La Fureur De Vivre

musicien originaire de Thrace, qui pouvait charmer grâce à son chant toutes créatures(animaux, hommes, plantes, et mêmes pierres). Il était si charmant qu’on le disait le fils d’Apollon. A la mort de sa femme, Eurydice, sans laquelle il ne pouvait vivre, il est descendit au enfers pour la réclamer à Hadès(Dieu des enfers). En chantant et jouant la cithare, il réussit à charmer Hadès qui lui laisse prendre Eurydice à condition qu’il ne se tourne pas pour la regarder tant qu’il ne sortent pas de l’Enfer

d’abord cette terrible révélation incestueuse qui vient briser l’innocence de sa relation fraternelle et qui le terrasse. Et plus tard, il est l’objet d’ attaques passionnelles : « mes passions [...] se précipitèrent sur cette première proie avec fureur » . L’emploi du mot « proie » renforce cette idée de victime. Enfin, René se dit totalement soumis à la volonté de Dieu qui lui a « envoyé Amélie pour [le] sauver et [le] punir ». C’est dans la fin du texte que le héros semble en dernier recours

doigts tremblants 
 Dans l'épaisseur de ta crinière lourde; 
 Dans tes jupons remplis de ton parfum 
 Ensevelir ma tête endolorie, 
Et respirer, comme une fleur flétrie, 
 Le doux relent de mon amour défunt. 
 Je veux dormir! dormir plutôt que vivre! 
 Dans un sommeil aussi doux que la mort, 
J'étalerai mes baisers sans remors 
 Sur ton beau corps poli comme le cuivre. 
 Pour engloutir mes sanglots apaisés 
 Rien ne me vaut l'abîme de ta couche; 
 L'oubli puissant habite sur ta bouche,

situation mais qu’il ne veut surtout pas le montrer à son père et veut donc lui prouver qu’il se débrouille tout seul, il ne veut pas que son père comprenne qu’il est triste de son départ. Enfin à la fin de la pièce Nicolas va devoir faire face à la fureur de son père. Encore une fois ces didascalies vont être utiliser « Pierre craque...en lui parlant » (L.116,117), « le ton monte...désespérée. » (L.122,123). De la (L.95 à la L.109) on assiste à un dialogue avec des répliques courtes et des questions

de la pièce. Après avoir avoué son amour pour Hippolyte on observe petit à petit un personnage qui passe de la fureur à la victime de la malédiction des dieux et enfin d’une Phèdre amoureuse qui regrette ses propos et qui n’ose plus se regarder et qui va donc susciter sa propre mort. Cette tragédie raconte la déchéance d’un être souffrant d’un mal qui le tue et ans lequel il ne peut vivre ? Ici Phèdre est victime du divorce de la raison et de la volonté. Racine a donc écrit le drame tragique d’une

| | |Cette agressivité que manifeste Picasso dans Guernica, est évidente, c’est une œuvre qui exprime toute la | | |fureur de l’événement. Il cherchent à laisser une empreinte, a ce que les gens se souviennent à jamais de ce| | |qui s’est passé, en marquant les esprits, ou en exprimant leur propre opinion, comme Maupassant ( Sur l’eau

Pyrrhus aussi emploie des antithèses et des parallélismes de construction pour lui montrer que son amour pourrait se transformer en haine, comme nous le montrent les vers 367-368 « il faut désormais que mon cœur / S’il n’aime avec transport, haïsse avec fureur » : le langage est violent, le champ lexical de l’excès, du débordement est très présent, comme dans les termes « haïr » (v. 366), « colère » (v. 369) et  « n'épargnerai rien » (v.3 69). L’utilisation très fréquente de l’antithèse dans le texte illustre

qu’une destinée harmonie entre le moi et les autres La morale laissée seule virevolte sur son destin La plénitude de notre essence se peint fidèle à sa propre image sans synonymes sans cage soudainement réveillée émerveillée fustigée par la fureur du verbe Le plaisir coule et découle de la chair Il est là, il faut juste le vendanger Image raisonnée ou raisonnement imagé Soliloques Sybille Rembard, Beauté fractionnée, 2002 Poème classé dans Bonheur, Solitude, Sybille Rembard. 4 commentaires

טוב‬ThÔB bras : ‫ זרוע‬ou ‫ = זרע‬ZeRÔHa ou ZeRHa chair ou corps : ‫ = נשר‬BaSaR chaste : ‫ = טהור‬ThaHOR ; être pur : ‫ = טהר‬ThaHeR châtiment : ‫ = מוסר‬MOUSaR ; châtier : ‫ = יסר‬IaSaR circoncision : ‫ = מול‬MOUL colère : ‫ = אף‬HaPh ; rage, fureur : ‫' = חמה‬HéMaH courroux : ‫ = עבר‬HèBeRaH indignation : ‫ = קצף‬KèTsèPh ciel, cieux : ‫ = שמים‬SchaMaÏM (mot pluriel) soleil : ‫ = שמש‬SchèMèSch lune : ‫ = ירח‬IaRéHa étoile : ‫ = כוכב‬KOKaB ; astre : ‫ = מאור‬MAOR firmament : ‫ = רקיע‬RaQIHa

Cependant cette peur, cette crainte de la damnation éternelle oblige les croyants à agir avec charité et amour, de fait même si les méthode ne sont pas les mêmes, les idées se rejoignes du moins on retrouve la même finalité, à savoir la paix et le bon vivre. De même, les religions en générales n’ont rien a voir avec la raison, et la raison a par ailleurs rien avoir avec la foi, donc étant deux domaines parfaitement parallèles, l’un ne peut évidemment nuire à l’autre. La philosophie est l’amour de la