œuvres. Il a marqué