La Force du préjugé

l'idée du baptême va devenir obsessionnelle. Les deux femmes n'imaginent pas qu'on ne puisse pas convertir le huron au catholicisme. → on a ici la remise en cause de l'anthropocentrisme française, de la conversion religieuse qui était le plus souvent forcée (qui accompagne la colonisation) 'intolérance du petit groupe. Véritable frénésie du baptême qui s'empare de ces hôtes. Dans le texte « Nous le baptiserons » répété 3 fois. Ils ne changeront pas d'avis. Cette folie est confirmée par les cris

L’allégorie de la caverne peut être lue à différents niveaux et a un contenu riche et varié. On peut néanmoins dire qu’elle constitue une métaphore du travail que doit accomplir tout apprenti philosophe : celui-ci consiste en un effort pour se départir des préjugés qui encombrent notre esprit, qui nous enchaînent alors même qu’on peut avoir le sentiment d’être libre. Le travail du philosophe est un travail d’émancipation. C’est un travail difficile et même douloureux, qui suppose plusieurs vertus : - l’humilité

dont l’étonnement est le symptôme. L’étonnement est donc considéré comme la base, le départ du travail philosophique. Or qu’est ce que philosopher si ce n’est exercer son jugement ? L’étonnement peut donc être perçu comme un jugement forcé ou encore comme une force de jugement. De même que la contre-performance pousse l’athlète à se dépasser, l’étonnement joue le rôle de stimulus dans l’exercice philosophique. D’ailleurs quelques cascades étymologiques permettent de mieux appréhender la question

Voltaire nous propose de découvrir l'identité des sauvages. Pour cela, nous verrons comment Voltaire fait pour remettre en question certains préjugés. Afin de répondre à cette problématique, nous étudierons : La critique des européens faite par l 'auteur, puis nous nous intéresserons à l'éloge du peuple américain et enfin nous finirons par montrer la force de son écrit qui passe par la structure rigoureuse . Voltaire nous fait la critique des européens en donnant une nouvelle identité aux sauvages

l'amour) -timidité , discrétion des deux personnes + la libération , la joie -champ lexical de la beauté , féminité -générosité au delà des préjugés sociaux , Mme Rénal se sent + proche des paysans , touchée par Julien -Julien s'imaginait que Mme Rénal serait hautaine , tyrannique , méprisante or non , elle est simple. Les barrières sociales tombent , des préjugés étaient des deux côtés. -Julien a une haine pour les bourgeois. -le cadre du jardin : calme et isolé -cadre de la rencontre : la grille

de ces tribus, la place des chefs au sein de ces sociétés, les rites, la guerre et les mythes. Tout son travail est basé sur la volonté d'apporter une vision nouvelle sur les sociétés dites « primitives », souvent méconnues et victimes de nombreux préjugés. Spécialisé en anthropologie politique, il va s'appuyer sur ses recherches au sein des sociétés primitives pour comprendre le passage d'une société « acéphale », c'est-à-dire sans État, à une société étatique. Cette réflexion va notamment être au

4 PHILO ET DOUTEDOCUMENT CONFECTIONNE PAR MONSIEUR NDOUR TEL. 77-621-80-97 / 78-108-42-12 Page 1 DOCUMENT CONFECTIONNE PAR MONSIEUR NDOUR TEL. 77-621-80-97 / 78-108-42-12 SUJET N° 4 : Qu'apporte de douter ? INTRODUCTION Le doute est l’état naturel de l’esprit qui s’interroge soit par l’incertitude concernant l’existence ou la réalisation d’un fait, soit par l’hésitation sur la conduite à tenir, soit par la suspension du jugement entre deux propositions contradictoires. Il

des cultures ? Les différentes cultures résolvent à leur manière tous les problèmes de la vie, aucune ne peut à priori être considérée comme supérieure ; l’histoire universelle n’est qu’une illusion ethnocentrique et l’expression d’un rapport de force. On peut toutefois reprocher à cette vision des choses le relativisme auquel elle conduit. Si toutes les cultures se valent peut-on encore affirmer des valeurs ? Faudrait-il admettre que des sous-groupes sociaux ont le pouvoir de créer une culture

trouvent de toute part les entraves de l'opinion, les fers des préjugés, et toute ma force s'épuise à secouer vainement mes chaînes. O liberté, idole des âmes fortes, aliment des vertus, tu n'es pour moi qu'un nom !" Mémoires de Madame Roland - Jeanne-Marie ou Manon Philippon (1754-1793). Dès le XVIIème siècle, François Poulain de la Barre écrit dans l'égalité des deux sexes : "Nous sommes remplis de préjugés. […] De tous les préjugés, on n'en a point remarqué de plus propre que celui qu'on a

appartenir à une tribu... Les jeunes se laissent prendre dans cet univers de la mode la plupart du temps à cause des préjugés de leur entourage, les jeunes  préfèrent porter des vêtements comme « les autres » qui finalement ne leur correspondent pas toujours. Un mode vestimentaire un peu passe partout… Mais au bout du compte, c’est une façon de se faire accepter par leur entourage.

À force d’être trop porté par l’extérieur et de vouloir être comme tout le monde, en fin de compte on devient ce que l’on