La Gloire et la Peur

la tragédie en le décidant à accomplir un acte irréversible. Le registre dramatique crée la peur et l'inquiétude en mettant en scène la menace comme dans la scène 2 de l’acte II où l’on assiste aux efforts opposés du comte et de Rodrigue, l’un s’efforçant d’esquiver une conversation (« Retire-toi d’ici », « Es-tu si las de vivre ? ») à laquelle l’autre tient (« Marchons sans discourir », « As-tu peur de mourir ? ») et dans un but précis. C’est une lutte entre des intérêts divergents. Le registre

et l’afflige, sans raison il est gai sans raison il s’afflige. » Victor Hugo, les misérables : « il a l’air vivace et maladif » - William Shakespeare, Hamlet: « to be or not to be. » À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. (Corneille) - Oh! Si gai, que j’ai peur d’éclater en sanglots. (Nelligan) - C’est toujours le combat du jour et de la nuit. (Hugo) - Je n’ai jamais vu un enfant sans penser qu’il deviendrait vieillard, ni un berceau sans songer à une tombe. (Flaubert)   On trouve

des héros de la République romaine au moment du siège de Rome par le roi Porsenna en ~ 507, Mucius Scaevola, jeune patricien, décide de mettre un terme à l'humiliation des Romains ; ils ne parviennent pas à chasser les assiégeants étrusques et ont peur de voir Tarquin être rétabli sur le trône de Rome d'où il a été chassé par le peuple deux ans auparavant. Mucius Scaevola cache un poignard sous sa tunique et gagne en secret le camp ennemi, deguisé en etrusque, il arrive devant le tribunal de justice

font leur gym puis après ils récitent des discours et chantent des chansons racontent les louanges du dictateur. De plus comme si ce n’étais pas assez, tous les matins la population se réveille aux cris des sirènes qui diffusent des messages à la gloire du dictateur et de son régime, qui encouragent les gens à suivre son exemple, le bon exemple. Mais encore, la pression se fait même au niveau des arts de la télé où encore de la radio. Le contrôle moral est total. Comme

encensoir, toujours, dans quelque barbe » V.17. • Enfin il y a la peur de ne pas être reconnu, et qui oblige les poètes à toujours travailler. Cela est justifié grâce au champ lexical de la peur : « terrorisé » V.29, « avoir peur » V.32, « être blême » V.32. De plus, Cyrano désapprouve totalement d’être l’esclave d’une société qui va lui imposer, par la censure, par exemple, un style d’écriture qui l’entraînera au final vers la peur et donc vers une fin de sa liberté. Le passage ou Cyrano fait la

de rhumatisme déformant, et portait de travers sa perruque d'un noir laqué. En face d'elle, et la dominant d'une tête et demi, la baronne de La Berche carrait d'inflexibles épaules de curé paysan, un grand visage que la vieillesse virilisait à faire peur. Elle n'était que poils dans les oreilles, buissons dans le nez et sur la lèvre, phalanges velues... »page 68 Cet extrait de description faite par Léa au cours d'une après midi chez Mme Peloux avec ces dames montre bien que le temps n'épargne personne

pour se souvenir » Vous n'avez réclamé la gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Vous vous étiez servi simplement de vos armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir

nous nous offrirons l'un à l'autre. Pour l'éternité d'un temps qui nous reste, telles les trompettes qui firent tomber les murs de Jéricho, nous triompherons des épreuves imposées par les dieux. Nous jouerons sur la scène de l'humilité pour chanter gloire à la vie. » – L'aube, période incandescente aux couleurs de l’espoir; aux odeurs de demain, s'introduit peu à peu dans les ténèbres brunes. Réchauffant l’ardoise des toits, elle caresse les bourgeons endormis par la fraîcheur des cieux étoilés

biens indivis, sans autre titre que celui tout pur que nature donne à ses créatures, les produisant au monde. Si leurs voisins passent les montagnes pour les venir assaillir, et qu'ils emportent la victoire sur eux, l'acquêt du victorieux, c'est la gloire, et l'avantage d'être demeuré maître en valeur et en vertu ; car autrement ils n'ont que faire des biens des vaincus, et s'en retournent à leur pays, où ils n'ont faute d'aucune chose nécessaire, ni faute encore de cette grande partie, de savoir heureusement

et épouse un ouvrier:Coupeau avec qui elle aura une fille:Anna dite Nana.Coupeau est un personnage honnête et travailleur au début du roman jusqu'à sa chute d'un toit.Il reste quelque temps sobre en souvenir de son pére alcoolique,mais trés vite la peur de retravailler sur les toits l'envahit et le font sombrer dans l'alcoolisme.Dès son enfance Gervaise vit dans un monde d'alcoolisme,de paresse et d'hypocrisie;sa propre mére buvait et son premier mari tombe rapidement aussi dans l'alcool.Gervaise