La Grande Puanteur

|Et la victime et le bourreau ! | |  | |Je suis de mon cœur le vampire, | |– Un de ces grands abandonnés | |Au rire éternel condamnés, | |Et qui ne peuvent plus sourire ! | |Spleen et Idéal, LXXXIII

- extrait du chapitre 18 de Candide-Candide est un comte philosophique ecrit en 1759 par Voltaire qui est un philosophe des lumieres qui a pratiqué tout genres litteraire.Ce livre raconte l'histoire du Personnage eponyme qui apres s'etre fait surprendre en train d'embrasser la fille du barron fut expulsé du chateau. Il quitte ainsi ce lieu dans lequel son maitre Pangloss " lui avait appris que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondesEn quittant le chateau il va se rendre compte d'une triste

Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ;

histoire d'un meurtrier. •Résumé Le Parfum. L'action se situe au XVIIIème siècle à Paris, puis en Auvergne, à Montpellier, à Grasse et enfin à nouveau à Paris. Elle débute en 1738 et s’achève en 1767. Jean-Baptiste Grenouille est né dans la puanteur au cimetière des Innocents en 1738, à Paris, sous l'étal d'une poissonnerie, la mère est condamnée à mort pour infanticide. L'enfant est alors recueilli par une nourrice. Mais celle-ci est troublée par cet enfant qui n'a pas d'odeur et le laisse

    Son ventre plein d'exhalaisons.                 Le soleil rayonnait sur cette pourriture,     Comme afin de la cuire à point,     Et de rendre au centuple à la grande Nature     Tout ce qu'ensemble elle avait joint.             Et le ciel regardait la carcasse superbe     Comme une fleur, s'épanouir ;     — La puanteur était si forte que sur l'herbe     Vous crûtes vous évanouir ; —             Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,     D'où sortaient de noirs bataillons

noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ; O, suprême Clairon plein des strideurs étranges

camps est purement et simplement inexistante, pour la douche et les toilettes. Ces derniers sont réduits à l’état de simples sceaux en bois, généralement sans cuvette et même sans siège, sans évacuation de sorte que l’eau déborde d’excréments. La puanteur était terrible, ajoutée à celle des cadavres en décomposition ou brûlés. Deuxièmement la nourriture. Les prisonniers étaient très mal nourris, malgré leur important effort physique quotidien, c’est donc une souffrance de plus, rongés par la faim

poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide

Sur le sol, les murs, le plafond ou les machines on constate que l’hygiène industrielle a été oubliée comme nous le fait remarquer Michèle Aumont : « un sol terreux, huileux et charbonneux. », « des murs noirs, maculés par endroits, lézardés et des grands morceaux de plafond qui tombent. Des toiles d’araignées énormes ». L'insécurité elle aussi est présente tout au long des journées, l'ouvrier est toujours menacé par la chute de pièces, les courroies des machines qui cassent (« tombent en pluie

violence et l’absurdité de la guerre. On voit que laideur et beauté peuvent cohabiter dans un même poème, dans ce cas il s’agit de la beauté de la nature et de la laideur de la guerre. Les textes de ce corpus nous monter que la laideur peut etre une grande source d’inspiration pour les poètes. Si Victor Hugo a souvent été inspiré par la beauté de la nature, Il peut l’être également par un insecte « généralement détesté de tous », a savoir une araignée. Dans le poème J’aime l’araignée… Pour