La Force du préjugé

réveille-toi ! Le tocsin 1 Cloche que l’on sonne de manière prolongée pour avertir d’un danger. de la raison se fait entendre dans tout l’univers ; reconnais tes droits. Le puissant empire de la nature n’est plus environné de préjugés, de fanatisme, de superstition et de mensonges. Le flambeau de la vérité a dissipé tous les nuages de la sottise et de l’usurpation 2 Fait de s’attribuer un bien de façon illégitime, sans y avoir droit. . L’homme esclave

ont des préjugés qui diffère d’une personne a l’autre sur les milieux, les personnes qui sont défavorisés. Pour ma part, ce n’est pas tant mes parents qui mon transmis ces préjugés la puisque qu’ils sont habitués parce qu’ils travaillent en milieu des relations d’aide, mais plutôt les pairs que je côtois. Les gens ont tellement des préjugés qui ne sont pas juste, souvent ces personnes ne voient pas plus loin que leur bout du nez. Donc, à force d’entendre toute sorte de choses, les préjugés prennent

Anthologie de textes philosophiques ou littéraires autour du doute et du préjugé Descartes J’avais dès longtemps remarqué que, pour les mœurs, il est besoin quelquefois de suivre des opinions qu’on sait fort incertaines, tout de même que si elles étaient indubitables, ainsi qu’il a été dit ci-dessus ; mais, pour ce qu’alors je désirais vaquer seulement à la recherche de la vérité, je pensai qu’il fallait que je fisse tout le contraire, et que je rejetasse, comme absolument faux, tout ce en

société dans laquelle évoluent les individus, ont une incidence sur leurs constructions identitaires. Ceci permet donc de comprendre plus facilement le monde et la place que l’individu y tient. C’est donc là qu’apparaissent les stéréotypes et les préjugés. Ceci est très limitatif dans la mesure où l’être humain serait un individu qui réagirait inconsciemment selon les représentations. Le stéréotype : Permet de réduire la complexité du concept de représentation. Il est très résistant au changement

quelque chose qui puisse être partager, la pensée de chacun. → Un sophiste va persuader ; c'est à dire qu'il va utiliser la force, la violence, va imposer à autrui son point de vue aux autres avec violence, force, sans preuves, sans démonstrations. Les opinions, les avis, les points de vue sont combattus par le Philosophe qui cherche la vérité, il combat aussi les préjugés, les habitudes, les coutumes, les usages. Le Philosophe est aussi dangereux car la philosophie questionne aussi le langage :

certains employeurs vont préférer engager à qualités égales un autochtone plutôt qu’un allochtone. En deux mots, ils préfèreront Michel à Rachid. Il y a derrière cet exemple des années de préjugés. Ce type d’exemple ne sera probablement jamais mentionné dans les médias mais c’est le quotidien. Les préjugés ne sont pas nécessairement dans la presse mais dans l’inconscient collectif. Par ailleurs, suite aux attentats du 11 septembre, il y a eu indiscutablement un rejet islamique. C’est un non

temps l’échec de ce désir. Pourtant l’erreur acquiert un statut positif, en particulier dans l’enseignement, lorsqu’elle est interprétée comme révélatrice de son principe, à savoir le préjugé. Si bien que la science pourrait se définir comme une entreprise méthodique de rectification d’erreurs et de lutte contre les préjugés. L’entreprise scientifique se détermine alors conte les savoirs socialement admis et reconnus comme tels.B.     L’illusion.L’illusion naît de la confusion entre la conscience du réel

(qui n'apparaît pas immédiatement) - Vaincre les préjugés (même fonction que l'ironie socratique) Préjugés : essentiellement ceux qui viennent de notre enfance et de notre éducation (sur lesquels se sont développées nos opinions ultérieures) par les effets conjugués du dogmatisme naïf de la connaissance sensible et de l'autorité des précepteurs, qui enseignent par exemple la physique scolastique avec ses qualités "occultes" ou non... = Préjugés qui barrent la route de la vérité. - Nous détacher

inutile n'apportant aucun intérêt dans la vie de chacun Or dans ce texte, extrait de "Problème de philosophie", Russel s'oppose à cette vision négative de la philosophie en mettant en évidence ses bienfaits Pour lui, ce qui fait paradoxalement la force de la philosophie est "son caractère incertain" c'est à dire le fait qu'elle ne parvient pas à apporter des réponses définitives aux problèmes qu'elle se pose. Cependant malgré son incertitude, elle reste une discipline utile car elle éveil l'esprit

que l’on à l’habitude de côtoyer mais une chose que l’on développe. L’auteur commence par nous parler de ce qui est opposer à la philosophie, il nous dit : « celui qui n’a aucune teinture de la philosophie traverse l’existence emprisonné dans les préjugé… ». Et ensuite, il soutient au contraire les biens faits de celle-ci, « …nous trouverons que même les choses les plus ordinaires de la vie quotidienne conduisent à des réponses très incomplète. ». Il repose sa thèse sur un argument majeur que la philosophie