La Grande Puanteur

 Sagesse I - IX     Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie !     De n'avoir pas suivi les leçons de Rollin,     N'être pas né dans le grand siècle à son déclin,     Quand le soleil couchant, si beau, dorait la vie,     Quand Maintenon jetait sur la France ravie     L'ombre douce et la paix de ses coiffes de lin,     Et royale abritait la veuve et l'orphelin,     Quand l'étude de la prière était suivie,     Quand poète et docteur, simplement, bonnement,     Communiaient

exhortations que l'on ferait en l'honneur de Dieu une procession autour des remparts de Jérusalem et qu'elle serait accompagnée de prières, d'aumônes et de jeûnes. Le vendredi, de grand matin, nous donnâmes un assaut général à la ville sans pouvoir lui nuire; et nous étions dans la stupéfaction et dans une grande crainte. Puis, à l'approche de l'heure à laquelle Notre- Seigneur Jésus-Christ consentit à souffrir pour nous le supplice de la croix, nos chevaliers postés sur le château se battaient

Les grandes épidémies et la civilisation des mœurs Il s’agit d’un article écrit par Johan Goudsblom, sociologue néerlandais, dans lequel l’auteur reprend un travail effectué par Norbert Elias sur les grandes épidémies et leur influence sur la civilisation. Nobert Elias est un sociologue allemand du XXème siècle devenu célèbre pour son œuvre sur le processus de civilisation. Dans ce document, l’auteur cherche à montrer que le processus de civilisation de la société n’a pas été permis grâce aux

Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais

poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons.Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint;Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir.Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide

en 1998. A est le titre d'un documentaire britannique de Darren Almond en 2002. Littérature A est associé au noir dans le poème "Voyelles" de Rimbaud, et décrit comme suit : "noir corset velu des mouches éclatantes / Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, / Golfes d'ombre". Le cycle du Ā est une série de romans de science-fiction écrits par A. E. van Vogt. Toutes les héroïnes du romancier Pierre Benoit ont un prénom commençant par A. Dans ABC contre Poirot d'Agatha Christie, A désigne

force d’ouvrir les yeux » montre que le professeur est à bout de force qu’il va bientôt mourir. On peut également soulever un champ lexical de la maladie car Maurice Halbwachs est malade, il est atteint de dysenterie ce qui « l’emportait dans la puanteur » puis dans la mort. Cette description de l’Homme mourant nous donne une vision triste et sans perspectives de la mort ; triste d’un côté car la mort d’un être humain est toujours une perte douloureuse surtout si celui-ci nous est cher mais aussi

lexicaux sont présents : - les cadavres (la mort) : « charnier » ; « mortuaire » ; « os ». - les parties du corps : « os » ; « mains » ; « yeux » ; « muscles » ; « ventre » ; « nez ». - le dégoût : « pourriture » ; « pâture » ; « déchiré » ; « puanteur » ; « infecte » ; « difforme ». Il existe un lien entre chacun de ces champs lexicaux : les parties du corps des cadavres sont décrites avec dégoût, à chaque membre du corps étant associée une figure. Il s’agit donc d’une description très précise

Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais

indicateur de temps "depuis midi" => à la mi-journée b) personnages => caractère, physique, situation sociale, relation familiale procédés : - caractérisation avec des adjectifs Pierre : "noirs"; "coupés"; "moustaches"; "menton rasés". Jean : "grand"; "blond"; "barbu"; "jeune". - caractérisation avec des participes passés Mme.Roland : "assoupie"; "d'un air attendri". - discours direct M.Roland : "Zut"; "Cristi" => language familier. Les membres de la famille sont décrits : qui ils sont. On