La Force du préjugé

Toute fois, ces choses ne sont en soi que des rejets, je dirais même, des peurs face à nos différences. Alors qu’est-ce qui fait que nos différences nous éloignent ? Comment se fait-il que, dans un monde sujet à une mondialisation continue, les préjugés fusent et la différence entre les cultures reste un obstacle à nos échanges ? La culture réellement qu’est-ce que c’est ? Selon l’UNESCO, «dans son sens le plus large, la culture peut-être aujourd‘hui considérée comme l’ensemble des traits distinctifs

A la lumière de cette citation de Blaise Pascal, l’idéal philosophique serait de penser par soi-même, sans soumettre sa réflexion à des préjugés traditionnels généralement mal fondés, auxquels l’homme ne peut échapper dès lors qu’il incorpore à son raisonnement les stéréotypes qui ont été transmis et inculqués à travers le processus de socialisation. Le préjugé, que l’on peut définir comme une idée figée, un postulat immunisé contre toute réflexion, toute contestation, relève de la doxa, à savoir

scientifique, on distingue deux types de pensées qui s’opposent au sein de « l’histoire humaine ». Cette opposition s’opère sur deux plans distincts : le premier est celui des pensées irréfléchies nées de réactions immédiates, spontanées « passions, […] préjugés, […] impulsions immédiates ». Le deuxième est celui des pensées qui elles sont réfléchies puisqu’elles ont été repensées et améliorées : « rectifiées, élargies, complétées. », dont chacun de ses trois termes étant choisit afin d’éviter la répétition :

nos faiblesses. Cette pierre cubique représente pour nous francs-maçons les notions de stabilité, de solidité, de force et d’achèvement. Elle n’a pu être façonnée par l’apprenti que grâce au maillet et au ciseau qui ont été mis à sa disposition. Une fois compagnon, avec ces mêmes outils il s’efforcera de faire disparaître, comme autant d’aspérités fâcheuses, ses défauts, ses préjugés et ses erreurs. Mais il lui faut encore travailler sans relâche à la réalisation du but que poursuit la franc-maçonnerie

réflexion C’est la connaissance qui est à l’origine de la force de douter. Il permet de ne pas prendre des décisions insensées, de ne pas faire un acte sans raison. Elle permet de pas croire aveuglément une affirmation et de se forger sa propre opinion.« Nous souhaitons la vérité, et ne trouvons en nous qu'incertitude ». a dit Blaise pascal. Le doute est donc partie intégrante de la pensée de l’homme. Il doit être utilisé comme une force : Le doute est indispensable pour qu'une pensée reste une

sens commun. La vérité est envisagée comme possédant par elle-même une certaine force de conviction pouvant soit contraindre soit libérer. La contrainte porte d'abord et essentiellement sur l'esprit de celui qui fait l'expérience de la vérité. La vérité contraint en ce qu'elle s'impose à tout esprit qui en fait l'expérience. Elle est libératrice en ce sens au moins qu'elle libère l'esprit des erreurs, des préjugés et des opinions. II - ANALYSE DU PROBLEME Le problème qui se pose alors

homme soumis à un autre, lequel pense à sa place et dirige ses actions. b) Qu’est ce qu’un tuteur ? Tuteur : bâton qui permet à la plante de pousser droit, par extension, c’est l’éducateur qui est responsable du mineur. Pour Kant, les tuteurs, à force de prendre des décisions à la place des mineurs, les installent dans un confort pervers dont-ils finissent par craindre de sortir ; ils les dispensent de penser par eux mêmes. 05/09/2013 c) Pour quelles raisons la plupart des hommes restent-ils

propo° : principe d'inclusion, de nn contradict°, principe de causalité ou de csq. 2/ La démonstrat° ( txt 2,3) sens faible= démonstrat° de force, recherche un impact psychologique : impressionné sens fort = convaincre plutôt que persuader et s'adresse à la raison plutôt qu'aux sentimt authorité= légitimité d'une vrai démonstrat° , ne repose pas sur la force ou séduct° mais sur l'expréssion d'une nécessité rationelle . Démontrer = latin demonstrare : «  montrer à partir de » ; consiste à conduire

race, il signifie aussi qu’il y a inégalité des races et supériorité entre elles. Par contre, selon Y, le racisme est plutôt une façon de juger les gens en fonction de leur origine ou de leur religion. Pour lui, le racisme est également synonyme de préjugés. Au final, il est quelque peu difficile de donner une définition précise du racisme, car il prend différente forme. Cependant, aujourd’hui le racisme biologique a fait place à un racisme culturel et religieux, de ce fait, il s’agit maintenant de

différence, l’altérité en elle-même (ce qui fait qu’un autre est un autre) qui est refusée. Or, le refus de la différence en elle-même est ce qui définit l’intolérance. La critique d’une idée, même lorsqu’elle se veut scientifique, nait souvent de préjugés à l’encontre d’autrui. L’ethnocentrisme par exemple, conviction de la supériorité culturelle du groupe auquel on appartient, conduit à considérer les pensées étrangères comme systématiquement « infantiles » et « naïves ». Ainsi J. Frazer, anthropologue