La Fontaine Merveilleuse

Envoyé par Agnès. LA FONTAINE – LES FABLES Etude : LES SOURCES Attention : les notes qui suivent portent essentiellement sur les Livres VII à XII des Fables et renvoient à l’édition Folio Classique. NB : Ne pas confondre les sources de chaque fable, càd le texte de départ et les sources de chaque fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du

Envoyé par Agnès. LA FONTAINE – LES FABLES Etude : LES SOURCES Attention : les notes qui suivent portent essentiellement sur les Livres VII à XII des Fables et renvoient à l’édition Folio Classique. NB : Ne pas confondre les sources de chaque fable, càd le texte de départ et les sources de chaque fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec

voulait plus d'elle, Françoise repart dans sa Bretagne rejoindre son mari. Jean de Châteaubriant fut accusé par la rumeur publique du meurtre horrible de son épouse. On ne connaîtra jamais la vérité sur ce crime. 1.4-Anne de Pisseleu En 1508, à Fontaine-Lavaganne, Anne de Pisseleu naît, fille d'Anne Sanguin de Meudon et de Guillaume de Pisseleu. Lors du retour de captivité du roi, la jolie Anne était présentée à François 1er par Louise de Savoie. Le bruit court que la régente (Louise de Savoie)

Bilan critique sur les contes de fées littéraires au XVIIIe siècle 4/25 rustiques, 1547), chez Scarron (Le Virgile Travesty, 1648, chant II, et Roman comique, 1651, Chap. VII), chez Molière (Le Malade Imaginaire, 1673, II, 8), et chez La Fontaine (Le Pouvoir des fables, Livre VII, 4). Associés à une pratique narrative peu lettrée et souvent orale (le « folklore »), les contes de fées sont souvent liés à la tradition populaire. Le problème de l’inspiration et de la transmission des contes

consignes par écrit sans l'aide de l'enseignant. Compétences : Lire les consignes et répondre par écrit. Page : 40 Matériel : livre de lecture Fiche N° : 1 Dans notre jardin, mon père cultive des roses blanches et rouges. Elles ont une odeur merveilleuse. Le jardinier vient une fois par semaine pour tailler la haie du jardin. A chaque fois, mon petit frère veut I'aider, mais le jardinier dit que c'est trop dangereux. Alors mon père lui propose d'arroser les fleurs avec lui. Compréhension 1)De

variantes, par exemple le "ready-made aidé", quand on donne à l'objet une position inhabituelle : Porte-chapeau de 1917 ou le "ready-made réciproque", quand Duchamp attribue à l'objet une autre fonction que celle à laquelle il était destiné, par exemple Fontaine, urinoir renversé à 90° et posé sur un socle, comme une sculpture, ou encore "le ready-made rectifié" quand il ajoute quelque chose à l'objet : une moustache et une barbiche à la reproduction de la Joconde par exemple : LHOOQ. La conception d’une

empreint  mais également au désir de s’en délivrer et y percevoir la métaphore d’un passage d’une poésie du passé à celle du présent. Dans ce calligramme le poète s’adresse à des destinataires multiples « vous » (l. ou v 2) explicité par « de merveilleuses rencontres » caractérisées par la métaphore « ô gouttelettes » et qui peuvent renvoyer à « voix » ou à « femmes » (l.  ou v.  1). Il, s’adresse aussi à un destinataire unique avec l’impératif « écoute » (l. ou v. 3-4) qui peut être lui-même ou

chaque période historique possède ses récits de voyages. De l’Antiquité au 20ème siècle, d’Hérodote à Butor, ce type de récit est la pérennité même. Déjà avant l’Antiquité, le poète grec Homère avait, dans L’Odyssée, mêlé la réalité à la contrée merveilleuse et fabuleuse ; cette épopée laisse entrevoir l’idée du voyage réel et initiatique où la recherche de soi est primordiale. A juste titre, Mireille Djaider et Nadjet Khadda écrivent6 : « Le voyage se réoriente donc en itinéraire intérieur qui n’est

il cherche à tourner brusquement le dos – en plein corps, à l’endroit où se rejoignent les fermoirs en or de son ceinturon et où s’offre au coup une double cuirasse.Texte écho : La Chanson de Roland , fin XIe La bataille est merveilleuse et générale, le comte Roland ne se ménage pas. Il frappe de sa lance tant que le bois lui dure, mais quinze coups l’ont brisée et mise hors d’usage. Il tire alors Durendal, sa bonne épée, toute nue, éperonne son cheval et va frapper Chernuble ;

leur donnait bien des soucis, car ils voulaient le voir marié et lui s’y refusait obstinément et passait son temps à chasser et à faire de longues randonnées dans la forêt. 1. Zalgoum l’y suivait quelquefois, mais c’était pour s’y baigner dans la fontaine d’eau claire, où son frère menait boire son cheval. Un jour que justement elle y était allée, elle y laissa tomber un de ses cheveux d’or. Le soir, quand son frère, revenant de la chasse, voulut abreuver son cheval, l’animal refusa obstiné-ment d’avancer