La Grande Puanteur

la ligne (…) avec les mangeurs de femmes, au fond des bois. » - Chapitre IV : Jacques et la Lison : « Et, c’était vrai, il l’aimait d’amour, (…) le besoin d’être graissée trop souvent. » - Chapitre VII : l’aveu du meurtre de Grand-Morin par Séverine à Jacques : « Chez Séverine, après la montée ardente de ce long récit (…) Puis, tout s’était abîmé au gouffre noir de la maison endormie. » - Fin du roman depuis : « Et la machine, libre de toute direction (…) », jusqu’à

Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais

Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais

tonneaux ce qui le pousse à se poser les questions « pourquoi ces deux tonneaux ? Quelle particularité ont-ils ? Aussi l’auteur émet de nombreuses figures d’insistances sur le contenu : « une odeur tenace », «  insistance douceâtre », «  épouvantable puanteur », « vague immonde » toutes ces gradations ne font qu’augmenter le sentiment d’inconnu, le lecteur est poussé à se poser encore et toujours plus de questions. Enfin dans le dialogue lorsque l’un des hommes évoque une odeur de viande : « pour sur

plein d'angoisse, il fesait le tour de sa chambre pouvant voir une commode en marbre quelque peut vieillit par le temps, un canapé en velour assortit au fauteil maintenant posé près de la fenêtre ainsi qu'une tapisserie moderne. Il voyait également la grande armoire par la porte ouverte de la chambre il decida alors de ranger sa valise. Elle n'était pas si lourde, il la posa sur le lit, commenca à l'ouvrir. Il prit en premier ses chemises impéccablement repassés mais de couleurs sombres, une veste aussi

pour au moins un quart d’heure; avec le grand respect dû à la parole divine et par manière de lecture spirituelle, on accorde : UNE INDULGENCE DE TROIS ANS 2. Etc, etc (les reste est trop incroyable…) Donc, si ne pas croire aux écrits faits par Dieu lui-même « Qui est l’auteur de la Bible? Dieu est l’auteur principal de la Bible » nous risquons d’errer entre quelque part et un moment donné dans les affres du désert et du bourbier de l’éternelle puanteur. Bon, ici c’est imagé, mais en ce qui concerne

un bâton pour les séparer. Que si l’on vous disait que tous les chats d’un grand pays se sont assemblés par milliers dans une plaine, et qu’après avoir miaulé tout leur soûl, ils se sont jetés avec fureur les uns sur les autres, et ont joué ensemble de la dent et de la griffe ; que de cette mêlée il est demeuré de part et d’autre neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l’air à dix lieues de là par leur puanteur, ne diriez-vous pas : « Voilà le plus abominable sabbat dont on ait jamais

désordonnée, sale et puante : "cheminée condamnée", "divers morceaux de pains, des triangles de fromage de Brie", "L'odeur de ces comestibles s'amalgamait si bien avec la puanteur du poêle chauffé sans mesure", "cartons jaunis par l'usage", "mobilier crasseux". Nous remarquons bien que Balzac ne cherche pas à idéaliser l'image de cette grande pièce non entretenue, mais bien au contraire, à la décrire comme les études de l'époque, où les clercs travaillaient sans se préoccuper d'un quelconque rangement

homme c'est mal car ils sont de la même espèce. Il rapproche les humains aux animaux, dans l'acte de guerre « tous les chats d'un grand pays se sont assemblés par milliers dans une pleine»(l.15) cela fait référence aux hommes en guerre, le résultat de ce rassemblement est « neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur »(l.18-19), on leur prête aussi des actions de violence « ils se sont jetés avec fureur les uns sur les autres »(l.17). Deplus les

scruter les nouveaux arrivants. Madame Smith rit. Un grand nombre des clients étaient des hommes bien habillés venant acheter des dizaines de roses. Ils s’étaient surement disputés avec leurs femmes et tenait à se faire pardonner. Elle se dirige vers la caisse, et se règle vite de la clientèle pressée. En retournant vers l’entrée de son magasin, une odeur écœurante lui parvient aux narines. Madame Smith repère instantanément d’où vient la puanteur. Un petit homme aux yeux plissés, vêtu d’un pyjama