La Folle Allure

humaine qui s'inscrit dans le cycle romanesque des Rougons Macquart. Zola suit un combat entre Lantier et le chauffeur Pecqueux au sein même de la locomotive. Ils se tuent mutuellement tandis que le train libéré de tout chauffeur poursuit sa lancée à folle allure. Zola décrit de façon réaliste une catastrophe ferroviaire annoncée qui se change en tableau épique, fantastique et symbolique. Nous verrrons comment Emile Zola dans l'exipit du roman La Bête humaine, présente sa description réaliste du drame

hôtesse vienne me le dire. Je me recroquevillais contre le hublot, et collais ma paume contre celui-ci. -Si je peux vous aider, autrement qu'en mouchoire, demandez-moi, proposa l'homme. Je grognais en guise de réponse. Il devait me prendre pour une folle. Vivement que j'attérisse. Enfin non, vivement que... Je ne voulais plus réfléchir. Je voulais m'enfermer dans un cocon de ouate qui m'isolerait de toute ma tristesse, du bruit du monde, de la pitié. Je ne voulais plus vivre. Je suis restée à pleurnicher

prince qui devient folle et se noie de désespoir. Le poème est composés de neuf quatrain d’alexandrins à rimes croisées avec une numérotation de trois chapitres inégaux, deux égaux de quatre quatrains chacun et le dernier d'un seul quatrain comme un refrain isolé. Cette forme donne au poème une allure de complainte. Dans Hamlet, l’héroïne de Shakespeare est amoureuse du prince, mais incapable de comprendre sa folle quête de la vérité

un vocabulaire complexe: "Tel le coléoptère attaqué par une colonne myrmidonne, tel le boeuf assailli par un banc hirudinaire, Gabriel se secouait..." Myrmidon est un terme familier pour désigner un nain mais il revêt dans la formule de Queneau une allure littéraire en étant associé au mot colonne, formule qui relève du même coup d'un style élevé. De même, le "banc hirudinaire" désigne un banc formé de sangsues: cela tient à la fois du burlesque et de l'héroï-comique car la formule fait savante mais

tombée enceinte, son fiancé l'a laissé tombé pour une autre. Refusant tout d'abord l'aide d'Amélie, elle lui confie finalement son enfant et commence à se prostituer. D'abord jeune et jolie, elle s'offre à des riches de la ville puis, vieillissant à allure folle, elle finit par se prostituer à la rampe de la grosse poutre, considéré comme une véritable morroir. C'est malade et totalement méconnaissable que Baldo l'a retrouve. Effrayé, Baldo qui a toujours espérer la revoir un jour, a eu une première réaction

d’établissement de son restaurant, un fort garçon à la barbe 
rousse *   Mme Grillon : mère du restaurateur, brave femme qui appelle Paul et 
madeleine « ses deux tourtereaux » *   Madeleine : maîtresse de Paul, petite brune avec des allures de sauterelles, 
bête, pas jolie, maigre et rageuse *   Pauline : très grosse, se balance comme un oie grasse, cuisses énormes, 
lesbienne Résumé. * Résumé : 
L’histoire se passe à Croissy, en face du Mt Valérien, en juillet, toute

on finit avec les photos de Jeffrey), mais la résultante de ces objets est la même (Il découle les traumatismes, donc totalement absurde). [Procédé d’écriture] Afin de donner son point de vue éditorial, la narratrice permet au roman de prendre une allure de confession (lorsque Jeffrey fait l’exposition de ses photos il annonce que c’est les Pères les fautifs, tous les personnages sont habités par la mort ou sont entourés par la mort), de biographie (Lars, Erik et Max écrivent leur biographie) et

souci de la vie humaine, minée par notre justice faillible, sujet à la démesure et à l’inexistence. Le châtiment suprême est une pratique institutionnalisée, choisie et motivée rationnellement par la communauté des hommes. La peine de mort a des allures de crime à la double culpabilité.  Camus décline sa pensée sous plusieurs formes dont : « mais personne n’est coupable absolument, on ne peut donc condamner personne absolument. Personne n’est coupable absolument aux yeux de la société, aux

le voir au Moyen-âge, le problème qui découle de cette norme est qu’elle peut souvent prendre une forme complètement subjective. Ainsi une masse aveugle pourrait définir une personne comme folle selon ses propres habitudes, ses propres traditions et une personne lucide pourrait alors être considérée comme folle. Il suffit de voir le cas du philosophe Socrate contraint à boire la cigüe parce que ses idées dépassaient celle d’une norme contraignante et finalement elle-même déraisonnée. De nos jours

Joseph Rivet, un pied tendu sur le brancard, l’autre jambe repliée sous lui, les coudes très élevés, tenait les rênes, et de sa gorge s’échappait à tout instant une sorte de gloussement qui, faisant dresser les oreilles 14 au bidet, accélérait son allure. Des deux côtés de la route la campagne verte se déroulait. Les colzas en fleur mettaient de place en place une grande nappe jaune ondulante d’où s’élevait une saine et puissante odeur, une odeur pénétrante et douce, portée très loin par le vent.