La Gouvernance Européenne

plate-forme qui constitue le siège d’un certain nombre de services indispensables pour la réalisation de l’opération de transport maritime, voire d’une opération du commerce international. Les "services portuaires" sont définis par la commission Européenne comme des services à caractère commercial qui sont fournis à titre onéreux aux utilisateurs des ports. Ces services constituent inéluctablement la part essentielle du coût de passage portuaire. Leur prix et qualité sont devenus l'un des éléments

RSE (pratique en matière de la RSE) Section 5 : Les initiatives internationales et régionales de la RSE Section 6 : Les dispositifs, outils d’évaluation et agence de notation de la RSE Conclusion Bibliographie : Olivier Meier et Guillaume Schier, Gouvernance, éthique et RSE, 2009 F. Le Roy et M. Marchesnay, La responsabilité sociale de l’entreprise ed EMS 2005 Michel Capron et Françoise Quairel-Lanoizelée, La responsabilité sociale de l’entreprise éd la découverte, Paris 2007 François Lépineux, Jean

. 32 8.2 Articles .................................................................................................................................................................................. 33 9 Aménagement du territoire dans l’espace européen ................................................................................................ 34 9.1 Ouvrages....................................................................................................................................

en question des modes opératoires de l'intervention publique dans un environnement en mutation rapide peut être une grande opportunité pour les agences de développement, car elles sont un lieu privilégié où peut s'exercer une nouvelle forme de gouvernance d'une part et parce qu'elles sont à l'intersection des secteurs public et privé d'autre part. 1 Cf. Christian Poncelet, "Les enjeux du siècle à venir", Le Figaro, 26.6.00 -3- EURADA\DOSSIERS\New Economy-F I. LE CONSTAT ET LES INTERROGATIONS

Nature et origine de la crise D'abord, la crise européenne est le résultat d'un effet de contagion de la crise américaine. Aux Etats-Unis, en 2007, la crise des subprimes entraîne la chute de la banque d'investissement Lemhan Brothers en 2008. Malgré l'injection de liquidités sur le marché par les banques centrales (BCE, FED), les produits financiers toxiques sont bien présents. Mme Berès a déploré que l'on ne se soit pas interrogé sur les causes de la crise. Nous sommes passés d'une crise de

solutions sont viables à l’heure actuelle. L’Europe a des failles dans sa constitution ; la monnaie unique tire ses fondement d’un compromis franco-allemand ce qui rend le tout particulièrement fragile. De plus « toute la construction monétaire européenne repose sur une étroite conception et erroné de la monnaie »2 On voit très bien qu’il a une incomplétude de l’euro et divergence des économies Elle est incomplète, car elle n’a pas de souveraineté politique ; Il faut une politique concerté entres

appartient à ses sociétaires. Ces sociétaires sont propriétaires et clients de cette même banque. Les banques coopératives se différencient des autres banques de par leur gouvernance, leurs valeurs, leurs buts et leur organisation. Concernant la gouvernance, nous pouvons dire que le modèle coopératif bancaire a une gouvernance qui est centrée sur les services et qu’elle est faite de clients sociétaires élus par d’autres clients sociétaires. Un actionnaire se différencie d’un sociétaire. Le premier

d’associations économiques (nouvelles interdépendance des territoires) L’UE (union européenne), l’ASEAN (association des nations de l’Asie du Sudest), le MERCOSUR (marché commun du sud) et l’ALENA (accord de libreéchange nord-américain) La majorité des échanges s’effectue dans ces espaces Projet récent qui compte se former en 2007, c’est l’UPM (l’Union pour la méditerranée) en partenariat avec l’Union européenne et le Maghreb c) L’échelle régionale Processus ancien (révolution industrielle)

suffise d'évoquer, pêle-mêle, la globalisation des marchés financiers, l'interdépendance accrue des économies et des cultures (mondialisation), les progrès des technologies numériques génératrices d'une société de l'information, la construction européenne, l'affaiblissement de la capacité d'action des États (sous leur double forme d'État-nation et d'État providence), l'apparition de puissants pouvoirs privés (entreprises transnationales et organisations non gouvernementales), la montée en puissance

intergouvernementales qui essaient de l’implémenter dans l’économie et dans la gestion des entreprises. Parmi ces instances, on trouve des organisations internationales (la Banque Mondiale, les Nations Unis, l’OCDE, …), des organismes régionaux comme l’Union Européennes et enfin des ONG. L’implémentation se fait par une série de mesures avec divers degrés d’obligation tels que des recommandations, des labels, des normes volontaires et, dernièrement, des normes obligatoires. Les normes : l’institut le plus