La Fureur de vaincre

malgré moi, se remplissent de pleurs. OENONE Ah ! s’il vous faut rougir, rougissez d’un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous sans pitié laisser finir vos jours ? Qulle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n’est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre

malgré moi, se remplissent de pleurs. ŒNONE Ah ! s’il vous faut rougir, rougissez d’un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous, sans pitié, laisser finir vos jours ? Quelle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n’est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre

Laïus. Plus loin sur son chemin, on lui raconte l’histoire du Sphinx et de sa devinette. Le Sphinx tue ceux qui essayent de répondre mais ne réussissent pas. Laïus étant mort, Jocaste, veuve, offre sa main ainsi que la couronne à celui qui réussit à vaincre le Sphinx. Œdipe répond correctement à cette devinette et entre ainsi vainqueur à Thèbes. Il épouse donc Jocaste et devient roi de la cité. Les années passent et ils ont quatre enfants. Mais quand la peste éclate, Œdipe se trouve forcé de chercher

moi, se remplissent de pleurs. ŒNONE Ah ! s'il vous faut rougir, rougissez d'un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins sourde à tous nos discours, Voulez-vous, sans pitié, laisser finir vos jours ? Quelle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre

malgré moi, se remplissent de pleurs. OenoneAh ! s'il vous faut rougir, rougissez d'un silenceQui de vos maux encore aigrit la violence.Rebelle à tous nos soins ; sourde à tous nos discours,Voulez−vous sans pitié laisser finir vos jours ?Quelle fureur les borne au milieu de leur course ?Quel charme ou quel poison en a tari la source ?Les ombres par trois fois ont obscurci les cieuxDepuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ;Et le jour a trois fois chassé la nuit obscureDepuis que votre corps

malgré moi, se remplissent de pleurs. ŒNONE Ah ! s’il vous faut rougir, rougissez d’un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous, sans pitié, laisser finir vos jours ? Quelle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n’est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre

Rougon-Macquart, Zola voulait illustrer la théorie des lois de l'hérédité. Il voulait mettre chez Etienne cette névrose familiale qui peut dégénérer en folie homicide. Le besoin de tuer surgit périodiquement chez lui, mais, chaque fois, il parvient à le vaincre. Ainsi, lors d'une rixe violente avec Chaval à "l'Avantage", Etienne ressent "une brusque folie du meurtre, un besoin de goûter au sang ..." (p. 465). Mais il lutte contre ce mal héréditaire. D'ailleurs, lorsqu'il tue son rival, c'est dans un contexte

triomphant du Minotaure (v. 80 � 82). Si Hippolyte veut partir comme il l'a annonc� � l'entr�e de la pi�ce, c'est pour retrouver son p�re et se mettre en situation de faire ses preuves, de se trouver lui-m�me et d'acc�der � son tour au statut de h�ros�: vaincre des monstres lui aussi, et incidemment acqu�rir ��le droit de faillir comme lui�� 39-. -�������� D'autre part, et peut �tre surtout, Th�s�e est un ��homme � femmes��, un�s�ducteur, qui confirme et enferme Hippolyte dans ce que l'on est en droit d'appeler

Rougon-Macquart, Zola voulait illustrer la théorie des lois de l'hérédité. Il voulait mettre chez Etienne cette névrose familiale qui peut dégénérer en folie homicide. Le besoin de tuer surgit périodiquement chez lui, mais, chaque fois, il parvient à le vaincre. Ainsi, lors d'une rixe violente avec Chaval à "l'Avantage", Etienne ressent "une brusque folie du meurtre, un besoin de goûter au sang ..." (p. 465). Mais il lutte contre ce mal héréditaire. D'ailleurs, lorsqu'il tue son rival, c'est dans un contexte

Serpent a déjà vécu la séparation d’avec Dieu lors qu’il n’avait pas tenu sa place à côté de l’Eternel, à cause de son orgueil. Par là, le Satan a été précipité sur la terre par son Créateur Tout Puissant. Ce Satan qui sait très bien qu’il ne peut pas vaincre l’Eternel Dieu, a peur de son Créateur. Adam et Eve qui ont été trompés par le mensonge du Satan partagent le même sort du Serpent, c'est-à-dire la mort et le même sentiment du Satan devant l’Eternel Dieu, c'est-à-dire la peur. Ainsi ils comprennent