La Fonction Du Cerveau Chez Bergson

Est autonome celui qui s’impose volontairement des contraintes sous formes de règles d’actions en vertu de ce qu’il juge être des valeurs. = je reste dès lors que je ne me suis pas prononcer mes règles d’actions. Voilà pourquoi Hanna Arendt, Bergson et Milgram : considère que l’autonomie est acquise quand dans l’action on refuse les valeurs qui sont imposé pour adhérer aux valeurs auxquelles on doit rationnellement adhérer. Le moment où l’on adopte un mode de conduite et d’action sous l’autorité

plus essentielle, la plus vraie réalité qui définit l’homme. 2.     Les manifestations de la conscience La présence de la conscience en l’homme lui confère des qualités que les autres êtres ne peuvent manifester. a.     Sélection et choix Henri BERGSON (1859-1941) indique que «toute conscience signifie choix». Il montre par là même que la conscience est liée au présent, au réel, à l’action. Pour chaque tâche que je dois accomplir, j’évoque, parmi tous les souvenirs, ceux qui me sont utiles dans

représentation, même très simplifiée, du monde et des réactions par rapport à celui-ci. Il est alors question de « conscience du monde ». C’est celle qui est évoquée dans des expressions comme « perdre conscience », ou, à l'inverse, « prendre conscience ». Chez les humains, les recherches récentes sur plusieurs périodes de l'histoire montrent l'importance du concept de représentation : Voir par exemple Georges Duby (sur le bas Moyen Âge), Jean Delumeau (sur la Renaissance), et sur un plan plus épistémologique

désir, pulsion, passion, illusion, mémoire, perception, raison, imagination... (et d’autres encore) Attention au concept d’ inconscient : le pb cs/incs est très récent. a. Distinguer le concept des philosophes (comme Leibniz, Nietzsche, Alain, Bergson, etc.) du concept psychanalytique (Freud, Jung, et leurs successeurs…) b. Les concepts de la subjectivité comme : désir, sentiment, passion, pulsion, illusion, fantaisie, fantasme… reçoivent un traitement très différents selon les auteurs au PRG :

contributions de Bergson, de Husserl et d’Enriques. Plutôt que de voir comment toutes ces approches s’accordent ou s’opposent au sujet des recherches d’Einstein en théories de la relativité, il est sans doute plus enrichissant de prendre connaissance des thèses formulées par Bachelard et par Gonseth. Poincaré dégageait deux variantes temporelles, celle qui se manifeste dans le domaine conscientiel et celle qui se prête à la mesure : temps psychologique et temps physique. Chez Bachelard et chez Gonseth, ce

“Émile ou de l’éducation”, Rousseau nous invite à réfléchir à l’importance de notre conscience sur nos actes, ici guidée par la morale. La conscience qui vient de “cum-scientia”, accompagnée de savoir est qualifiée de trait distinctif que l’on retrouve chez tous les hommes. En effet, Jean-Jacques Rousseau utilise la formule paradoxale “instinct divin” qui permet de souligner la spécificité humaine. La conscience est constitutive de la nature humaine. Elle s’inscrit cette “nature” humaine dans une perspective

vivants ? Certains courants de l’éthologie attestent la présence du rire chez des animaux comme certains primates ou encore les rats. Cf : http://www.ratoupedia.org/wiki/Rire Cf: « Le rire n'est plus le propre de l'Homme : les singes rient eux aussi, quand on les chatouille », Maxisciences.com, Info rédaction, publiée le 11 juin 2009 On peut toutefois se demander s’il est possible de considérer la présence du rire chez des êtres qui ne sont pas doués de la conscience de soi. Les psychologues

■Lorsque Descartes caractérise le corps par l’étendue et l’âme par la pensée, il officialise philosophiquement l’opposition intuitivement perçue entre matière et esprit. Dans la mesure où il considère que l’âme n’est présente, parmi les vivants, que chez l’homme, il en conclut que les animaux ne sont que des "machines", assemblages complexes de roues et de ressorts, et comme tels intégralement connaissables par les voies de la géométrie et de la mécanique. Ainsi l’esprit humain se distingue-t-il clairement

Selon lui, nous pouvons ne pas accepter la responsabilité, nous nous faisons donc comme si nous avions déjà été identité. Sartre parle alors de mauvaise foi, selon laquelle nous aurions l’attitude qui fait que nous nous identifions trop à notre fonction. Ce qui va donc définir notre identité est la notion d’engagement : les choix que l’on fait. L’identité d’une personne est ainsi ce dans quoi elle s’investi. C’est notre place dans le monde et ce que nous avons fait dans la réalité. Par exemple,

SYNTHESES : Préparation à la dissertationI. Le comique moliéresque[footnoteRef:1] [1: Tableaux d’après la fiche 4, pages 214-218 de l’ouvrage Hatier.] Le comique naît toujours d'un décalage, d'une sorte d'incongruité. Selon Bergson, le comique est « quelque chose de mécanique dans quelque chose de vivant[footnoteRef:2] ». Celui qui se comporte de façon absurde ou mécanique suscite le rire car son attitude dérange l'ordre social, régi par des règles, la rationalité ou le réel. Au XVIIe siècle,